Épisode 44 Covid-19, mars 2021
Des nouvelles du front…
Cela fait plusieurs semaines que j’essaye désespérément de faire une nouvelle chronique. Cependant, chaque fois que je me pose à mon bureau, une sollicitation extérieure se manifeste. Cela m’oblige à différer la rédaction. Il y a aussi un autre facteur, beaucoup plus pernicieux celui-là. L’absurdité du moment. Car chaque semaine qui passe apporte son lot de nouvelles absurdités venant s’empiler sur les précédentes. Cela est très décourageant pour un homme de science et de plume. Car je n’ai plus le temps de réfléchir à ce que je vais dire. Alors, pour ne pas devenir un nouveau perroquet médiatique, je reste silencieux et observateur.
D’un autre côté, je sais que trop d’information tue l’information. Donc quelqu’un qui parle rarement et pertinemment a un effet plus profond que quelqu’un qui étale ostensiblement sa diarrhée verbale. Car, la crotte verbale bien moulée est toujours plus attrayante que la bouillie liquide et nauséabonde déversée par les grands médias. Je vais donc être bref et aller à l’essentiel. Car, le niveau de mensonges a atteint un niveau très inquiétant. Cela sans que la population réagisse outre mesure. Il y a bien sûr quelques jeunes qui s’excitent dans la rue. Heureusement, car sinon la situation serait vraiment très grave.
Quand les vieux vampirisent les jeunes
Il doit en effet être clair que l’on assiste en ce moment au pillage systématique des valeurs de la jeunesse par des vieillards moribonds. Car, je vois bien que l’avenir proposé aux jeunes aujourd’hui n’a vraiment rien à voir avec celui que l’on me proposait il y a seulement quarante ans. Une loi naturelle incontournable est que les vieux doivent accepter de laisser leur place aux jeunes. Seulement voilà, la technologie est devenue tellement puissante que les vieux sont en mesure de vampiriser les jeunes générations afin de survivre le plus longtemps possible. Cela est non seulement contraire à la nature, mais également immoral. D’autre part, notez bien que c’est bien la technologie et non la science qui est responsable. Dans la folie ambiante, je remarque de fait que l’on fait un peu vite l’amalgame entre technologie et science.
Car s’il ne peut y avoir de technologie sans science, la science peut se développer en l’absence de tout but à caractère technologique. Vous devez savoir que tous ces experts bardés de diplômes qui paradent dans les médias sont en fait des techniciens et non des scientifiques. Comme ils n’ont aucune science, ils n’ont bien sûr que ce mot à la bouche. On rencontre ici une autre grande loi de la psychologie. Celle qui stipule que plus on manque de quelque chose, plus on ressent le besoin d’en parler. Les scientifiques ont rarement besoin de dire ou de démontrer qu’ils font de la science. Car, les publications sont là pour démontrer l’activité scientifique. Elles parlent à leur place.
Les solutions appellent les problèmes…
A l’inverse, les techniciens publient peu et cherchent toujours des solutions à un problème. Quand, ils manquent de problèmes, ils n‘hésitent jamais à en créer, afin de justifier leur activité. Le scientifique ne s’intéresse pas aux problèmes. Il observe simplement la nature et cherche à comprendre ce qui se passe en faisant des mesures et des modèles pour expliquer les résultats obtenus. Comme tout est a priori possible dans la nature, il n’y a aucun problème en soi.
Le problème peut toutefois surgir dès que le scientifique commet l’erreur de penser que son modèle décrit parfaitement la nature. C’est ce qui est train de se passer avec l’épidémie de COVID-19. Ceux qui ne sont pas convaincus pourront lire cet excellent billet de Juliette Rouchier, directrice de recherche au CNRS. Pour ceux qui ont perdu l’habitude de prendre leur temps pour lire, je résume. Des décisions politiques sont en train d’être prises sur la base de modélisations foireuses. Bref, toute votre vie actuelle repose sur des chiffres qui n’ont jamais été validés. Il vaut mieux que vous en soyez conscient.
Des tests foireux…
C’est au moment précis où le scientifique commence à croire en ses modèles qu’il bascule dans le camp des techniciens. Au lieu de manipuler des symboles, il se met alors à manipuler des chiffres. Dès lors, le scientifique court le danger d’être noyé par eux. Dès que les chiffres ont pris le pouvoir, l’activité scientifique s’amenuise automatiquement. Si le billet de Juliette Rouchier vous a plu, vous allez adorer cette vidéo du physicien David Mendels (https://www.youtube.com/watch?v=vrjmY_ffgAg). David est directeur technique d’une start-up française – Xrapid-, spécialisée en intelligence artificielle et microbiologie.
On lui a demandé de valider scientifiquement 11 tests commerciaux. Un seul test a pu franchir la barre de la fiabilité selon les critères établis par la haute autorité de santé (HAS) en matière de spécificité et de sensibilité. Pourtant, dans la liste publiée par le ministère de la Santé en mai 2020, la plupart des tests, y compris les pires, ont été homologués. Concrètement, cela signifie que les tests actuels peuvent diagnostiquer des personnes saines comme étant malades de la Covid. Plus grave encore, des personnes bien malades peuvent être déclarées saines. Après cela, ne soyez pas surpris que l’on y perde son latin. Car si le politique se méfie toujours des scientifiques, il adore les techniciens.
Vous avez dit vaccination…
Une autre absurdité. On vous martèle, jour et nuit, que la vaccination est la SEULE solution pour sortir de la crise actuelle. Voyez-vous le hic ? Quand un technicien rencontre un problème, il y a toujours une infinité de solutions possibles. Parmi cette infinité potentielle, certaines solutions sont difficiles à mettre en œuvre et font exploser les coûts. D’autres sont bon marché et ne rapportent quasiment rien à ceux qui les mettent en œuvre. Ceux qui auront la curiosité de surfer sur internet constateront que plein de solutions ont été proposées. Hydroxychloroquine, bien sûr, mais aussi zinc, vitamine D, ivermectine, bleu de méthylène, vitamine C en intraveineuse. Ne pas bien sûr oublier les remèdes homéopathiques ou l’aromathérapie.
On a même décodé la protéodie du virus, une petite musique que l’on pourrait jouer en inhibition. Bref, ce ne sont pas les solutions bon marché qui manquent. Elles permettraient de vivre normalement sans masques. On pourrait embrasser ses proches et faire la fête comme on l’a toujours fait. Bizarrement, aucune de ces solutions n’a été testée sérieusement. On se rabat sur la solution technique la plus coûteuse et la plus dangereuse. Pire, avec l’emploi d’ARN messager, on utilise la population mondiale comme de simples cobayes.
Ou manipulations génétiques ?
Ici, soyons clairs. La technologie du géant pharmaceutique Pfizer n’a rien à voir avec la vaccination. On vous injecte purement et simplement du matériel génétique viral susceptible de vous transformer en organismes génétiquement modifiés (OGM). On crie haut fort qu’il n’y a absolument aucun risque. Toutefois, on vous fait quand même signer un papier, signifiant que vous n’aurez absolument aucun recours possible en cas d’effets secondaires indésirables. Car, le recul sur cette technologie est tout simplement inexistant. Personne n’a d’idée de ce que vous allez devenir à moyen et long terme. Les plus chanceux mourront quelques jours après l’injection. Comme toujours, il sera très difficile d’établir un lien de cause à effet. Ceux qui échapperont à la mort pourront développer des maladies auto-immunes extrêmement invalidantes.
Des experts insisteront sur le fait que l’on vous injecte de l’ARN et non de l’ADN. Donc aucun risque d’insertion dans votre génome. Oui, mais quid si l’on est aussi infecté par un rétrovirus ? Sachez que ces petites bestioles sont spécialisées dans la transformation de l’ARN en ADN grâce à une enzyme dite « transcriptase inverse » ou « rétro-transcriptase ». D’ailleurs, devinez ce que signifient les deux lettres « RT » placées devant les trois lettres « PCR » ? En fait, il n’y a même pas besoin d’être infecté par un rétrovirus quelconque. Tout biologiste convenablement formé sait qu’une telle enzyme répondant au doux nom de hTERT se trouve dans chacun de vos globules rouges. Ah, vous ne le saviez pas et vous avez signé le papier ? Voilà ce qui arrive dès que l’on fait confiance à des menteurs et des manipulateurs de chiffres.
Les chimères existent…
Quant au test PCR lui-même, savez-vous vraiment de quoi il s’agit ? Cette petite vidéo très bien faite vous explique le problème. Savez-vous aussi qu’on viole aussi une partie très intime et fragile de votre corps en introduisant cette tige dans le nez ? Comment peut-on accepter un tel viol et une telle violence ?
Je terminerais par le bouquet. Ce virus est-il apparu de manière naturelle ou artificielle après manipulation génétique ? Je ne citerais qu’un seul papier paru le 9 novembre 2015 dans la revue « Nature Medicine » (Volume 21, numéro 12, pp. 1508-1513). Il a été publié par des chercheurs américains, suisses et chinois. La très médiatique Zhengli-Li Shi de l’institut de virologie de Wuhan, alias «Batwoman» participe bien sûr à cette publication. On y apprend que ces chercheurs auraient utilisé le système génétique inverse du SARS-CoV. Ceci afin de générer un virus chimérique exprimant la protéine spire du coronavirus SHCO14-CoV circulant chez les chauves-souris chinoises.
L’article démontre que ce virus chimérique peut se fixer sur de multiples orthologues du récepteur ACE2. Il est aussi capable de se multiplier in vitro dans des cellules humaines pulmonaires à des niveaux égaux à ceux des précédentes épidémies de SARS-CoV. La chimère s’est de plus révélée hautement pathogène pour les souris et qu’aucun vaccin ou anticorps monoclonal n’était capable de protéger les cellules de l’infection. On démontre enfin que le virus recombinant complet avait une réplication virale très robuste à la fois in vivo et in vitro.
Vérité ou croyance ?
L’article conclue qu’il existait donc dès 2015 un risque de réémergence du SARS-CoV à partir de virus circulant dans les populations de chauves-souris. Quatre ans plus tard, un SARS-CoV fait précisément son apparition à Wuhan. Il présente, après fixation sur les récepteurs ACE-2 humains, toutes les caractéristiques pathologiques du virus chimérique créé en laboratoire quatre ans plus tôt. Coïncidence, hasard, manipulations hasardeuses, allez savoir. L’éditeur de cet article affirme que malgré cela, les scientifiques CROIENT que le virus SARS-CoV-2 provient d’un animal et non d’un laboratoire. Ce faisant, il se tire une balle dans le pied, car la croyance, depuis Galilée, a été bannie de l’approche scientifique.
En tout cas tous ceux qui affirment qu’un tel virus ne peut pas être créé en laboratoire sont des fieffés menteurs. Toutefois, vu la pile de mensonges qui s’accumulent jour après jour, cela n’a finalement pas beaucoup d’importance. On nous ment à tous les niveaux sur l’énorme truc qui se profile à l’horizon. Désolé, d’être aussi pessimiste, mais le choc est toujours moins rude quand on s’est préparé psychologiquement à le recevoir. Car toutes ces magouilles seront, un jour, révélées. Ceux qui auront orchestré tous ces mensonges d’état ou journalistiques auront alors des comptes à rendre aux peuples martyrisés.
Par Marc HENRY
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