Chronique un peu inhabituelle dans un parcours peu banal. La question qui me taraude en cette rentrée 2024 est simple et universelle. On naît, on vit, puis on meurt… Rien ne pourra jamais changer cet état de fait lié à notre incarnation terrestre. Pour ce qui me concerne, j’ai déjà eu l’occasion de frôler la mort durant mes 66 années d’existence terrestre. Et, à chaque fois, j’ai survécu.
J’ai même fait une expérience de mort imminente en 2005 qui m’a convaincu que la conscience prime sur la matière. Par conséquent, rien de surprenant à ce nouvel rappel à l’ordre de cet été 2024. J’ai encore une fois survécu. Mais, l’alerte a été rude et douloureuse. Et, cette fois-ci, rien ne garantit qu’il n’y aura pas de séquelles d’ordre neurologique. Il est trop tôt pour se prononcer. En attendant, je vous propose d’expérimenter ce que j’ai appelé les “sept cadres de conscience”.
Homéopathie
Mais, une chose est sûre pour moi. Il y aura un avant et un après août 2024. Dans ma profession, l’outil de travail, c’est le cerveau. Et, si ce dernier décide d’être aux abonnés absents, c’est la fin des haricots. Alors, il vaut mieux anticiper pendant qu’il en est encore temps. La première chose à faire est, évidemment, de se préoccuper du souvenir que l’on laissera pour les générations futures. De ce côté-là, on pourra retenir que j’ai été et suis toujours un fervent défenseur de l’homéopathie (voir: https://www.aimsib.org/2020/01/26/homeopathie-medecine-science-et-ignorance-lavis-du-professeur-marc-henry/). Ce positionnement clair et net me vaut, bien sûr, une réputation plutôt sulfureuse.
Ainsi, si j’en crois le Dr. Vincent Reliquet, médecin généraliste et membre du comité médical de l’AIMSIB : “Marc Henry, c’est du génie brut de décoffrage pour les uns et de la folie brute à coffrer pour les autres…” Belle épitaphe. Car, rien n’est plus triste que de tirer sa révérence dans une indifférence générale. Mais, limiter mon passage sur cette splendide planète, grouillante de vie, à la défense de l’homéopathie est par trop réducteur. Je me suis aussi grandement intéressé à la musique et à la conscience. Et, j’ai publié, dans de bonnes revues, mes idées sur le sujet. Et, donc, même si je trépasse, les articles publiés resteront accessibles aux générations futures.
La conscience s’exprime selon sept cadres différents…
Seul souci, écrire ou lire est devenu ringard. Ceci est, bien sûr lié, au développement fulgurant de l’intelligence artificielle. De nos jours, n’importe qui, muni d’un accès internet, peut écrire des choses très sensées et passer pour un génie. De plus, la paresse naturelle de l’être humain fait que l’on recherche des informations dans des vidéos plutôt que dans des livres. Après mes problèmes d’août 2024, qui n’augurent rien de bon pour l’avenir, j’ai donc décidé de faire une vidéo qui sera mon testament. Pour celles et ceux qui préfèrent la lecture, ce testament est déjà disponible dans un preprint. (https://www.preprints.org/manuscript/202408.0414/v1).
Pour tous les autres, j’ai réalisé une vidéo proposant que la nature humaine utilise sept cadres de conscience. Je l’ai mise sur ma chaîne YouTube. Par conséquent, aucune excuse. Soit, vous lisez mes articles scientifiques, en vous accrochant bien aux ridelles… Soit, vous regardez la vidéo. Mais, dans ce cas, n’oubliez pas que tout est dans le son… Car, n’oublions jamais que l’ouïe est le premier sens, bien avant la vue. Être conscient, c’est pouvoir jouer avec le son, que l’on soit de nature minérale, végétale, animale ou humaine. D’ailleurs, pour nous, les humains, il est toujours possible de fermer les yeux. Mais, toutefois, impossible de fermer les oreilles ou d’arrêter toute production sonore de notre corps.
Pour la conscience, le son est plus important que l’image
Le morceau de musique qui accompagne cette vidéo a été créée par Tommi Jack’s. Ceci, sur des notes calculées par mes soins à partir des lois de la physique quantique. Il se fonde sur des molécules concernées par la sérénité intellectuelle (morceau “Mentis Serenitas”). Pour les petits curieux, voici la formule utilisée avec les notes de musique en notation anglo-saxonne et leurs décalages à ±50 ¢ par rapport à une gamme chromatique où chaque demi-ton est séparé du suivant par exactement 100 ¢.
Ces notes sont dérivées de la fréquence quantique calculée pour chaque principe actif à partir de sa masse molaire. Fréquences qui sont ensuite transposées d’environ 76 octaves pour arriver dans le domaine sonore. Puis, on applique le diapason de l’eau à 429,62 Hz pour trouver la note et son décalage. Par conséquent, si vous trouvez que certaines notes sonnent “faux”, c’est tout à fait normal et voulu. Cela fait partie du jeu. Une autre vidéo sera publiée prochainement, où le calcul sera clairement explicité.
L’étoile de la conscience
La vidéo démarre avec une construction druidique fondée sur les trois premières puissances entières du nombre 3, soit : 30 = 1, 31 = 3 et 32 = 9. Ainsi, moyennant 3 cercles concentriques de rayons relatifs (1, 3, 9), on génère facilement une étoile ayant exactement sept branches, pas une de plus, ni une de moins. Or, le chiffre 0 est associé au vide, alors que le chiffre 1 est associé au tout. Reste le chiffre 2 que l’on peut associer à la dualité ou à l’information, perçue comme une suite de chiffres 0 ou 1. Et, derrière toute information se cache évidemment la conscience.
D’où l’idée qu’il existe sept cadres de conscience. Afin de les identifier, la vidéo associe à chaque branche de l’étoile un mot-clé : 1. Unité ; 2. Discrimination ; 3. Stabilité ; 4. Action ; 5. Crise ; 6. Beauté et 7. Conscience. Et, pour clarifier le propos, il y a également une phrase-clé commençant toujours par : “Tout est …”. Lors de toute rencontre entre deux êtres humains, la connaissance de ces sept cadres de pensée va considérablement vous simplifier la vie. Car, la règle est simple.
Celle ou celui qui évolue dans un cadre de pensée supérieur à celui de son interlocuteur aura à charge de mener le débat. Puisque, chaque cadre de pensée englobe nécessairement ses prédécesseurs. Imaginons, par exemple, que j’ai en face de moi, un matérialiste pur et dur qui ne croît que dans ce qu’il peut toucher, voir ou entendre. Pour lui, tout ce qui est inexplicable par la seule matière sera évidemment catégorisé comme faisant partie du monde des “esprits” (fantômes, divinités, dieux, etc.). Cette personne aura une vie simple et binaire avec une réponse satisfaisante pour chaque cas de figure rencontré.
Cette attitude est parfaitement respectable et ne doit pas être critiquée. On sait alors qu’il est inutile, dans la discussion, de faire référence à des équations, de parler de vibrations, de cohérence, d’harmonie ou d’information. Tout doit être enraciné dans le concret et le tangible. Et, si c’est impossible, alors on fait appel au mystérieux, à l’inexplicable, ou bien encore au religieux. Tout ira bien, et les deux interlocuteurs se sépareront sans disputes ni violence.
Déterminisme ou immatérialisme ?
Le cadre n° 3 est celui du rationaliste bête et borné (RBB). Pour lui, plutôt que d’aller évoquer le mystérieux ou le religieux, il demandera une mise en équation. Et, ce n’est que s’il n’y a aucune explication déterministe (toute cause produit nécessairement un effet) et rationnelle (1 + 1 = 2), qu’il cherchera refuge dans le cadre n° 1. Avec le cadre n° 4, la personne comprend que le déterminisme n’est qu’une vision très restrictive de la réalité. Ou, si vous préférez, qu’il est tout à fait possible que 1 + 1 = 0 ou bien n’importe quel résultat.
On retrouve ici le monde de la physique quantique dite de “première quantification” où il n’y a aucune certitude. Tout est fondamentalement incertain et seul le langage des probabilités permet de décrire la réalité extérieure. C’est le royaume de la troublante “dualité onde-corpuscule”. Le terme de “première quantification” se réfère au fait que l’on utilise des fonctions d’ondes quantiques pour décrire les particules ou les objets physiques. Mais, on considère qye les potentiels, ou bien les champs, agissent de manière purement classique.
D’où le cadre n° 5 de la “seconde quantification” où une telle restriction se trouve levée. On parle aussi de “physique quantique des champs”. Ici, il n’y a plus de particules, ni de fonctions d’ondes. Ou bien, si vous préférez, la matière n’existe plus, n’étant qu’une illusion. Seul existe le vide ou l’éther, un champ quantique emplissant tout l’univers. La matière peut apparaître, ou bien encore disparaître à volonté selon le niveau d’excitation du vide quantique. Car, à toute matière correspond une antimatière qui s’annihile l’une l’autre lors de toute rencontre. C’est ce cadre de pensée qui permet de comprendre comment fonctionne l’homéopathie. Ici, pour un numéro 4, l’homéopathie sera une arnaque. Tandis, que pour un numéro 5, c’est une médecine à part entière parfaitement efficace. C’est aussi ce cadre de conscience qui permet de comprendre le phénomène très controversé de “mémoire de l’eau”.
Musicalisme et symbolisme
Et, puis, il y a le cadre n° 6 du musicalisme où l’on réalise que l’univers possède quatre dimensions spatiales et de deux dimensions temporelles. Puisque la musique nous apprend que l’on peut diviser toute fréquence par le facteur deux sans altérer la note associée à cette fréquence (invariance par symétrie d’échelle). Cela correspond aussi à la transposition d’octaves. Ici, par résonance d’échelle, un son peut affecter une matière. C’est le cadre de pensée adéquate pour comprendre les effets remarquables observables avec les musiques produites au diapason de l’eau.
Enfin, au-delà du musicalisme, on tombe sur le cadre n° 7 du symbolisme, où il n’y a plus aucune matière, ni aucune vibration. Seule existe, à ce niveau, l’information et ce, quel que soit le support matériel ou bien vibratoire qui la porte. Cette information est ici stockée directement au niveau du vide quantique. Bien sûr, comme on l’aura peut-être compris, si j’essaye d’aller au-delà de ce septième cadre, je retombe dans le premier. Mais, à un niveau de conscience bien supérieur à celui qui fait passer du cadre n° 2 à ce même cadre n° 1.
Conclusion
Voilà, vous avez maintenant en main un outil permettant de décoder le niveau de conscience d’une personne. Utilisez-le, et vos débats et échanges gagneront en sérénité et bienveillance. En effet, rien de plus frustrant qu’un débat dans lequel chacun campe sur ses positions. C’est, de fait, à celui qui pense à un niveau supérieur de s’adapter et non l’inverse.
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