Topologie Astrale (TA)
Tout d’abord, quelques nouvelles de topologie astrale. J’ai traité à ce jour les 513 demandes reçues. Et, en retour, j’ai reçu 64 notes. D’où le constat évident que quelque chose ne va pas. Car, rappelons que j’ai conçu cet outil dans le but d’éviter de recourir à un horoscope qui demande des années de formation pour être interprété correctement. Les astrologues de tout poil ont donc encore de beaux jours devant eux en termes de clientèle potentielle. Ce n’est pas l’outil de topologie astrale qui viendra leur faire de l’ombre et nuire à leur business. Ainsi, dans cette nouvelle chronique, j’oublie l’astrologie occidentale pour me consacrer à la cosmologie Maya. Car, lorsqu’il s’agit de découvrir son mode de fonctionnement interne, cette cosmologie peut s’avérer être d’un grand secours. L’énorme avantage par rapport à la topologie astrale, c’est que l’on a juste besoin de connaître le jour, le mois et l’année de naissance. Rien d’autre. De plus, on peut faire les calculs à la main sans recourir à un site internet. Dernière chose pour ceux qui suivent mon travail avec Tommi Jack’s sur la musique au diapason de l’eau à 429,62 Hz. Si vous avez lu le preprint de publication scientifique (https://www.preprints.org/manuscript/202401.1231/v1) qui vient d’être accepté pour publication dans le Journal of Humanities and Social Sciences, Vol. 7, Issue 2. Ce journal étant en Open Access complet, l’article sera téléchargeable gratuitement sans avoir à être abonné. L’inconvénient est qu’il faut maintenant réunir 1500 $ pour pouvoir payer les frais d’édition et de mise en ligne sur internet. J’en reparlerai plus loin.
Existence de deux dimensions temporelles
Dans cet article, je confirme, grâce à la théorie des groupes, ce que les peuples Amérindiens avaient déjà pressenti. À savoir qu’il existe deux types de temps. Tout d’abord, le temps des horloges basé le découpage d’une année en 12 mois. Ces mois contiennent une quantité définie de jours, chaque jour étant découpé en 24 heures. Enfin, chaque heure est elle-même formée de 60 minutes et chaque minute de 60 secondes. Depuis la réforme du temps par le pape Grégoire XIII au XVIᵉ siècle, le monde occidental, technologique et guerrier utilise, grâce à l’invention de la montre mécanique, le calendrier dit « grégorien ». Ce fut le moment où les esprits dits « cultivés » adoptèrent la référence dite « 12:60 »avec 12 mois dans l’année et 60 minutes par heure. Parallèlement, ceci coïncida avec la mutation de notre biosphère en technosphère. D’un point de vue astronomique, cela signifiait aussi que le mouvement du Soleil prenait le pas sur le mouvement de la Lune, qui était, auparavant, utilisé de manière massive par les agriculteurs et autres « sauvages » non civilisés qui étaient totalement incapables de fabriquer des montres. Eux, se fondaient sur les différentes phases de la Lune, impliquant un calendrier solaire-lunaire de treize lunes de 28 jours dans une année. Ces 28 jours de la lune représentaient une moyenne entre le cycle synodique (29,5 jours) et le cycle sidéral (27,3 jours), et correspondaient au cycle menstruel féminin. Ainsi, avant l’An 3000 avant notre ère chrétienne, le masculin (Soleil) et le féminin (Lune) vivaient en harmonie, se reconnaissant l’un l’autre en osmose avec des forces naturelles et non artificielles.
Parmi tous ces peuples dits « indigènes », on trouvait un peuple dont l’intention était de léguer à l’humanité un instrument mathématique pour contribuer à son évolution consciente. Cet instrument est leur formule du temps, fondé sur une référence dite « 13:20 », pour 13 tons galactiques et 20 fréquences solaires. Autrement dit, à côté du temps des horloges référencé par le code « 12:60 », qui règle les mouvements spatio-temporels, on savait qu’il existait également, un temps biologique de la conscience référencé par le code « 13:20 ». Cette seconde dimension temporelle de la conscience présente la caractéristique essentielle d’être basée, comme pour la musique, sur des nombres entiers et sur la notion de fractale. C’est-à-dire sur un ensemble de cycles entrelacés qui se répètent et s’étendent à l’infini sur différents niveaux unissant le microcosme au macrocosme.
C’est à ce niveau que la physique théorique moderne confirme cette nature duale essentielle du temps. Puisque comme on l’explique dans l’article qui va être publié sur la musique et l’eau, les équations de Maxwell qui gouvernent les propriétés des ondes électromagnétiques (et donc de la lumière) sont invariantes sous l’action du groupe de symétries SO(4,2). Dans ce symbolisme mathématique rigoureux, le chiffre ‘2’ concerne directement la notion de temps : un temps mécanique pour la matière et un temps biologique pour la conscience existant dès qu’il existe de l’eau dite « morphogénique ». Quant au chiffre ‘4’, il concerne la notion d’espace avec trois dimensions (gauche/droite, devant/derrière, haut/bas) pour les réflexions, translations et rotations, auxquelles s’ajoute une dimension permettant d’aller du microcosme au macrocosme et vice-versa, via des opérations de dilatation/contraction.
Typologie Maya (TM)
Il découle logiquement de ces considérations que la topologie astrale, référencée sur le code « 12:60 » masculin ou Yang, ne suffit pas pour saisir toute la complexité fractale d’un être humain conscient. Il est impératif de le coupler avec le code Maya « 13:20 » féminin ou Yin, utilisé depuis des millénaires. Cela amène, bien sûr, à réconcilier science moderne matérielle et science antique spirituelle. Comme le code Maya « 13:20 » est largement ignoré dans notre société moderne occidentale, il est peut-être temps de le réhabiliter et surtout de montrer comment il fonctionne. Notons, pour commencer, que comme on oublie le code technique « 12:60 », plus besoin de connaître l’heure exacte de naissance. Ceci est bien sûr un grand soulagement, car il s’agit du talon d’Achille de l’astrologie conventionnelle. Sans une heure de naissance exacte, pas de calcul d’ascendant possible, et risque élevé de se tromper dans l’analyse. Parce que, lorsqu’une femme accouche, elle a autre chose à faire que regarder sa montre. Il revient donc au personnel qui assiste l’accouchement de penser à regarder une horloge lorsque le bébé est complètement sorti du ventre maternel. Mais, l’on pourrait très bien aussi envisager que l’heure de naissance corresponde au moment précis où la tête de nouveau-né pointe à l’air libre. Ou bien, l’heure du premier cri ou de la première respiration autonome du bébé. Et, ne parlons pas des accouchements à problèmes où le personnel, pris dans l’urgence, oublie de noter l’heure exacte…
Par conséquent, premier avantage décisif d’une TM : on se contrefiche de l’heure de naissance. Votre conscience existait avant la naissance et persistera après la mort du corps physique. Et, comme, il y a cette fractalité qui se moque de l’échelle, elle ne peut être que de nature cosmique et universelle. D’où, le deuxième avantage : on se moque éperdument du lieu de naissance… Ne reste que le jour, le mois et l’année de naissance du calendrier Grégorien (code « 12:60 ») qui peuvent aisément être convertis dans le calendrier Maya (code « 13:20 »).
Existence de 13 tonalités
D’un point de vue du code « 13:20 », on appelle « kin » un nombre compris de 1 à 260, calculable selon des règles mathématiques rigoureuses. Ce kin fait référence à ce que l’on appelle un « holon » qui peut être une structure matérielle pérenne (personne, planète, étoile…), ou temporelle (jour, année, siècle…). Mais, tout d’abord, notons comment le code Maya « 13:20 » se retrouve dans un être humain via l’existence de 13 articulations majeures et de 20 doigts. L’idée première est que ce code s’applique aussi à toute structure matérielle pérenne. Chaque tonalité représente donc un pouvoir que chaque personne détient pour accomplir sa mission. Ce pouvoir détermine la façon d’agir de chaque holon, et son comportement relationnel avec les autres holons.
Ainsi, la tonalité #1 dite « Magnétique » (un seul point) donne l’action d’attirer dans le but d’unifier. La tonalité #2 (deux points successifs) dite « Lunaire » permet de polariser et de stabiliser, tandis que la troisième, dite « électrique » (trois points successifs) permet d’activer et d’unifier. La tonalité #4 dite « Auto-existante » (4 points consécutifs) est liée à l’action de mesurer afin de pouvoir définir, tandis que la cinquième dite « Harmonique » (un trait) autorise la prise de pouvoir, le commandement. Pour la tonalité #6 dite « Rythmique » (un trait surmonté d’un point), elle autorise à organiser dans le but d’atteindre un équilibre. La septième tonalité, dite « Résonnante » (un trait surmonté de deux points) canalise et inspire, alors que la huitième tonalité #8 dite « Galactique » (un trait surmonté de trois points) harmonise et modélise. La tonalité #9, dite « Solaire » (un trait surmonté de 4 points) permet de pulser et de réaliser, alors que la dixième tonalité, dite « Planétaire » (deux traits superposés), cherche à perfectionner et à produire. S’il est possible de produire, il faut aussi logiquement pouvoir dissoudre et s’abandonner. D’où une onzième tonalité (#11) dite « Spectrale » (deux traits superposés et surmontés d’un point). Reste alors la douzième tonalité (#12), dite « cristal » (deux traits superposés et surmontés de deux points) pour dédier et universaliser. Puis, enfin, la dernière et treizième tonalité (#13) dite « Cosmique » (deux traits superposés surmontés de trois points) qui permet de confronter et de transcender.
Existence de 20 Archétypes et 260 kins formant le « Tzolkin »
Ces treize tonalités sont censées représenter toute la cosmogénèse, ou comment fut créé notre Univers. Ce sont les différentes formes d’énergies qui donnent la vie. Comme le montre la figure ci-dessous, on peut les considérer comme faisant partie d’une roue à 13 dents animée d’un mouvement de rotation. Cette roue s’appuie sur une seconde roue dentée plus grande, car formée de 20 archétypes ou « glyphes solaires ». Ces archétypes représentent le cycle de respiration du Soleil sous la forme de deux flux. Un premier flux ancrant galactique-karmique (inhalation) où l’énergie circule de Pluton à Mercure, c’est-à-dire de la tribu du Soleil (0) à la tribu de la Lune (9). Suivi d’un second flux solaire-prophétique (exhalation) où l’énergie est renvoyée à Mercure et Pluton. Glyphes allant de la tribu du chien (10) à la tribu de la tempête (19). D’où la génération de 13×20 = 260 pulsations symboliques regroupées sous la forme d’une figure représentant la dynamique de l’énergie universelle. Cette figure binaire et symétrique représentée en bas, à gauche et appelée « Tzolkin » (« tzol » = compte et « kin = jour »), contient deux flux énergétiques de 26 unités chacune codées en vert appelés « portails d’activation galactique ». Ce compte des 260 kins est aussi codifié dans les 9 mois ou lunes (9×28=260) de gestation lors de la reproduction humaine. Ce Tzolkin se synchronise parfaitement, tous les 52 ans, avec le calendrier solaire-lunaire dit des « 13 lunes ».
Dans ce calendrier, le cycle majeur des rythmes naturels est celui de la Terre autour du Soleil (365 jours), mesuré comme 13 lunes de 28 jours (soit 364 jours) plus un « jour hors du temps ». Chaque Lune de 28 jours se divise en 4 semaines parfaites de 7 jours (soit 52 semaines en une année). L’année est aussi divisée en 4 saisons de 91 jours chacune. Ce calendrier, utilisé dès l’Antiquité, considère le lever héliaque de Sirius pour marquer le début de l’année, ce qui correspond au 26 juillet de l’année grégorienne. Il diffère du calendrier Grégorien qui démarre le premier janvier et possède des unités irrégulières avec 12 mois de 28 (parfois 29), 30 et 31 jours selon la date.
Existence de 20 Ondes enchantées et de 5 cellules du temps
Comme tout pulse dans l’univers, on peut aussi voir le Tzolkin comme une entité pulsant selon un rythme de 13 unités constituant ce que l’on appelle une « onde enchantée ». Comme il y a 260 kins dans le Tzolkin, ce dernier est composé de 260/13 = 20 ondes enchantées que l’on peut nommer à partir du glyphe de tonalité magnétique, commençant l’onde. L’expression la plus petite d’un kin est d’un jour et d’une nuit. D’où le fait que la durée minimale d’une onde enchantée est de 13 jours. L’année peut aussi être considérée comme une onde enchantée où chaque kin représente une lune de 28 jours puisque 13×28 = 364. Le jour manquant est appelé « jour hors du temps ». C’est le facteur +1 (365 = 364 + 1) qui transforme le cercle en spirale autorisant mouvement et évolution. On appelle « trajectoire harmonique » un cycle de 20 kins allant du Dragon au Soleil et correspondant à chacune de 20 colonnes du Tzolkin. Dans chaque trajectoire harmonique, on peut identifier 5 cellules temporelles ou « harmoniques » (5 = 20/4) qui sont des cycles de 4 kins allant de la couleur rouge (Est, création, naissance) à la couleur Jaune (sud, expansion, floraison). Entre la couleur rouge et la couleur jaune, on trouve tout d’abord la couleur blanche (nord, stockage) suivie de la couleur bleue (ouest, manifestation, transformation). La couleur verte est un autre facteur +1 qui permet la dissolution afin de pouvoir repartir sur un nouveau cycle de couleurs. Compte tenu de l’existence de 13 tonalités, il y a 65 = 13×5 harmoniques, qui organisent les 20 glyphes avec le pouvoir de « l’auto-circulation ». Chaque cellule du temps a une fonction bien précise et représente une partie du corps humain :
(1) Entrée de l’information galactique : (IMIX, IK, AKBAL, KAN) = Cœur.
(2) Stockage de l’information en mémoire : (CHICCHAN, CIMI, MANIK, LAMAT) = Poumons.
(3) Transformation (processus) de ce qui a été mémorisé : (MULUC, OC, CHUEN, EB) = Foie.
(4) Sortie de l’information transformée : (BEN, IX, MEN, CIB) = Reins.
(5) Matrice incorporant l’intelligence exprimée : (CABAN, ETZNAB, CAUAC, AHAU) = Bassin.
Existence de 5 familles terrestres
On peut également envisager les cinq familles terrestres qui partagent un même code. Il y a ainsi la famille « Portail » qui correspond au pôle Sud et, chez l’être humain, au chakra racine. Cette famille transmet au centre de la Terre l’information magnétique qu’elle reçoit du centre de la galaxie. Ces kins (KAN, MULUC, IX, CAUAC) ont la fonction d’ouvrir les portes et les années. Puis, vient la famille « Polaire » (pôle Nord, et, chez l’être humain, chakra Couronne) qui reçoit l’information du centre de la Terre et la déverse en surface (CHICCHAN, OC, MEN, AHAU). La famille suivante est la famille « Cardinale » (IMIX, CIMI, CHUEN, CIB) qui représente l’hémisphère nord, et, chez l’être humain, le chakra de la gorge. Cette famille transmet l’information à la famille « Centrale » (IK, MANIK, EB, CABAN). Cette dernière famille représente l’Équateur et, chez l’être humain, le chakra du cœur. Son rôle est de transformer et de reconduire l’information reçue. Enfin, la dernière famille « Signal » (AKBAL, LAMAT, BEN, ETZNAB), distille et renvoie l’information dans la galaxie. Elle correspond à l’hémisphère sud et, chez l’être humain, au chakra du plexus solaire.
Existence de 4 clans ou chromatiques
Si l’on considère un classement par couleur, on peut définir quatre clans ou quatre chromatiques. Ainsi, on a le clan du Feu ou chromatique jaune (AHAU, CIB, EB, LAMAT, KAN) qui mûrit la floraison. Chez l’être humain, ce clan correspond à la main droite. C’est ainsi qu’au travers du pouvoir de la floraison, le Feu peut devenir Sang. Ce clan du Sang, ou chromatique rouge (CHICCHAN, IMIX, CABAN, BEN, MULUC), correspond, chez l’être humain, au pied droit. Cette race rouge a pour rôle d’initier la naissance d’une vérité. C’est ainsi qu’au travers du pouvoir de l’eau universelle, le Sang devient la Vérité. Ce clan de la Vérité ou chromatique blanche (IK, CIMI, OC, IX, ETZNAB) affine l’esprit. Il correspond, chez l’être humain, à la main gauche. Ainsi, au travers du pouvoir de l’intemporalité, la Vérité peut fuser dans le ciel. D’où le dernier Clan du ciel ou chromatique bleue (MEN, AKBAL, MANIK, CHUEN, CAUAC) qui transforme l’abondance, et correspond, chez l’être humain, au pied gauche. Par conséquent, au travers du pouvoir de l’auto-génération, le Ciel redevient Feu et le cycle recommence sans fin.
Calcul de son kin de naissance
Ce qui précède montre que la cosmologie Maya établie sur le code « 13 tonalités : 20 archétypes » place l’être humain de nature terrestre dans un ordre cosmologique qui est simultanément très sophistiqué, logique et naturel. Il nous reste maintenant à exploiter les deux tables données dans la figure ci-dessus et qui permettent, d’accéder, très facilement, à son kin de naissance, moyennant la donnée d’une date. Comme j’ai déjà réalisé et discuté de la topologie astrale de Mozart dans la chronique n° 81, je reprends le même personnage pour établir sa typologie Maya. Je rappelle que Mozart est né le 27 janvier 1756. Peu importe où et à quelle heure. La première chose à faire est d’utiliser la table notée Réf. 1 en cherchant l’année de naissance. Comme la table débute en 1910 et s’achève en 2065, on utilise ici l’existence d’un cycle infini ayant une périodicité de 52 ans. Par conséquent, partant de 1756, je trouve 1756 + 52 = 1808, puis 1808 + 52 = 1860 pour finir à 1860 + 52 = 1912, année qui figure dans la table Réf.1 avec un coefficient de 12. Passons maintenant à la table notée Réf.2. Le mois de janvier y figure avec un coefficient nul, soit un total de 12 + 0 = 12. Pour finir, ajoutons à ce sous-total le jour de naissance. On obtient ainsi le kin : 12 + 27 = 39. Notons que si, d’aventure, on avait atteint un total supérieur à 260, il aurait suffi de retrancher du total la valeur 260 pour arriver à un nombre compris de 1 à 260.
À présent, on se réfère au Tzolkin et l’on cherche où se trouve le kin 39. On constate alors qu’il est situé sur la ligne de la « Tempête bleue » (CAUAC) doté d’une tonalité symbolisée par un double trait surmonté de trois points de type « cosmique ». Une traduction possible de ce kin #39 appelé « Tempête bleue » peut être fournie par les tableaux de la figure ci-dessous :
Interpréter son kin de naissance
En effet, chaque tonalité possède trois mots-clés signifiant son pouvoir, son action et son essence. De même, chaque glyphe possède également trois mots-clés associés à son action, son essence et son pouvoir. Enfin, chacune des cinq cellules temporelles possède son mot-clé, visible à gauche de la table des mots-clés des glyphes. Notons, qu’en dehors du glyphe identité (ici « Tempête bleue), il existe par ailleurs un glyphe « guide », obtenu en consultant la table en haut et à droite intitulée « glyphe guide ». Ainsi, à l’intersection de la ligne « Tempête » et de la tonalité « cosmique », on trouve le glyphe « Nuit bleue ». Grâce à ces différents mots-clés et via phrase type indiquée en haut à gauche, on obtient la traduction suivante :
« Je persiste afin de catalyser, transcendant l’énergie. Je scelle la Matrice de l’auto-génération avec la tonalité Cosmique de la présence. Je suis guidé par le pouvoir de l’abondance. »
Grâce à la typologie Maya, voilà une définition assez précise de la personnalité cosmique de Mozart. Notons également, qu’il est possible d’associer à chaque tonalité une question. Pour Mozart, de tonalité cosmique, la question pourrait être : « Comment être présent à tout ce qui et ? Comment augmenter ma joie et mon amour ? ». La réponse se trouve dans la nature du glyphe associé à cette tonalité. Dans le cas présent, il s’agit du glyphe de la « Nuit bleue » avec pour réponse : « Je catalyse mon énergie pour me régénérer en restant centré ». Grâce à cette figure, il est également possible de trouver l’onde enchantée à laquelle se rattache cette Tempête bleue cosmique. Ainsi, la première onde est de type « rouge » regroupant les kins de 1 à 13. La deuxième onde est de type « blanche » regroupant les kins allant de 14 à 26. Avec un kin de 39, l’onde enchantée concernant Mozart est donc de type « bleue » puisqu’elle regroupe les kins de 27 à 39. Cette onde démarrant au kin #27 est donc appelée « Onde enchantée de la Main Bleue Magnétique » qui possède le pouvoir de la « réalisation ».
Kins analogue, antipode et occulte
Allons maintenant, un peu plus loin dans la compréhension de la personnalité de Mozart. Pour cela, on peut évaluer son glyphe « analogue » qui représente l’énergie qui encourage et accompagne Mozart. Ce glyphe « analogue » est obtenu en soustrayant de la valeur 19, la valeur du glyphe de naissance. Si le chiffre obtenu est nul ou négatif, on rajoute la valeur 20. Soit 19 – 19 = 0 et 0 + 20 = 20, qui correspond au glyphe du Soleil jaune qui illumine le feu universel et représente la vie. Il y a également le glyphe « antipode » qui représente l’énergie avec laquelle Mozart est le plus en conflit. C’est le glyphe qui provoque et aide donc à évoluer en réveillant les mémoires afin d’amener à une prise de conscience. On l’obtient en ajoutant ou en soustrayant la valeur 10 au glyphe de naissance. Ici, on a 19 – 10 = 9, correspondant à la Lune rouge qui purifie le flux d’eau universelle. Enfin, il y a le glyphe occulte qui correspond à l’énergie qui sommeille en profondeur et qui est non contrôlable, car pouvant surgir à tout moment sans prévenir. Ce glyphe correspond aussi à ce que les autres voient de vous et ce qu’ils voient d’eux à travers vous. On l’obtient en soustrayant de la valeur 21, la valeur du glyphe de naissance, soit 21 – 19 = 2, et qui correspond au glyphe « Vent blanc ». C’est le glyphe du souffle qui communique l’esprit. Notons qu’ici la tonalité change également et se calcule en soustrayant, de la valeur 14, la tonalité électrique de naissance, soit 14 – 13 = 1, et donc, une tonalité occulte magnétique qui unifie le but par attraction.
Château et Famille terrestre
Voilà, vous avez maintenant en main deux outils performants : la topologie astrale (TA) et la typologie maya (TM). Ils devraient vous permettre d’apprendre à mieux vous connaître. Sentez-vous libre de choisir l’outil qui vous convient le mieux. J’ajouterai que, comme pour une TA, j’ai créé un logiciel qui crée une TM et la résume sur une page de format A4. Voici ce que cela donne pour Mozart.
On y retrouve la plupart des éléments discutés précédemment, avec quelques mots-clés et phrases clés supplémentaires pour bien saisir le sens des différents kins, glyphes et tonalités. Deux informations supplémentaires sont aussi disponible. Comme on l’a vu, chacune des 20 ondes enchantées regroupent 13 kins successifs (13×20 = 260). D’autre part, il existe un code à cinq couleurs : rouge pour la création, blanc pour le stockage, bleu pour la manifestation, jaune pour l’expansion et vert pour la dissolution. D’où l’idée de regrouper les ondes enchantées en cinq cycles de quatre ondes. Chaque ensemble de 4 ondes donne donc une composition de 52 kins. Les cinq cycles sont les 5 Châteaux. Chaque château possède une couleur symbolisant sa fonction. Les 4 premiers sont rouges (Est), blancs (nord), bleus (ouest), jaunes (sud), les couleurs primaires des glyphes et le cinquième, qui est la symbiose des 4, le facteur +1 d’évolution, est vert, comme le jour hors du temps… C’est ainsi que l’onde enchantée de la main bleue qui contient le kin #39 de Mozart appartient au château rouge de l’est qui est associé à tout ce qui est le point de naître. Comme le Tzolkin se synchronise avec le calendrier des treize lunes tous les 52 ans, ces cycles de 52 ans sont aussi assimilés aux châteaux puisque 52 = 260/5.
Sachant que le début de l’année Maya est fixé au 26 juillet de l’année grégorienne, on peut, aussi, calculer, pour Mozart, né le 27/01/1756, le kin de son année de naissance Maya à la date du 26/07/1755. On trouve ici le kin #114 qui correspond au magicien blanc planétaire (IX) appartenant à la famille Portail dont le rôle est de transmettre l’information galactique vers le centre de la Terre. D’où une alternance entre les quatre glyphes (IX, CAUAC, KAN et MULUC), toujours dans cet ordre, d’une année à l’autre. Par conséquent, si au 26/07/1755 Mozart était sous la tutelle du magicien blanc (IX), il est passé au 26/07/1756 sous la tutelle de la tempête bleue (CAUAC). Puis, au 26/07/1757, il passa sous la tutelle de la graine jaune (KAN) et, finalement, au 26/07/1758 sous la tutelle de la lune rouge (MULUC). Et, ainsi de suite jusqu’à son décès, survenu le 5/12/1791, sous la tutelle de la lune rouge.
Conclusion
L’avantage d’une TM par rapport à une TA, c’est qu’elle apporte des réponses précises à un questionnement crucial pour tout être : « Pour quelle(s) raisons me suis-je incarné sur la planète Terre et quelle est la nature exacte de la mission qui m’a été confiée à cette occasion ? Pour Mozart, une réponse possible se trouve dans la phrase-clé située en dessous du dessin de son kin de naissance : « Je persiste afin de catalyser, transcendant l’énergie. Je scelle la Matrice de l’auto-génération avec la tonalité Cosmique de la présence. Je suis guidé par le pouvoir de l’abondance ». Analysons cette phrase à la lumière de ce que l’on connaît sur la musique de ce prodige. Faisant partie de la famille « Portail », Mozart peut transporter jusqu’au centre de la Terre, l’information magnétique captée par sa conscience qu’il reçoit du centre de la galaxie. De plus, la lune rouge appartient à la cellule du temps #3 qui autorise Mozart à transformer cette information. Et, comme cette lune rouge fait partie du clan du sang (chromatique rouge), cette transformation permet d’initier la naissance d’une vérité qu’il exprimera sous une forme musicale. Ce faisant, il purifie ce flux musical avec l’eau universelle cosmique dans le but d’obtenir une musique fluide comme de l’eau (voir, par exemple, l’Andante de la sonate n° 15 en Fa majeur, K533 II, disponible au diapason de l’eau (https://tommijacks.bandcamp.com/track/sonata-n-15-f-major-k-533-ii-andante-de-mozart-by-tj). De plus, en raison de la tonalité cosmique de son kin de naissance, Mozart est aussi, par essence, très présent dans ce qu’il réalise.
Ceci n’est, bien sûr, qu’un exemple. Et, c’est à chacun de calculer son kin de naissance avec les règles données ici pour avoir sa phrase-clé affirmative. Pour toutes celles et ceux qui disposent déjà d’une TA, il m’est très facile de faire tourner le logiciel puisque je dispose d’une date de naissance et d’une adresse e-mail. Pour les personnes qui le souhaitent, ils peuvent également m’envoyer à l’e-mail : natureauquant@gmail.com, une photo pour bien personnaliser leur TM. Reste la motivation à faire ce travail ingrat pour 513 personnes. C’est ici que je reviens sur la publication de l’article dédié au support théorique des musiques au diapason de l’eau. En effet, les caisses de l’association Natur’Eau Quant sont actuellement bien vides, et il faut trouver très rapidement la somme de 1500 $ pour que le papier soit publié. Par conséquent, dorénavant, toute demande de TA ou de TM devra être accompagné d’un don à l’association qu’elle puisse sortir du rouge. Peu importe la somme. Chacun donne en fonction de ses moyens. En retour, ceux qui disposent déjà d’une TA recevront leur TM au format PDF. Pour les petits nouveaux, ils pourront recevoir les deux (TA et TM) à condition de faire deux dons séparés. Là aussi, la somme donnée importe peu, seule l’intention compte.
Enfin, pour ceux qui ne veulent pas faire de don, ils ont tous les moyens en main pour calculer leur TM, ou bien aller sur internet. Voici trois adresses sur lesquelles je me suis fortement appuyé pour rédiger cette chronique, et qui vous permettront d’être autonome :
https://synchronometre.blogspot.com/
https://volublog.blogspot.com/2018/03/le-tzolkin-les-bases.html
https://volublog.blogspot.com/2018/03/le-tzolkin-pratiques-personnelles.html
Enfin, pour faire un don :
https://www.helloasso.com/associations/natur-eau-quant/formulaires/1
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