Épisode 34 Covid-19, septembre 2020
Une situation de dictature
Après deux mois d’interruption estivale, je reprends la plume. Car côté COVID-19, la situation est devenue ubuesque. Dans les grandes villes, on ne peut plus sortir dehors sans porter un masque sur son visage. Notre meilleur virologue est traîné devant un conseil de l’ordre comme un vulgaire charlatan. On prétend que les cas de contamination explosent alors les hospitalisations restent stables. Peu de gens semblent avoir compris que l’obligation de se voiler la face en public a pour corollaire logique de lever le masque d’hypocrisie porté habituellement par nos dirigeants.
Expliquons-nous. On assiste actuellement à la mise en place d’une véritable dictature hygiéniste. Les caractéristiques d’une dictature sont de fait bien là. Obligation de faire certaines choses bridant les libertés fondamentales d’une population. Recours à la force policière en cas de non-respect des obligations imposées par un nombre très restreint de personnes à des millions d’individus. Recours massif à la propagande de contre-vérités flagrantes via une main-mise sur les grands média.
La nuit des longs couteaux
Dans ce climat détestable, la chaîne ARTE a eu l’excellente idée de diffuser un documentaire passionnant. Il portait sur la nuit des longs couteaux en juillet 1933. On y analyse comment toute une société démocratique a pu basculer en seulement 3 jours dans la dictature nazie. Ceci sous l’impulsion d’une minorité aux idées bien arrêtées se drapant pour agir dans une légitimité sortie des urnes.
Il est peut-être temps de rappeler ici l’avertissement du poète allemand Johann Wolfgang von Goethe. Selon lui, « Ceux qui ne comprennent pas leur passé sont condamnés à le revivre ». Car, il y a une leçon que l’on peut tirer de la nuit des longs couteaux. C’est que la dictature peut s’imposer avec l’accord du peuple et non contre sa volonté. Il suffit pour cela de l’endoctriner convenablement via des techniques éprouvées. La toute première technique est un signe de ralliement ostensible qui permet clairement d’identifier les individus récalcitrants. Cela peut être un bras tendu vers le haut ou le port d’un objet visible par tous. Aujourd’hui, le signe de ralliement à la cause totalitaire est le port du masque. Gare à ceux qui refusent de se plier à la règle.
Puis il faut des chevilles ouvrières pour s’assurer que l’assaut contre la liberté soit un succès. Aujourd’hui, on reconnait ces personnes par le fait qu’ils ne reconnaissent que la médecine fondée sur les preuves. Ces ayatollahs n’ont aucun scrupule à traîner dans la boue les médecins qui se fichent des protocoles imposés par leur doctrine. Puis il y a les hauts gradés qui paradent dans les médias et terrorisent la population en parlant de « seconde vague ». Enfin, il faut des lieux pour parquer les vieillards que toute dictature considère comme inopérants.
Dictature hygiéniste
La nouveauté en 2020, c’est que la dictature qui se met doucement en place n’est pas l’œuvre d’un seul être humain. Elle provient de groupes d’individus partageant la même idéologie partout sur la planète. L’ennemi à éradiquer n’est plus un autre être humain. On se bat aujourd’hui contre le virus, la bactérie ou le champignon. C’est hélas une caractéristique de l’être humain de vouloir qu’une minorité qui possède le pouvoir et la force policière impose sa manière de voir le monde à une majorité.
Cette dictature médicale est loi d’être récente. Elle a vu le jour en 1910. Puis, elle s’est constituée en force agissante dotées de moyens énormes au début des années 1990. Le fait que le masque tombe en 2020 provient du détricotage patient et systématique de notre système de soins. Le déremboursement du médicament homéopathique a été sa dernière victoire juste avant la crise du COVID-19. Car, à force de rogner la même corde, elle finit par lâcher. Le SARS-CoV-2 n’a donc rien d’un tueur. Il a simplement joué le rôle de révélateur d’un système de santé pourri jusqu’à la moelle. Or, quand un système de santé déraille, il y a forcément des morts.
Donc, plutôt que d’avouer que nous allons droit dans le mur, on cherche un bouc émissaire : le virus. Voici donc mes arguments pour justifier mon propos.
Que dit la science ?
Il n’y a aucune étude scientifique qui démontre avec les outils de la médecine fondée sur les preuves que les masques empêchent la transmission du virus. On pourra consulter le site suivant pour de plus amples détails. Dans ces conditions, imposer le port du masque alors que l’on se revendique de ce type de médecine est totalement illogique. En fait, nul besoin d’étude scientifique pour comprendre qu’un virus étant une nanoparticule, il faudrait disposer d’un maillage extrêmement fin (quelques dizaines de nanomètres) pour être efficace. De tels masques existent, mais ce ne sont pas ceux que l’on oblige à porter en permanence. De qui se moque-t-on ?
Toute nanoparticule obéit aux lois du mouvement brownien qui ont été établies par Albert Einstein dès 1905. Ces lois stipulent que le libre parcours moyen d’une nanoparticule varie comme la racine carrée du temps écoulé. Ainsi, pour un virus de 100 nanomètres de diamètre soumis à l’agitation thermique ambiante (T ≈ 300 K) dans l’air ayant une viscosité de 0,0018 mPa·s, il faut attendre 26 ans pour qu’un virus balaye une surface de 1 mètre-carré. Pour balayer une surface de 1 centimètre-carré, il lui faudra environ un jour.
Compte tenu de ces chiffres, la seule manière pour un virus d’être contaminant est de se poser sur une surface en attendant qu’une main vienne le cueillir. Donc si l’on voulait vraiment lutter contre la contamination virale on devrait sanctionner le non-lavage des mains et pas le fait de respirer librement sans masques sur le nez ou la bouche. En fait, le masque ne protège que des postillons, d’où son utilité dès que l’on s’approche suffisamment près de la bouche d’une personne contaminée. Pour le reste, on nage en plein fantasme. Encore une fois, de qui se moque-t-on ?
Incohérences flagrantes
Admettons que le virus se propage par l’air, par un mécanisme qui reste à élucider. On devrait alors, logiquement, sanctionner toute tentative de fumer en public. Sachez que mon nez est capable de détecter un fumeur. Même s’il est à plus de dix mètres de moi et même s’il ne fume pas. Donc, fumer en période d’épidémie est potentiellement un acte grave de conséquences pour la santé des autres. Or, les fumeurs ont le droit, sur toute terrasse de restaurant, de vous cracher en pleine figure leur fumée. En cas de contamination, cette fumée sera bien sûr bourrée de virus. Les fumeurs sont-ils rappelés à l’ordre ou réprimandés pour leurs actes irrespectueux d’autrui ? Que nenni. Ils ont la loi pour eux, comme me l’ont fait savoir certains fumeurs avec un sourire cynique. De qui se moque-t-on ?
Je pourrais aussi cite cet argument qui fait froid dans le dos. Alors que la virologie est une science complexe, une grande partie de la population attend des mesures simples qui s’appliquent à tous sans dérogation possible. Le port obligatoire du masque répond parfaitement à cette demande d’une partie de la population. Par contre, le lavage de mains, qui est la seule mesure vraiment efficace, ne répond pas au critère n°1 de toute dictature. Car, comment vérifier que quelqu’un s’est bien lavé les mains ? Comme je l’ai dit plus haut, toute dictature se met en place avec l’accord de la population et non contre sa volonté. Je suis ainsi frappé de constater que personne ne parle d’une mesure d’une simplicité biblique. Celle qui est conforme à la science et qui est de ne pas porter de masque.
Dictare
Des gens, sous prétexte qu’ils sont médecins, se permettent ainsi de vous dicter de faire des choses qui sont en contradiction flagrante avec la connaissance scientifique. Or, dicter partage la même racine latine dictare que dictature. Ce verbe latin signifie que l’on répète en boucle le même message invariant, ingrédient de base de toute dictature. La dictature du masque (au sens étymologique du mot) est donc bien là et s’est solidement installée au cours de l’été. Pire, certains médecins prétendent sans vergogne aucune que l’on va devoir s’habituer à porter le masque pour de longues années. Car, si le masque est efficace pour le SARS-CoV-2, il doit nécessairement l’être pour tout virus. Or, ce ne sont pas les virus pathogènes qui manquent sur cette planète.
D’autres plus optimistes, disent que l’on pourra à nouveau vivre sans masque dès que l’on aura trouvé un vaccin efficace. Cependant, la vaccination obligatoire pour tous n’est-elle pas aussi un outil potentiel de dictature ? De plus, quid d’un SARS-CoV-3 ? Car il est bien connu que les virus à ARN mutent en permanence et qu’un vaccin ne peut en aucun cas protéger contre toutes les mutations possibles. D’où une lutte sans fin avec épisodes masqués et non masqués. Belle perspective. Si encore le vaccin était gratuit et sans produits suspects dans sa composition. On pourrait alors adhérer à son utilisation dans le cadre de la balance bénéfices/risques. Toutefois, beaucoup d’eau coulera sous les ponts avant que l’industrie pharmaceutique renonce aux profits pharamineux et inépuisables générés par une vaccination obligatoire pour tous.
Juges et magistrats
Le port obligatoire du masque est donc un révélateur d’une dérive possible vers une dictature médicale extrêmement pernicieuse. Car, à côté des chevilles ouvrières, il y a toujours eu les collaborateurs particulièrement zélés. Je me suis vu ainsi rappelé sèchement à l’ordre par des contrôleurs de train ou des épiciers. Simplement parce que mon masque avait glissé et que mon nez se trouvait à l’air libre. Or, ces gens ne sont ni médecins, ni policiers et n’ont absolument aucune autorité pour dire ce qu’il y a lieu de faire ou de ne pas faire. En bons capos bien zélés, ils appliquent des consignes qu’ils ne peuvent même pas comprendre. C’est à ce point précis que les dictateurs de tout poil peuvent prendre le pouvoir et imposer un régime totalitaire basé sur une pensée unique.
C’est pourquoi certains médecins lucides ont porté l’affaire devant les tribunaux et ont heureusement eu gain de cause. Notamment à Strasbourg. On se retrouve donc dans la situation assez comique, où les juges semblent plus en accord avec la science (alors que rien ne les prédestine à cela dans leur formation) que les médecins. Reste donc aux dictateurs en herbe à convertir les juges à leur doctrine totalitaire. L’avenir dira si la justice sera capable de résister à la pression que ne manqueront pas d’exercer les adeptes du masque pour tous en toutes circonstances.
Que faire ?
Pour conclure, je rappelle que l’humanité a pu survivre aux pires épidémies sans jamais porter de masques. Au Moyen Âge les masques existaient déjà, mais étaient réservés à ceux qui côtoyaient des malades avérés. Aujourd’hui, on vous dit en substance qu’il faut porter un masque parce qu’il y a des porteurs sains. Le simple fait d’imaginer que quelqu’un puisse être malade prend donc le pas sur la maladie elle-même. Autrement dit la peur d’être malade l’emporte sur le fait d’être malade. Or, il faut savoir que la peur conduit automatiquement à la violence.
Donc, laissons tomber les masques et lavons-nous les mains. C’est la première chose à faire. Ensuite buvons une eau de bonne qualité correctement dynamisée en ayant une hygiène de vie la plus saine possible. Cela signifie le rejet systématique de tous les produits industriels hyper-transformés et une alimentation de type biologique. Arrêtons de fumer et limitons le sucre à son strict minimum. Si cela ne suffit pas, il y a l’eau de mer de Quinton, les mycéliums, l’argile verte, le charbon actif, la vitamine C liposomale. Pour les personnes les plus fragiles ou âgées on peut avoir recours au bleu de méthylène. L’idée est bien de ne pas avoir peur d’être contaminé. Car, notre corps, s’il est bien entretenu, a les moyens, en cas de contamination, de lutter contre n’importe quel virus indépendamment de tout vaccin.
Résister…
Ce n’est qu’à ces conditions que nous pourrons échapper à la dictature hygiéniste qui est en train de se mettre en place et vivre le visage à l’air libre. Pour l’instant, notre avenir proche est dans les mains des juges et des magistrats. Car, ceux-ci sont notre seul rempart contre les décisions abusives de certains maires et préfets qui propagent avec un zèle excessif des consignes qui les dépassent totalement.
La santé n’appartient pas à un état, mais bien à un individu. C’est cela qu’il faut répéter inlassablement et aller en justice chaque fois que ce droit fondamental est bafoué. Car un état ne peut pas, par définition, se placer au-dessus des lois qu’il promulgue. La France a toujours été le pays des droits de l’homme. Aujourd’hui, elle semble capituler devant des forces qui ont une fait du masque un symbole fort et puissant. Refusons cette prémisse de dictature pendant qu’il en est encore temps.
Par Marc HENRY
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