Épisode 43 Covid-19, février 2021
Quand le vrai et le faux se mélangent
Me voilà donc de retour après deux mois de silence. J’ai été très touché de savoir que certains d’entre vous se sont inquiétés de ce silence. Ils ont donc cherché à prendre de mes nouvelles. Je commencerais donc cette chronique par quelques explications. La première est que nous avons eu d’énormes problèmes avec le site. Il y a bien sûr les nombreux pourriels envoyés en guise de commentaires aux chroniques. Trier le vrai du faux devenait très prenant. Cela me rappelle une citation de Paul Valéry qui s’applique parfaitement à la situation actuelle : « Le mélange de vrai et de faux est énormément plus toxique que le faux pur ».
Si vous êtes donc désorientés en ce début février 2021, rien de plus normal. Pour information, l’association a donc été obligée d’avoir recours à une société spécialisée dans la gestion des sites internet. Car nous avons bien conscient que le site est très lent et nécessite un sérieux nettoyage de fond. Soyez donc patient en attendant votre connexion. Le problème devrait disparaître dans les semaines à venir.
Adieu l’Alsace
La deuxième raison de mon silence est un grand déménagement en 3 vagues depuis l’Alsace vers les Alpes-Maritimes. Cela m’a pris 2 mois pleins pour retrouver un lieu d’habitation fonctionnel. Toutefois, ayant opté pour la location d’une maison isolée en pleine nature, je n’ai pas encore d’accès à internet. Si tout va bien, j’en aurais un lundi prochain. Comme je ne suis pas très à l’aise avec les téléphones mobiles, mes activités internet ont quasiment été bloquées.
La troisième raison est une certaine lassitude face à un battage médiatique incessant. J’avais besoin de prendre du recul par rapport à cette « épidémie ». Car là aussi, il y a un mélange permanent de vrai et de faux qui est extrêmement toxique. Surtout, dès que l’on essaye d’émettre un avis un tant soit peu différent de celui martelé par le pouvoir en place, on s’en prend plein la figure. C’est en effet extrêmement pénible de voir que 40 ans de bon et loyaux services au service de la science comptent pour zéro. Car la science, est bien la grande perdante de ce déferlement médiatique de soi-disant « experts ». Toujours les mêmes têtes, toujours les mêmes discours lénifiants qui tournent en boucle avec des arguments binaires totalement désolants. On est pour ou on est contre. Pas d’autre issue possible.
Un peu de méchanceté…
Donc, aujourd’hui je reprends la plume. Toutefois, une envie d’être vraiment méchant me taraude. Tant la situation que l’on impose devient chaque jour de plus en plus absurde. Toutefois, être méchant, ne signifie en rien être grossier ni violent. Je ne vais donc pas appeler à la révolte ni à l’insurrection. Je vais simplement dire ma vérité, sur ce qui est en train de se passer, et ce sans prendre de pincettes. Ma cible sera bien sûr la profession médicale qui a réussi à prendre un pouvoir démesuré en moins d’une année.
Tout d’abord une piqûre de rappel. Avant cette crise, les médecins paradaient-ils sur les chaînes de télévision ou de radio ? Non, car la place d’un médecin était dans son cabinet médical ou au chevet des patients à l’hôpital. S’occuper des malades est tellement prenant, que vous n’avez pas beaucoup le temps de faire le beau à la télé. Si vous le faites, c’est que vous êtes forcément plus dans l’administration et dans la gestion que dans le soin. Je sais, c’est méchant de dire cela, mais je vous avais prévenu.
Des experts qui n’en sont pas…
Car, en 40 ans de carrière d’enseignant-chercheur, j’ai pu constater que les vrais enseignants étaient devant les étudiants. De même, les vrais chercheurs étaient devant leurs éprouvettes ou leurs appareils de mesure. Dès que vous faites de la gestion, vous bénéficiez de « décharges ». On arrive alors à avoir des « enseignants » qui ne voient plus jamais d’étudiants. De même, il y a des « chercheurs » qui n’ont plus aucun contact avec la réalité expérimentale. Plus la fonction de gestion ou d’administration est élevée, plus on s’éloigne de son cœur de métier. Ceci est vrai dans tous les domaines universitaires et donc en particulier en médecine.
D’où ma première leçon : tout expert sur quelque sujet que ce soit qui passe à la télé ou à la radio est nécessairement une personne en phase de déconnexion de la réalité de son métier. Car le journaliste moyen ira toujours chercher le chef de service ou le directeur de recherches, plutôt que celui qui a les mains dans le cambouis. Ce faisant, on écoute toujours la personne qui est la plus déconnectée du terrain et des choses bien réelles. Ceci pour vous dire que tout ce que vous entendez dans les grands médias, est absolument sans aucun intérêt. Ce n’est pas de l’information utile que l’on vous distille, mais de simples opinions ou points de vue.
Médecine de terrain
Certes, mais alors où se procurer l’information utile pour cette épidémie de COVID-19 ? La réponse est étonnamment simple : chez votre médecin traitant. Car, vous verrez rarement un médecin de terrain affirmer qu’il agit de manière scientifique. Car, un malade, ce n’est pas une éprouvette ou une statistique. C’est un être fait de chair de sang, qui souffre et qui est angoissé. Quelqu’un qu’il faut soigner et rassurer. Donc, si d’aventure, il existe un moyen non scientifique de soulager le malade, le médecin de terrain n’hésite pas une seule seconde. Il tente le coup, même s’il n’y a aucune étude randomisée en double anonymat pour le « protéger ». Un vrai médecin sait que son cœur de métier est plus de nature artistique que scientifique. Celui qui prétend agir au nom de la science est plus souvent un bourreau qu’un sauveur.
Si vous n’êtes pas convaincus, voyez l’enfer que nous font vivre les experts médicaux de nos médias. Ils se vantent tous de faire confiance à la science pour savoir ce qu’il faut faire. Voyez le résultat… Si je vous choque, tant mieux. Car, vous êtes en train de risquer votre vie en faisant confiance à ceux qui agissent au nom de la science. Nouvelle piqûre de rappel. Pourquoi a-t-on appelé médecins-bourreaux, ceux qui œuvraient de manière scientifique dans les camps de la mort ? Simplement parce qu’en adoptant les méthodes de la science, ils ont renoncé à leur humanité. Libre à vous donc de livrer votre corps aux délires de ces médecins qui n’ont que le mot science à la bouche. Vous devenez simplement un cobaye pour tester des théories très souvent totalement foireuses.
Définition de la science
Oui, je sais, ce que je dis est vraiment très méchant, mais encore une fois, c’est ma vérité. Je vais quand même vous donner des arguments pour expliciter mon point de vue. Pour cela, il nous faut une définition de ce que l’on appelle la science. Mon expérience de 40 ans sur le terrain, m’a appris que seuls les phénomènes parfaitement reproductibles sont susceptibles d’une étude scientifique. Aucune science n’est possible, si à chaque expérience vous obtenez un résultat sans rapport avec le précédent. Ceci est tout simplement incontournable et non négociable. Il découle de ce postulat simple plusieurs conséquences importantes.
Tout d’abord, la médecine ne peut pas être une science. Car si j’administre le même remède à la même personne atteinte de la même maladie, j’aurais à chaque fois un résultat différent. C’est pour cette raison que les médecins font toujours des statistiques. Toutefois, rappelons que les statistiques ont été inventées pour pendre des décisions face à des phénomènes aléatoires. Faire des statistiques, ce n’est donc pas faire de la science, mais plutôt de la politique. Si, face à l’aléatoire, vous refusez de faire des statistiques, vous êtes tout simplement un artiste. La médecine est donc bien un art et sûrement pas une science. Ceux qui paradent à la télé sont donc peut-être d’excellents scientifiques, mais quid de leur talent artistique face à une maladie ? La question mérite d’être posée.
Une science mortifère et menteuse
Les méthodes de la science sont incapables de résoudre tout problème faisant intervenir un être vivant. Car là aussi, prenez une cellule femelle pour la féconder par une cellule mâle.Vous n’obtiendrez jamais exactement la même cellule fille à chaque fécondation. Les méthodes de la science ne s’appliquent donc qu’à la matière inerte. En gros, j’essaye de vous faire comprendre que toute approche scientifique ne peut que conduire à la mort. De fait, les armes de destructions massives n’auraient jamais existé sans la science. C’est grâce à la science, que l’on peut polluer et violer la Nature, jusque dans ses parties les plus intimes. Suivre le chemin de la science est donc le moyen le plus sûr pour mourir dans d’atroces souffrances.
Enfin, la science incite toujours au mensonge. Car elle favorise systématiquement ce qui est artificiel au détriment de ce qui est naturel. Or, la vérité est toujours dans ce qui est naturel. De fait, ce qui me frappe dans cette crise, c’est qu’elle nous pousse à faire confiance à ce qui est artificiel (les vaccins) et douter de ce qui est naturel (notre système immunitaire). Je remarque aussi que le mensonge est bien là, puisqu’on nous parle de vaccins alors qu’on injecte un ARN messager qui une information génétique. Ce que les nazis avaient rêvé de pouvoir faire sur l’homme est en passe d’être réalisé par des médecins modernes. Qui plus est, à une échelle mondiale et non pas à l’échelle d’un pays.
Mensonges criminels
On retrouve d’ailleurs le mensonge à tous les niveaux de ces experts médicaux. On nous dit par exemple qu’il n’y a aucun risque que l’ARN messager injecté soit transformé en ADN qui pourra venir s’insérer dans notre génome. Voilà bien un mensonge éhonté, puisque le test RT-PCR a été précisément mis au point pour pouvoir transformer un bout d’ARN en ADN grâce à une rétro transcriptase trouvée dans les rétrovirus. Le coronavirus n’étant pas un rétrovirus, on affirme donc qu’il n’y a absolument aucun risque. Seulement voilà, en 1999, il a été trouvé que les lymphocytes humains possèdent une rétro transcriptase capable de transcrire l’ARN en ADN (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10220433/). Ce qui est en train de se passer est donc tout simplement criminel.
De fait, on sait qu’il y a déjà eu des décès après injection de ces informations génétiques virales. Car on a absolument aucun recul sur cette nouvelle technologie. La vérité est qu’une étude de phase III à l’échelle mondiale est en train de se mettre en place. C’est pour cela que cette vaccination n’est pas obligatoire et nécessite la signature d’un papier dédouanant ceux qui pratiquent l’injection. S’il vous arrive quelque chose de grave ce sera donc uniquement de votre faute. Il n’y a aura aucun recours juridique possible. Des démons, vous dis-je, qui cherchent à préparer des humains génétiquement modifiés. C’est bien l’enjeu réel de cette crise. Il fallait que je vous prévienne. C’est fait. Reste maintenant à chacun de prendre une décision en son âme et conscience et d’en assumer les conséquences.
Par Marc HENRY
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