77• Retour vers le futur

77• Retour vers le futur

Épisode 77, septembre 2023 : C’est la marque d’un esprit cultivé qu’être capable de nourrir une pensée sans la cautionner pour autant.

Aristote

Mais, qui es-tu donc marionnettiste ?

Nous sommes fin septembre 2023. Et, ce matin, l’idée m’est venue de refaire des chroniques régulières sur l’état actuel de notre monde. Comme je l’avais fait d’avril 2020 à septembre 2022, lors de la crise de la COVID-19. Car, depuis cette rentrée 2023, certaines personnes que j’estime beaucoup pour leur rigueur et leur droiture affirment que nous sommes entrés dans un nouveau genre de guerre. Nouveau, parce que ce seraient les états qui se retourneraient contre leur population afin de la réduire au strict minimum.

Si tel est bien le cas, il est de mon devoir de reprendre la plume. Ceci, dans le but d’informer et de conseiller face à ce type de combat qui met en jeu de l’information. Et, non, des balles en métal. Car, n’oublions pas, au bout d’un stylo, il y a aussi du métal pour faire la plume. Et, ce qui est aussi nouveau, c’est que le stylo peut très bien être virtuel.

Autrement dit, le combat ne se fait plus dans la rue avec des fusils et des blindés. Mais, plutôt, avec des mots et des idées sur internet et les réseaux sociaux. Pire, pour distraire la population afin qu’elle ne se rende pas compte qu’elle va se faire anéantir, on agite en permanence des marionnettes qui n’ont aucun pouvoir réel. L’idée est que ces marionnettes puissent servir de bouc émissaire si jamais les choses tournent « mal ». Et, à l’inverse, si les choses tournent « bien », on récompensera grassement ces mêmes marionnettes pour le travail de sape effectué envers leur population.

Inutile de citer des noms puisqu’ils s’affichent en permanence dans les médias et sur les réseaux sociaux. Mais, n’oublions pas que la perversité est l’arme première employée dans ces guerres d’un nouveau genre. Et, les vrais commanditaires restent, eux, parfaitement anonymes et inconnus. Tout ce que l’on sait d’eux, c’est qu’ils sont abominablement riches. Et, qu’ils trouveraient qu’il y a décidément trop de personnes jugées « inutiles » qui encombrent la planète. L’idée serait donc de supprimer tous ceux qui ne servent à rien ou qui s’opposent à leur envie d’hégémonisme. Ceci afin de ne conserver qu’une minorité soumise et docile. Puisque soigneusement sélectionnée sur le plan génétique et endoctrinée dès la petite enfance…

Le bon bout de sa raison…

Je vous épargnerai évidemment les détails éminemment sordides qui pourraient émailler un tel discours introductif. Parce que, mon but, ici, n’est pas de chercher à savoir si cette théorie d’une nouvelle guerre basée sur l’information est vraie ou fausse. Cela n’a strictement aucun intérêt. Comme vous le comprendrez, peut-être, si vous suivez ces chroniques jusqu’au bon bout de votre raison. Comme aimait à le dire le détective Joseph Rouletabille, sous la plume du délicieux Gaston Leroux… Non, mon but est plutôt de vous parler de l’être humain en général. De mieux le connaître afin de pouvoir juger, par vous-mêmes, si un tel futur est vraiment envisageable. Ceux qui me suivent depuis la première chronique, se rappelleront sûrement ma chronique n° 45 intitulée « Un bien sombre futur ». J’y recommandais de surtout ne pas se faire vacciner.

Je n’ai absolument aucune idée si, à l’époque, on a suivi mon conseil ou pas. Et, d’ailleurs, cela m’indiffère totalement. Mon nouveau conseil aujourd’hui est de ne plus regarder la télévision, écouter la radio ou lire les journaux. Si nous sommes réellement entrés dans une guerre de l’information, tous les médias traditionnels doivent être considérés, a priori, comme suspects de manipulation. Le nouveau champ de bataille, c’est internet et les réseaux sociaux. Et, c’est là que vous devez aller chercher l’information saine et utile. Seul problème, et de taille, internet et les réseaux sociaux sont, eux aussi, envahis de manipulateurs. Ceux qui distillent tout un tas d’informations malsaines et inutiles. La question est donc « comment faire le tri ? ». En revanche, avec les médias traditionnels (presse écrite, radio, télévision), aucun tri à faire… Tout est ici suspect par définition puisque aux mains de quelques grands groupes financiers. 

Gratuité et dons en retour…

Car, contrôler des journalistes qui sont en nombre limité se fait facilement. Il suffit, pour cela, de disposer d’une énorme quantité d’argent. Sur internet, toutefois, le contrôle est beaucoup plus difficile, du moins pour l’instant. Il existera, en effet, toujours des sites internet comme celui-ci qu’il est impossible d’acheter, car tout est déjà gratuit. Ceux qui me suivent sur Fesse de Bouc ou sur Touitteur, savent qu’avec moi tout est accessible et gratuit : les chroniques, la musique, les topologies astrales.

Cela ne veut évidemment pas dire, que l’association Natur’EauQuant que j’ai créée avec Mme Émilie LEFORT, naturopathe, n’a pas besoin d’argent pour fonctionner. Si, bien sûr, mais l’idée générale est que vous pouvez toujours soutenir via une adhésion. Ou bien encore, via un don librement consenti. Et, si vous profitez des informations données sans faire de don, cela nous va aussi.  Bien entendu, pour tout ce qui est de l’information écrite (livrets, livres), là, il y a un prix à payer. Car, les impressions papier ne sont, hélas, pas encore gratuites…

Qui suis-je ?

Par conséquent, vous avez là un premier critère simple à appliquer. Si vous devez payer pour avoir accès à une information, soyez méfiant par principe. Cela ne veut pas dire que tout est pourri, mais, il va falloir trier… Cela ne veut pas dire, non plus, que tout ce qui est gratuit est valable et utile. Là aussi, triez. D’où la nécessité d’être éduqué. Ceci, afin de pouvoir faire le tri soi-même et ne pas le confier à une personne autre que vous-mêmes. Et, c’est précisément là que j’interviens.

En effet, j’ai été professeur dans l’enseignement supérieur de 1993 à 2020. Ceci, après avoir été chercheur au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) de 1980 à 1993. Soit, 40 années de bons et loyaux services auprès de la population française. Je n’ai donc aucune raison de vous mentir. Je suis ainsi payé grâce à mes cotisations retraites patiemment économisées durant ces quarante années de service public. Cela me permet de vivre décemment sans avoir le souci du réfrigérateur vide dans une maison en pleine nature que je loue. Car, si ma retraite me permet d’être locataire, hors de question d’être propriétaire. 

Aller en profondeur pour acquérir de la sagesse

Par conséquent, si, d’aventure, vous vous posez la question de qui me manipule, ou pour qui je roule, la réponse est simple. Pour moi et rien que pour moi. Et, cet intérêt pour ma modeste personne est pour vous une garantie que je ne cherche en aucune manière à nuire à la vôtre. Si j’écris ces chroniques, c’est pour vous aider. Et, je me fiche complètement de savoir si vous allez utiliser, ou pas, cette aide que je propose. C’est votre problème, pas le mien.

Pour ma part, j’ai mes problèmes de santé à gérer, car ma vie n’a pas été de tout repos. Mais, à chaque fois qu’il y a eu un obstacle ou un hoquet sur ma route, il y avait un bon mage ou une bonne fée qui m’ont aidé à passer le cap difficile. Je suis donc toujours bien vivant à l’âge de 65 ans. Et, tant qu’il me restera un souffle de vie, j’essayerai toujours d’être le mage pour d’autres personnes qui souffrent. Car, c’est comme cela que fonctionne un être humain. J’ai, de fait, accumulé durant ces quarante années de travail scientifique et universitaire un ensemble immense de connaissances qu’il me faut à présent partager avec ceux qui le souhaitent. J’aime autant vous prévenir immédiatement que le chemin va être long et par endroits ardu.

Il faudra s’accrocher, non en raison d’un langage incompréhensible, mais par la profondeur des concepts abordés. On n’aborde que très rarement cette notion de profondeur à l’école ou bien à l’université. Car, on apprend à devenir profond avec l’âge, lorsque vieillesse rime avec sagesse. Bien sûr, pour d’autres, vieillesse pourra rimer avec tristesse, faiblesse, ivresse, richesse, ou bien encore avec petitesse. Ceci, lorsqu’on n’a pas fait l’effort d’aller en profondeur. Pour ma part, j’ai eu la chance d’avoir pu explorer les profondeurs de ce qui motive réellement un être humain. Et, surtout, j’ai pu remonter à la surface, pour en parler. Comme je vais le faire, maintenant, sans haine, ni remords. 

Les amis de Georges

Pour finir, cette longue introduction, voici un avant-goût de ce qui vous attend dans les mois qui viennent. Comme déjà évoqué, je suis donc un chercheur académique sans prétention, mais j’ai mauvaise réputation. Certains disent de moi : « Marc Henry, c’est du génie brut de décoffrage pour les uns et de la folie brute à coffrer pour les autres ». Sauf les muets, ça va de soi. Non, certains de mes pairs n’aiment pas que je suive une autre route qu’eux. Je ne fais pourtant de tort à personne en n’écoutant pas le statisticien qui sonne. Quand je croise un chercheur malchanceux, poursuivi par un dogmatique haineux. Je tends la patte, et pourquoi le taire, le dogme à tiques se retrouve par terre.

Quand j’étais petit garçon, je rêvais d’être chimiste et de devenir professeur des universités. Puis, l’eau s’est mise en travers de mon petit bonhomme de chemin, amenant mes premiers chagrins de physicien. J’ai aussi été malade, complètement malade, et j’ai alors appris que blouse blanche pouvait rimer avec cœur étanche. Je croyais être une personne bien tangible. Et, je découvre soudain que sans ce petit bout de chair palpitant, rien n’existe sauf l’instant présent. Savez-vous qu’à chaque respiration, vous prenez le risque de mourir et de ne plus revenir ? Étrange sensation que j’ai eu la chance de vivre autrement que par le livre.

Le temps ne serait-il donc qu’une illusion ? J’ai alors appris à entonner le cantique de la physique quantique. Et, fut tout étonné de découvrir l’illusion du monde atomique à la lumière du vide quantique. L’idée m’effleure alors que l’invisible et l’indicible pourrait très bien être plus réel que toute chose charnelle. Et, voilà une bien précaire conscience qui s’infiltre dans le pré carré des philtres enivrants d’une science dénuée de faux-fuyants. Une fée débordant de charisme m’initie au chamanisme, et alors tout s’éclaire. Il faut absolument tout écrire avant que mon dernier soupir ne vienne me priver d’avenir sur ce petit bout de Terre suspendu dans un vide sidéral. 

Être humain, tout simplement…

Comme vous l’aurez compris, j’aime bien la musique et les chansons. Ce sont les seules choses au monde qui arrivent à me faire fondre en larmes. Sans que je puisse vraiment expliquer pourquoi. Et, ce, malgré toute la science que j’ai dû ingurgiter de gré ou de force. Ce petit résumé très rapide de ma vie faite de science et de musique m’a amené à rencontrer des personnes absolument extraordinaires. Qu’elles soient prix Nobel adulés, industriels géniaux, médecins dévoués, penseurs échevelés, artistes illuminés ou politiciens chevronnés.

Vous les verrez apparaître ici ou là au gré des chroniques. Certains sont déjà partis vers un monde meilleur, tandis que d’autres sont encore bien vivants. Et, prêts à défendre leurs convictions bec et ongles jusqu’à leur dernier souffle. J’ai aussi appris qu’une information débarrassée de son contexte était une chose toxique. D’où ma position en première ligne dès que l’on parle de guerre de l’information. Cela est d’autant plus important à savoir que nous vivons à l’époque d’internet et des réseaux sociaux, où l’on peut se gaver d’informations dénuées de contexte.

Des personnes se permettent ainsi de porter des jugements de valeur sur d’autres personnes. Ceci, à la seule vue de qu’ils ont osé écrire, ou bien à la seule audition de ce qu’ils ont eu le malheur de dire bien sûr, mais également de ne pas dire. Et, ces jugements de valeur sont portés à la connaissance de n’importe quel habitant de la planète connecté à internet en une fraction de seconde. Les fantasmes sont donc vite alimentés, pouvant engendrer des déferlements de haine. C’est ma conviction profonde que l’on peut critiquer un être humain, pour ce qu’il dit, ce qu’il fait ou ce qu’il écrit. Mais, en revanche, impossible de le critiquer pour ce qu’il est. Plus de détails et de profondeur dans les chroniques suivantes…

Par Marc HENRY

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