Épisode 29 Covid-19, juin 2020
Gel, masques, gants et blouses
L’épidémie de COVID-19 s’éteint en France, mais quid d’un COVID-20 cet hiver ? Saurons-nous tirer des leçons de cette crise ? Allons-nous à chaque vague virale faire le bonheur des vendeurs de gel hydroalcoolique ? J’ai vu ainsi apparaître des publicités pour des distributeurs de gel. Il y a aussi tout ce qui tourne autour des masques, des blouses, des gants. Là, un vrai scandale quand on sait que le matériau de base est le polypropylène. Or, la durée de vie d’une fibre en polypropylène est d’au moins 100 ans à la lumière solaire. Cette durée passe à plusieurs siècles dans l’obscurité, sous terre ou sous l’eau.
Avec 8 milliards d’habitants à protéger à raison de 4 masques par jour, il y a de quoi être inquiet. Une avalanche de matière plastique se profile à l’horizon. Alors que la terre et l’eau a déjà bien du mal à absorber la production actuelle. Si le masque peut être une solution ponctuelle, c’est une catastrophe à l’échelle de l’humanité. Je suis aussi attiré de voir des inventeurs imaginer des housses plastiques pour s’embrasser, manger et faire l’amour. Ces gens-là ont-ils un quelconque sens de l’humanité ? Pour l’instant cela fait plutôt rigoler. Demain, nous pleurerons peut-être.
Confinement
Il y a aussi le problème du confinement. Allons-nous accepter de nous claquemurer à chaque alerte virale ? De voir la police patrouiller pour traquer ceux qui se rendent coupables de prendre la main d’un être cher ? Là, je ne rigole plus. Car, c’est bien ce qui s’est passé, ce printemps, à Strasbourg. J’ai vu aussi se dresser des barricades pour empêcher l’accès aux parcs et jardins publics. Je ne vois qu’un mot pour qualifier les 3 mois passés : folie. Nos dirigeants sont simplement devenus fous. Car est-on raisonnable quand on prend de telles décisions à l’échelle de tout un pays ?
Il faut dire qu’il y avait un argument massue. Tout ce ramdam était censé nous protéger contre un méchant virus. J’ai même vu des médecins qualifier le SARS-CoV-2 de « diabolique ». Ceux qui ne l’ont pas encore fait pourront lire mes premières chroniques. Je restituais alors les virus dans l’échelle de la vie. Qualifier les virus comme des êtres diaboliques est tout simplement enfantin. Pour être franc, cela me gêne de voir des médecins ayant pourtant de la bouteille s’exprimer ainsi. Le virus fait partie de la chaîne de la vie. À ce titre, il faut vivre lui avec et ne pas chercher à se protéger par des gels, des masques ou des vaccins.
Infection et immunité
La meilleure protection que l’on connaisse est d’être infecté. Puis, de laisser le système immunitaire faire son travail. Bien sûr, il va y avoir de la fièvre et beaucoup de fatigue. Car, si vous lisez les chroniques consacrées aux processus cellulaires, le travail ne manque pas. Or, qui dit travail, dit fatigue. L’un ne peut se concevoir sans l’autre. De même, qui dit infection, dit guérison potentielle. Par une perversion assez inouïe, au lieu de laisser la fièvre s’exprimer, on la réprime. On cherche aussi à éviter l’infection à tout prix. Ce faisant, on retarde l’apparition de l’immunité collective.
Car c’est bien l’immunité collective qui nous permet de vivre comme des êtres humains. Si on refuse de jouer le jeu, alors on tombe dans l’enfer des masques et du confinement. Que faire lorsqu’on est fatigué ? Là aussi la solution est connue depuis des millénaires. Il faut s’aliter et attendre patiemment. Cela, notre société ne le voit pas d’un très bon œil. Elle préfère vous bourrer de pilules pour que l’économie puisse tourner. Bref, on fait tout à l’envers et après, on accuse le monde microbien. On lui prête une malignité qu’il ne possède pas. Un virus ou une bactérie est tout ce que vous voulez, sauf méchant.
Opportunisme
Le mot clé est ici opportunisme. Les virus et les bactéries font ce qu’ils ont à faire. Ils se fichent pas mal des animaux qu’ils infectent. Ce sont des êtres opportunistes qui, parfois, tuent l’hôte qui les hébergent. Pourquoi ? Sûrement pas par méchanceté. Simplement parce que l’hôte, de par son comportement, remet en cause l’ordre naturel des choses. Il est devenu fou. Les virus et les bactéries le sentent bien. Ils font donc leur travail. Car, la notion de prison est étrangère à la vie. La vie ne connaît que la liberté. Quand, l’on déconne trop sur un plan naturel, on ne peut donc pas être emprisonné. La sanction est plutôt une libération totale de l’être qui a trop déconné. Bien sûr, on appelle « mort », cette liberté totale.
En fait, on meurt sur le plan physique, afin de retrouver notre milieu originel. Je parle bien sûr du vide quantique. Dans mon nouveau livre, je soulève un petit coin du voile. Dans le vide quantique, tout est possible. Rien n’est interdit. On peut aussi contempler tout son être. Depuis sa première incarnation, jusqu’à celle où on a vraiment déconné. Le vide n’oublie rien. Il se souvient de tout. Certains vont même jusqu’à dire qu’il n’existe au fond qu’un seul être.
Soufisme et bouddhisme
C’est la position du philosophe Arabe Abū ʿAbd Allāh Muhammad ibn ʿAlī ibn Muhammad ibn ʿArabī al-Hātimī at-Tāʾī (1165-1240). Cet adepte du soufisme nous apprend que : « Le monde de la Nature consiste en formes variées se reflétant dans un miroir unique – ou mieux : c’est une seule forme se reflétant en de multiples miroirs ». L’être unique a donc de multiples ramifications. Nous sommes les brindilles ou les feuilles de cet être. Les branches sont les différentes populations humaines. Apparemment différents, mais foncièrement de même nature. Il ne peut donc y avoir de racisme dans le vide quantique. Si vous préférez, le racisme est tout simplement contre nature.
Si l’on a des pulsions racistes, c’est parce qu’on nous a menti. On nous fait croire que l’autre existe. Alors qu’il n’existe pas. Vu dans le prisme du vide quantique l’autre, c’est moi-même. Y compris le virus ou la bactérie. Les bouddhistes, eux aussi, ont compris cela. Ils appellent cela la vacuité. L’idée d’être vide, mais néanmoins quelque chose de bien réel. La seule vraie réalité en fait. Car, être vide c’est pouvoir accepter de prendre n’importe quelle forme. Même la plus insignifiante. D’où un respect infini pour tout ce qui est vivant.
Enfer et momies
Les masques et le confinement ne vous protègent donc pas des autres, puisqu’ils n’existent pas. Ils empêchent en fait de se voir tel que l’on est. Cela étant contre nature, les virus et les bactéries se déchaînent à la moindre faille dans la cuirasse. Cela met aussi dans une perspective nouvelle la phrase célèbre de Jean-Paul Sartre. « L’enfer, c’est les autres ». On comprend mieux ainsi ce qui se passe en ce moment dans les rues du monde entier. Les vieux croûtons tremblent dans leurs braies en appelant la police à l’aide. D’autres descendent dans la rue pour proclamer, au fond, que l’autre n’existe pas.
La momie, démasquée, va pour sa part serrer moult paluches en mémoire du « Général ». Chacun réagit à sa manière. Certains renforcent l’idée que les autres sont nos ennemis. D’autres essayent d’abolir cette idée. On accuse la police de ne rien faire. Que pourrait-elle faire, mis à part obéir aux ordres ? Au fait, qui donne les ordres ? C’est la momie bien sûr. Savez-vous qu’il est très difficile de bouger quand on est une momie ? Un ordre fossile se délite sous nos yeux. Ce qui me rassure, c’est que cela signifie nécessairement qu’un autre ordre se profile. Reste à savoir lequel.
Hygiène de vie
Certains pourront estimer que la perspective de se laisser infecter par le SARS-CoV-2, n’est pas très réjouissante. Personne n’a en effet l’envie d’être malade. Le fait que beaucoup de personnes ont déjà été infectées sans avoir le moindre symptôme et déjà, en soi, rassurant. J’ai déjà eu l’occasion de dire ce qu’il était possible de faire pour éviter d’être malade. Avoir une nourriture saine et variée. Bannir en particulier tous les produits industriels hautement transformés. Faire confiance aux producteurs locaux. Cuisiner soi-même. Boire une eau faiblement minéralisée et dynamisée.
Éteindre tous les appareils électriques le soir. Sauf le réfrigérateur évidemment. Aucun appareil fonctionnant en Wi-Fi ne doit rester allumé. Avoir une prise de terre présentant une résistance électrique inférieure à 1 ohm. Dormir dans des draps reliés à la terre. Prendre de la vitamine C, de préférence liposomale, trois fois par jour. Prendre des extraits biologiques de mycéliums, une fois par jour. L’argile fonctionne aussi très bien en préventif.
Bleu de méthylène
Les plus inquiets pourront prendre 75 mg de bleu de méthylène par jour. Préférez les gélules, afin de ne pas avoir la langue bleue. Je sais que la plupart des pharmacies vous enverront sur les roses. Car, ce ne sont pas des pharmaciens, mais de simples boutiquiers. Ils ne savent vendre que ce que l’industrie pharmaceutique propose. Or, le bleu de méthylène est vraiment efficace et très peu cher. Donc, très dangereux pour ces industries. Tout est mis en œuvre, à l’échelle mondiale, pour que l’on ne puisse pas se procurer ce produit. Certains pays l’ont même interdit pour des raisons militaires. C’est en effet le seul remède disponible pour lutter contre les gaz toxiques.
Toutefois, il y a encore de vraies pharmacies dans ce pays. Elles peuvent acheter le produit et vous en faire des gélules. Si vous optez pour une cure au bleu de méthylène, n’oubliez pas de prévenir votre médecin traitant. Il est généralement inoffensif, mais cela reste quand même un produit chimique. Il peut en effet y avoir des interférences avec d’autres médicaments. C’est même l’ancêtre de tous les médicaments chimiques, comme je l’ai expliqué ici. Car, si je dis quelque chose, il y a forcément une publication scientifique à l’appui. Je suis en effet de la vieille école. Celle où il n’y avait pas de réseaux sociaux ni d’internet.
Hydroxychloroquine et EBM
La publication scientifique était, à l’époque, le seul moyen de diffusion des connaissances nouvelles. J’insiste bien sur le fait que tout cela sera efficace, avant l’apparition des symptômes. Une fois les symptômes déclarés, la meilleure option semble être, actuellement, l’hydroxychloroquine (HCQ). J’explique pourquoi dans ma publication sur le bleu méthylène. N’oubliez pas l’antibiotique azithromycine (AZT). Car une fois le virus installé, les bactéries ne vont pas rester inactives.
Bien sûr, il faut pour cela rester de marbre face aux détracteurs de cette thérapeutique. Ce sont bien souvent des médecins qui ne voient les malades qu’à travers des dossiers ou des statistiques. Ils peuvent aussi être sincères, car ils ont une foi indéfectible dans l’EBM. L’EBM, c’est la médecine fondée sur les preuves. Un outil très récent qui vise à éradiquer toute forme de médecine non basée sur la chimie. Ces gens-là ne jurent que par les essais randomisés en double aveugle. Or, il faut des mois, voire des années pour faire ces essais. De plus, tout cela coûte abominablement cher. Cette médecine est ainsi totalement démunie face aux urgences sanitaires.
En cas d’urgence absolue, le bon vieux remède du médecin de famille, sera toujours utile. Il ne sera jamais validé par l’EBM. Par contre, celui qui coûte plus de 1 000€ le milligramme, sera toujours valorisé. Pas parce qu’il a « démontré » son efficacité, mais simplement parce qu’il est beaucoup plus rentable.
Ô rage, ô désespoir
On pourrait croire que la dexamethasone est une exception. Cette molécule a récemment fait la une des médias. Son avantage est qu’elle est ancienne et bon marché. Soit, elle a été testée en double aveugle. Il est toutefois bon de savoir qu’elle n’est « efficace » qu’en cas d’intubation. Si on vous l’administre, il y a 2 chances sur 3 de mourir quand même. Ils appellent cela une victoire contre le COVID-19. Non, c’est une bien maigre victoire contre l’orage de cytokines. Cet orage meurtrier, c’est notre propre corps qui le déclenche. Le SARS-CoV-2, n’y est généralement pour rien. Il a juste mis en évidence que l’on a sérieusement déconné par le passé. On récolte simplement ce que l’on a semé. Ni plus, ni moins.
D’où l’intérêt de bien prendre soin de soi avant d’être infecté. Le corollaire est d’oublier un peu le virus. C’est là où la publicité et les médias nous enfoncent chaque jour un peu plus dans l’enfer. Pour quelle raison font-ils cela ? La suite dans la prochaine chronique.
Par Marc HENRY
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