Épisode 70, mai 2022. Il ne peut y avoir de révolution que là où il y a conscience.
Jean Jaurès
Une première mondiale
Le 14 mai est sorti en première mondiale le film de la réalisatrice Israélienne Yael LEV intitulé : « A story of Hope and Love ». Ce film témoigne de l’action menée par l’ARHF en Afrique pour lutter contre la malaria, le SIDA et les traumatismes de toutes sortes. Vu son importance, le visionnage de ce film de 56 minutes est bien évidemment totalement gratuit. Vous le trouverez sur YouTube en suivant ce lien. Un tel film ne sera jamais proposé au festival de Cannes. Car, il ne montre pas un ou des super-héros, sauver la planète convoitée par d’odieux psychopathes ou d’horribles extraterrestres. Impossible, donc, de voir des Africains gravissant les marches du palais des festivals à Cannes. Tout simplement parce que le film parle d’espoir et d’amour. Aucune scène d’action ou de violence. Juste des Africains gravement malades qui retrouvent le sourire et la joie de vivre.
Donc, pas de quoi motiver des foules avides de sang et de sexe. L’ARHF est un acronyme pour « Amma Resonance Healing Foundation ». Cette fondation hollandaise fut créée en 2007, pour soutenir les travaux de Peter Chappell. Ce médecin britannique souhaitait ardemment appliquer l’homéopathie dans la lutte contre le VIH/SIDA en Afrique. Amma est un nom universel exprimant la compassion, l’attention et le don. Avec de légères différences de prononciation et d’orthographe, on le trouve dans le monde entier portant ce sens. On le retrouve ainsi dans « mamma » ou « maman ». L’ARHF propose des formations et des traitements en Afrique et dans d’autres pays à faible revenu pour traiter efficacement les maladies épidémiques, les traumatismes infligés (syndrome de stress post-traumatique) et les maladies chroniques.
Les résonances PC
En effet, au tournant du siècle, l’Afrique était confrontée à une épidémie aux proportions énormes – le SIDA. Des villages entiers ont disparu. Ce sont surtout les jeunes adultes qui ont été infectés, laissant derrière eux des millions d’orphelins du SIDA. Alors que les médicaments contre le SIDA étaient largement disponibles en Occident, les Africains étaient privés de tout traitement et mouraient par milliers. En 2001, Peter Chappell s’est rendu en Éthiopie pour voir si l’homéopathie avait quelque chose à offrir aux quelque 25 millions d’Africains souffrant du VIH/SIDA. Il n’y avait pratiquement pas d’homéopathes en Afrique, il fallait donc un remède que n’importe quel médecin ou infirmière pourrait prescrire avec des résultats cohérents. Peter a ainsi trouvé que la résonance, le principe scientifique sous-jacent à la loi de similitude, permettait de concevoir un nouveau remède, baptisé PC1.
Ce remède a été utilisé dans des milliers de cas avec des résultats très positifs. Depuis 2001, plusieurs autres remèdes (les Résonances PC) efficaces contre d’autres épidémies telles que le paludisme et la tuberculose ont été conçus et appliqués. Les Résonances PC, de type homéopathique, sont efficaces, totalement sûres, peu coûteuses. De plus, une courte formation suffit pour les utiliser de manière fiable. La résonance est par conséquent utilisée pour stimuler le système immunitaire. Ceci, afin d’induire une réponse d’auto-guérison chez l’individu malade. Pour créer une Résonance PC, une totalité du motif synthétisé de la maladie est imprimée dans l’eau par une conscience humaine imprégnée de l’idée de guérir. Cette totalité repose sur les aspects physiques, psychologiques, éventuellement héréditaires, exprimés dans l’état aigu et chronique de la maladie.
Eau et information
On met donc l’information directement dans l’eau afin de créer une résonance homéopathique. Cela signifie que, à l’instar des puissances homéopathiques élevées, les résonances créées ne contiennent aucune substance matérielle autre que l’eau. Comme cela semblait vraiment extraordinaire, la réalisatrice a souhaité avoir l’avis d’un scientifique reconnu sur le plan académique. J’interviens donc à plusieurs reprises dans le film. Car, la mémoire de l’eau, a été mon cheval de bataille durant toute ma carrière académique. Et, je profite de cette chronique pour aller un peu plus loin et mieux préciser ma pensée. Parce que, les résultats cliniques sont là. Et, je dispose d’une théorie scientifique (voir ma trilogie sur la conscience) pour comprendre qu’il n’y a là rien de magique. Bref, de la bonne science appliquée à l’être humain avec une volonté de l’aider à un coût minimal. Ceci, au lieu de lui nuire (effets secondaires) en lui faisant dépenser le maximum d’argent. Car, le principe même de la résonance interdit tout effet secondaire.
Le premier point à éclaircir est de savoir par quel mécanisme une volonté consciente de guérison peut être imprimée dans de l’eau pure contenant uniquement de l’air dissous. Tout d’abord, comme je l’ai expliqué dans mes livres, on ne pourrait pas utiliser de l’eau pure totalement dégazée. Parce que l’information se loge à l’interface eau/air (nanobulles) et non dans l’eau elle-même. D’où la nécessité impérative de bien secouer la bouteille lors de la production du remède. Mais, aussi lors de la copie dans une nouvelle bouteille, après avoir ajouté quelques gouttes d’une eau préalablement informée. Ceci est très bien expliqué par Harry van der Zee, le président de l’ARHF, à partir de la trente-quatrième minute du film.
Partager ne signifie pas diviser mais multiplier
« Pour guérir le corps a besoin d’information et non d’une substance chimique qui peut déclencher des effets secondaires. Juste de l’information. Et, cela se passe comme lorsque vous lisez des informations dans un journal. Si l’information est de haute qualité, vous ressentez le besoin de la partager avec une autre personne. Et, à la suite de ce partage, vous n’avez rien perdu. Vous avez toujours la même quantité d’information. Le partage n’a pas divisé par deux la quantité d’information. Une première moitié chez vous et la seconde moitié chez l’autre. Non, il y a bel et bien eu duplication à coût nul. Par le même mécanisme, on peut partager cette information avec le pays tout entier. Et, après partage, vous n’avez rien perdu. Avec les résonances PC, c’est pareil.
Ceci signifie qu’avec un seul granule, nous pouvons fabriquer une “bouteille mère”. Parce que l’information du granule va se démultiplier dans toute la bouteille. Le granule s’est ainsi dissous et son information complète se retrouve dans n’importe quelle goutte tirée de cette bouteille mère. Par conséquent, muni d’un compte-goutte, on met 5 gouttes de la bouteille mère dans une autre bouteille d’eau pure non informée. Puis, on frappe violemment la bouteille, à 5 reprises, sur un objet dur. Si, on frappe six fois, cela marche aussi. Mais, cinq fois suffisent. Puis, on dépose de l’eau dans la capsule de la bouteille pour la mettre dans la bouche de la personne à traiter. Après avoir compté jusqu’à cinq, on avale et le tour est joué… »
Eau et conscience
Maintenant, expliquons comment l’information passe de la conscience à l’eau. Il ne s’agit, ici, nullement de transmission de pensée. Pas du tout. On utilise simplement l’émetteur de champs électromagnétique le plus puissant du corps : le cœur. Toute pensée, module en effet, notre activité cardiaque et se retrouve encodée dans le champ magnétique émis en permanence par un cœur qui bat. Ce champ sort du corps et vient imprégner toute eau se trouvant à proximité. Cela peut être un granule, une bouteille d’eau ou un être vivant. Peu importe. Comme je l’explique dans mes publications, l’eau morphogénique, c’est-à-dire accrochée sur tout support, gazeux, liquide ou solide, est formée d’une multitude de domaines de cohérence. Domaines qui sont un subtil mélange de molécules d’eau, de photons virtuels et d’éther quantique.
Bref, chaque domaine de cohérence est susceptible d’encoder une fréquence électromagnétique précise. Par résonance quantique, on peut ainsi informer une eau et mémoriser l’information en provenance d’un cœur humain. Information qui a été modulée par l’activité cérébrale. Activité cérébrale qui se trouve sous le contrôle de la conscience. Conscience qui baigne elle-même dans une source de vie appelée, d’un point de vue scientifique, « éther quantique ». Les lecteurs intéressés pourront en savoir plus en lisant ma trilogie sur la conscience. Au niveau expérimental, ce sont les expériences cruciales de Luc Montagnier qui viennent valider ces idées théoriques. Le film, lui, apporte la preuve clinique de la validité de ces mêmes idées. Donc, inutile de vous dire que l’on est sur du sérieux et du lourd.
L’eau informée n’est pas un médicament
En effet, des expériences in vitro aussi bien qu’in vivo sont explicables au moyen d’un modèle théorique, basé sur les lois de la relativité générale et de la physique quantique. Donc, il n’y a ici aucun mystère, ni aucune arnaque. Juste une nécessité de changement de paradigme. Plaçons uniquement l’information et l’eau, et non des milliards de substances chimiques, au centre de l’échiquier de la vie. En vérité, cela est tellement simple, qu’il faudra peut-être attendre encore des dizaines d’années avant que ce changement de paradigme ne s’opère. Car, ce nouveau paradigme implique de réduire à zéro les fortunes colossales amassées, sur le dos des malades, par l’industrie pharmaceutique. Perspective évidemment inacceptable pour cette industrie, où la même chimie permet de produire aussi bien des médicaments (médecine), que des explosifs (guerres) ou des pesticides (agriculture).
D’où une guérilla permanente, dans les pays dits « civilisés », pour dévaloriser toute médecine, agriculture ou volonté d’aller vers une paix entre les peuples, basée sur le concept d’eau morphogénique informée. Bien sûr, les pays dits « en voie de développement » ne sont pas concernés par une telle guérilla. C’est donc dans ces pays exploités et méprisés par la société occidentale que l’on peut travailler sereinement et redonner espoir. Ceci grâce à une force d’amour cosmique transmise par tout cœur qui bat. L’eau informée ne doit donc, en aucun cas être considérée comme un médicament. Cela fonctionne en Afrique parce que dans les villages les personnes forment une communauté. Par conséquent, l’eau entre en résonance avec non pas un individu malade, mais avec la communauté tout entière.
Nourriture et environnement
Dans le monde occidental, on cultive plutôt l’individualisme et le « chacun pour soi ». La résonance avec l’eau est donc beaucoup plus faible. Car, elle implique un seul individu et non une communauté solidaire. De plus, nous devons comprendre que la guérison ne vient pas de l’eau, mais de nous-mêmes. Il est donc nécessaire de s’impliquer dans le processus de guérison. Or, bien souvent, la volonté de guérir se trouve dans la tête, alors que l’intention de guérison doit venir de son cœur. La personne qui souhaite guérir via l’eau informée doit aussi avoir une bonne hygiène alimentaire. L’eau informée ne doit pas, en effet, rencontrer un corps qui élimine des substances chimiques ou toute sorte de polluants. Plus le corps est « pur », plus l’eau a une action efficace sur ce dernier. C’est ce qu’explique Harry à partir de la cinquante et unième minute.
Si l’on revient à nos Africains, la nourriture est généralement saine dans les villages et polluée dans les villes. C’est pour cette raison que l’eau informée marche mieux avec des villageois qu’avec des citadins. Le contact permanent avec un milieu naturel favorise la guérison via l’eau informée. Bref, ne cherchez pas à lutter contre les symptômes, mais coopérez avec eux par résonance. Et, l’environnement humain, animal ou végétal peut dynamiser grandement une telle coopération. An l’absence de résonance avec le milieu extérieur, la coopération se retrouve totalement inhibée. Tout ceci est assez difficile à comprendre quand on a pris l’habitude de prendre un remède dès que quelque chose ne va pas. On pense que le problème est en nous, alors qu’il est autour de nous. De même, on pense que la solution est dans l’eau, alors que l’eau n’est qu’une médiatrice entre nous et l’univers dans lequel on choisit d’évoluer.
Information et musique
Les premiers trois quarts du film valident mes idées sur le cinquième mode de pensée, baptisé « immatérialisme ». Je me réjouis donc que le dernier quart valide aussi mes idées sur le sixième mode de pensée, baptisé « musicalisme ». L’idée est ici de remplacer l’onde électromagnétique par une onde sonore. Pour cela, on exploite l’existence d’une cinquième dimension d’échelle dans notre univers. Concrètement, cela signifie que l’information peut s’imprégner aussi bien dans de l’eau que dans un morceau de musique. Les adeptes de la “musique des plantes” ne seront pas autrement surpris de cela. Et, dans les deux cas, eau ou musique, la guérison est au rendez-vous…
Pour conclure, l’ARHF a démontré que le projet de prévention du paludisme et du SIDA en Afrique avait un coût de 10 cents par personne et par an. Qui dit mieux ? Mais, hélas, des millions d’enfants et d’adultes doivent être traités. D’où la nécessité de disposer d’un budget considérable se chiffrant en centaines de milliers d’euros. L’ARHF souhaite donc recevoir vos idées et suggestions sur la meilleure façon de procéder pour recueillir les fonds nécessaires. Pour cela, répondez à une courte enquête qui prendra uniquement quelques minutes de votre temps.
Par Marc HENRY
Prendre conscience, c’est transformer le voile qui recouvre la lumière en miroir.
Lao Tseu
Leave a Reply