46•Nanotechnologies et vaccins

46•Nanotechnologies et vaccins

Épisode 46 Covid-19, mai 2021

Une guerre de l’information…

Bon, bon, bon, plus je réfléchis à la situation actuelle, plus je commence à comprendre certaines choses. Nous sommes actuellement engagés dans une vraie guerre de l’information. Probablement la première guerre d’envergure mondiale. Celle où l’information se conjugue à la nanotechnologie pour créer des armes diaboliques. Du jamais vu sur cette brave vieille Terre. Tout d’abord, rappelons quelques faits pour le moins troublants. Pour détecter la présence du virus SARS-CoV-2 chez un être humain, on prône de réaliser un test RT-PCR. Pourquoi ne pas utiliser tout bêtement un prélèvement sanguin ?

Car on sait depuis des lustres que toute infection produit des anticorps spécifiques, facilement détectables dans le sang. Non, on rejette d’emblée cette possibilité de détection. On préfère utiliser un test de très haute technicité. Ce test est capable d’amplifier des brins d’ADN générés au moyen d’un ARN viral. En cas de test positif, on ne sait pas si l’on a détecté un virus vivant ou virus mort. Alors que si l’on trouve des anticorps, c’est que vous avez été a priori en contact avec un virus vivant.

Didier Raoult, encore et toujours…

Comment savoir si la positivité PCR est liée à un virus vivant en train de se répliquer ? Dans ses carnets de guerre COVID-19, Didier Raoult nous l’explique très clairement. On prend des gens réellement infectés afin de réaliser le fameux test PCR. Puis, on fait des cultures à partir des prélèvements en changeant le nombre de cycles (CT) de manière systématique. Si le CT est inférieur à 16, on constate que 100 % des prélèvements sont cultivables. C’est sur ce type de prélèvement que l’on peut déterminer le génome viral.

Pour CT = 26, 50 % des prélèvements restent cultivables. Grosso modo, cela fait à peu près 800 000 particules virales par prélèvement. La personne est donc encore contagieuse. Pour CT = 30, il y a encore 20 % de cultures positives, soit environ 10 000 virus par prélèvement. C’est encore trop. Par contre, à partir de CT = 35, on sait qu’il n’y a plus de virus vivants.

Politique de la terreur…

Vous avez eu la malchance d’avoir été positif à un test PCR pour la COVID-19. Essayez donc de savoir quel était le nombre de cycles du test. Si ce nombre est supérieur à 35, vous n’étiez pas infecté. Vous étiez simplement un faux positif (comme ils disent). On vous a de toute évidence menti sur votre état réel. Reste à savoir pourquoi… Combien de gens sont déclarés « porteurs sains » avec un test PCR positif pour lequel CT > 35 ? J’aimerais bien le savoir.

Une explication simple est que l’on a voulu nous faire croire à l’existence d’une épidémie de très grande ampleur. Le truc qui terrorise, quoi. Car lorsqu’on est terrorisé, le cerveau ne contrôle plus rien. C’est le deuxième cerveau intestinal qui prend les commandes. Lui, ne connaît que les émotions et les réflexes instinctifs. Le premier étant bien sûr le réflexe de survie. Celui qui vous autorise à trucider ou bouffer votre voisin si cela peut vous sauver la vie.

Au bal masqué…

On progresse. Toutefois, il y a un autre truc qui me turlupine. Pourquoi devons-nous porter un masque ? La raison officielle est que nous émettons des postillons qui peuvent être bourrés de virus en cas d’infection. Certes, mais alors pourquoi ne pas faire le test PCR sur un prélèvement de salive, tout simplement  ? Pourquoi choisir d’aller titiller avec un spéculum la partie postérieure du nasopharynx en faisant une torsion ?  Pourquoi ne pas utiliser un simple coton tige que l’on introduit tout bêtement dans le nez ?

Officiellement, il semblerait que c’est dans cette zone que le virus se multiplie le plus. Facile à croire et difficile à vérifier. De même, on jure par tous les dieux de l’Olympe que la lame criblée n’est au grand jamais atteinte. Pour mémoire, la lame criblée, c’est cette zone poreuse très fine et très proche du cerveau qui accueille les nerfs olfactifs. Alexandra Henrion-Caude dit que cela est possible. D’autres experts affirment que cela est impossible. Qui croire ? Quelle garantie a-t-on sur la formation des personnes réalisant ce type de prélèvement ? 

Lire dans les pensées…

Quel rapport tout cela peut-il voir avec une guerre de l’information basée sur les nanotechnologies ? Comme toujours, il faut remonter dans le temps, avant cette crise inédite. Car, il y a deux ans, il n’y avait aucune censure sur l’information. Je vous invite donc à lire cet article intitulé « Le gouvernement  songe sérieusement à créer des armes contrôlées par la pensée ». Il a été publié sous format numérique, il y a environ deux ans, sur le site « Live Science ». Pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais, je résume.

On y apprend que le DARPA, le bras armé de la recherche militaire américaine, paye des scientifiques. Rien de bien surprenant jusque-là. Leur mission est de trouver des moyens de lire instantanément les pensées des soldats. On utilise pour cela les outils du génie génétique appliqués au cerveau humain, les nanotechnologies et des rayons infrarouge. 

Deux protéines clés…

Ce programme non chirurgical de neurotechnologie et de nouvelle génération vise à pouvoir établir des communications rapides et harmonieuses entre le cerveau humain et des drones par exemple. Cela, sans avoir à utiliser des implants cérébraux. Le programme de travail n’a rien de secret. On souhaite utiliser des virus modifiés (vecteurs viraux) afin de délivrer du matériel génétique dans des neurones spécifiques. On veut que ces neurones puissent produire deux types de molécules. La première protéine doit être photosensible et absorber la lumière lors de toute décharge neuronale. On utilise pour cela de la lumière infrarouge ayant une fréquence lui permettant de traverser le crâne et le cerveau.

On pourra ainsi arriver à savoir ce qu’une personne est en train de voir ou d’entendre et ce qu’elle envisage de faire. La seconde protéine doit être apte à s’accrocher sur des nanoparticules magnétiques. On pourra ainsi via un signal magnétique externe stimuler les neurones afin d’induire une image visuelle ou sonore. Bref, on aura la possibilité de contrôler la pensée d’une personne à distance. On pourra aussi transmettre des images d’un cortex visuel à un autre cortex visuel. Joli de programme de recherche lancé dès 2019 (comme par hasard).

PCR et injections…

Dans l’institut de Recherche de Batelle, on souhaite aller encore plus loin. On veut ainsi qu’un être humain soit capable de contrôler une multitude de drones par sa seule pensée. Il faudra utiliser pour cela des nanoparticules disposant d’un cœur magnétiques et d’un enrobage piézo-électrique. On pourra ainsi convertir l’énergie électrique en énergie mécanique et vice-versa. Point crucial : on prévoyait à l’époque d’introduire les nanoparticules par voie nasale ou par injection. Cela rappelle étrangement la procédure employée lors d’un test PCR.

On peut aussi mieux comprendre cette obsession à vouloir vacciner avec des ARN messagers. Beaucoup de médecins ont aussi remarqué que lorsqu’on pose un aimant sur le lieu de vaccination, l’aimant colle à la peau. Cela pose la question de savoir pourquoi l’on devient magnétique après la vaccination. Le DARPA est peut-être tout simplement en train de profiter de cette crise pour tester à grande échelle ces nouveaux jouets sur l’être humain. Car toute recherche nécessite de confronter la théorie à l’expérience.

Obligation vaccinale

Il se pourrait aussi que la vaccination ait quelque chose à voir avec la ferritine. Il s’agit là d’une nanoparticule magnétique d’origine biologique dont la surface peut être fonctionnalisée avec un morceau d’ARN viral. Cela vient d’être récemment publié dans la revue Nature. Alors  qu’on ne vienne pas me dire que la nanotechnologie et les vaccins sont deux domaines de recherche parfaitement étanches l’un à l’autre. Bien au contraire, la vaccination est le moyen idéal pour tester à grande échelle toute bio-nanotechnologie visant à interfacer l’être humain avec des machines. Ceci en boycottant bien sûr, pour cause d’urgence sanitaire, les comités d’éthique et longs tests cliniques.

Peut-être pensez-vous que j’ai trop forcé sur la transe chamanique ? Si oui, je vous engage à lire ce communiqué très récent de l’Académie Nationale de Médecine. On y parle bien d’obligation vaccinale et de mise en œuvre au plus vite d’un pass « vaccinal » (et non « sanitaire »). La folie va même jusqu’à préconiser de vacciner les enfants et les femmes enceintes. C’est ce que j’ai appris avec horreur dans cette vidéo dont j’ai supervisé la traduction française. Bien, c’est le très gentil Dr Fauci qui souhaite cela. Pourquoi ?

Des personnes riches et vieilles

Pour mémoire, il est bon de rappeler que les enfants meurent très rarement de la COVID-19. De plus, un consensus se dégage parmi les scientifiques pour affirmer que le taux de létalité de cette maladie se situe entre 0,5 % et 1 % selon les pays. C’est la revue “Pour la Science qui l’affirme”. Nos braves académiciens ne manquent pas de rappeler que pour la période 1902-1984 la vaccination contre la variole était obligatoire en France. Sauf que pour cette maladie la létalité moyenne est proche de 35%. Avec la tuberculose, on est proche de 15 %.

Il y a aussi une réalité qu’il me semble bon de souligner. Le taux de létalité de la COVID-19 monte effectivement en flèche chez les personnes âgées. Or, qui sont les personnes les plus riches de cette planète ? Ce sont, pour la plupart, des personnes relativement âgées qui ont donc la trouille de mourir. Leur phobie est donc de voir un personne jeune asymptomatique leur refiler le SARS-CoV-2. D’où l’idée de vacciner tout le monde, y compris les plus jeunes et les femmes enceintes. C’est pour ces gens-là, abominablement riches, que l’on cherche à imposer une vaccination obligatoire. Pas pour vous protéger, mais pour protéger leur vie à eux. Soyez-en bien conscient lorsque l’idée de vous faire vacciner contre la COVID-19 vous traversera la tête.

Désinformation

Pour conclure, ne gobez pas non plus, comme des mouches, les fausses informations qui circulent au sujet de la vaccination. Par exemple, on attribue à Luc Montagnier des propos selon lesquels toutes les personnes vaccinées mourront dans les deux ans qui viennent. Cela est totalement faux, car j’ai pu joindre cet éminent chercheur avec lequel je collabore régulièrement. Voici ce qu’il m’a dit : « Ces  paroles ne sont évidemment  pas les miennes, il s’agit d’un montage frauduleux pour créer une panique et empêcher la vérité médicale et scientifique de se faire jour.  Nous en recherchons les auteurs ». Donc il y a aussi des personnes malveillantes qui cherchent à dénigrer la vaccination en mettant de faux propos dans la bouche de grands scientifiques.

Cela n’est pas nouveau et le pauvre Albert Einstein a été très souvent victime de ce genre d’abus. Car, la vaccination peut s’avérer utile, dans certains cas bien précis. Toutefois, dans le cas des vaccins contre la COVID-19, il faut la refuser, car les études cliniques sont encore en cours. De plus, si ce type de vaccins relève bien de la nanotechnologie et de la manipulation génétique, il ne faut pas le dissimuler. Il faut au contraire l’affirmer clairement avec preuves à l’appui, venant d’organismes totalement indépendants des fabricants. Sans de telles garanties, refuser la vaccination à la COVID-19 ou le test PCR par prélèvement nasal profond est la seule position raisonnable et réfléchie que je puisse recommander aujourd’hui.

Par Marc HENRY

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