Épisode 71, juin 2022. Quand on ose, on se trompe souvent. Quand on n’ose pas, on se trompe toujours.
Romain Rolland
Science et Religion
Cette soixante-et-onzième chronique est probablement la plus importante de toutes. Vous savez maintenant que je me suis intéressé de près à la numérologie et à l’astrologie. Les chroniques précédentes sont là pour en témoigner. C’est cela qui m’amène à consacrer cette nouvelle chronique au Tarot. Car, je sais que la science ne peut avoir réponse à tout. C’est la bonne réponse pour décrire ce qui est reproductible dans le monde extérieur à nous-mêmes. Mais, pour ce qui concerne les phénomènes non reproductibles, il vaut mieux aller voir ailleurs. Et, justement, la reproductibilité est totalement absente de notre monde intérieur. Donc, recourir à la science pour le comprendre est voué à l’échec
C’est d’ailleurs pour cela que la religion existe. Elle vient compenser ce manque de compréhension de ce qui nous anime de l’intérieur. Jusqu’à une certaine époque, science et religion coexistaient pacifiquement. Il y avait le corps et il y avait l’âme. Puis, la discorde est arrivée. La science a nié l’existence de l’âme et la religion a nié les avancées scientifiques. Notre société actuelle est le triste résultat de cette scission. Le dialogue a donc été rompu, mais pourquoi ? Peut-on reconstituer l’enchaînement des faits qui a abouti à cette situation déprimante ? C’est à ce point précis qu’intervient le Tarot, outil du septième mode de pensée apparu vers 1375. Pour quelle raison cet outil a-t-il été créé, alors qu’avant il n’existait pas ? Comme on peut s’en douter, c’est probablement en raison d’un traumatisme profond.
Les enfants de Maître Jacques
Pour le comprendre, remontons le temps. Mais, pour une fois, oublions ce que l’on apprit à l’école. Car, l’histoire est écrite par les vainqueurs. Et, l’écrit tue le vivant. Seule la tradition orale permet de transmettre le vivant. D’où les traditions universitaires et religieuses, où les deux aspects, écrit et oral, doivent être maniés avec équilibre et discernement. Il y a des choses que l’on doit écrire et que l’on peut dire. Toutefois, il y en a d’autres que l’on peut dire, mais surtout pas écrire. Ou, si l’on souhaite le faire, il faut alors recourir au langage symbolique. D’où la langue des « oisons » des alchimistes, le Tarot des bâtisseurs compagnons, l’astrologie des mages et la numérologie des mathématiciens (au sens antique du terme). Durant la préhistoire, toute société avait ses conteurs, ses bardes et ses enchanteurs. L’oral tenait une place prépondérante et la pierre était là, symboles pétrifiés pour l’éternité.
Rudolf Steiner l’avait très bien compris avec son refus d’écrire avec des mots ce qu’il disait par oral. Mais, en acceptant bien volontiers de graver dans la pierre son enseignement sous la forme de symboles. C’est la raison d’être du Goethenaum que l’on peut encore visiter à Dornach. Donc, avant les Romains, les Grecs ou les Égyptiens, il y avait un peuple de bâtisseurs qui se faisaient appeler « les enfants de Maître Jacques ». Pour ce peuple, un Maître est celui qui mélange son eau à l’eau collective sans la perturber. Ils ont érigé les grands mégalithes que l’on peut encore admirer sous la forme de menhirs et dolmens. Ce sont eux aussi qui ont bâti non seulement les pyramides, mais encore les cathédrales.
Vouivre et art Roman
Pour les Jacques, ces énormes constructions mégalithiques avaient pour rôle de conduire le flux de la vouivre. Cette notion est à rapprocher du « Chi » oriental ou de la « Kundalini » hindoue. Il s’agit d’une énergie divine ondulante, source de vie. La vouivre se comporte comme l’eau. Elle peut être canalisée soit par les pierres, soit par la conscience. Comme il s’agit d’une énergie très puissante, il faut des mégalithes pour la canaliser. Ou bien alors, un très haut niveau de conscience, si l’on souhaite utiliser la chair humaine au lieu de la pierre. Pour ceux qui ont vu le reportage de Yael LEV au Kenya (chronique n° 70), c’est la vouivre qui permet via l’eau de guérir de la malaria ou du SIDA.
Ce que l’on appelle l’art « Roman » est toujours la signature que les Jacques sont passés par là. Toute construction Romane a pour but de vous élever vers le divin en vous faisant bénéficier de la puissance de vouivre. Les Jacques étaient un peuple qui habitait essentiellement dans la campagne. Avec le temps, ils sont devenus, en désertant les campagnes au profit des villes, des « Jean » ou « gens ». Les Jeans étaient plutôt alchimistes, adeptes de l’athanor. Ils nous ont laissé l’art Gothique qui procure un état de transe afin d’accéder, là aussi, au divin. Avant le grand traumatisme, la société était quadripartite : paysans/artisans, marchands/financiers, guerriers/aristocrates et voyants/savants. D’où le terme de « quartier », lieu où se regroupaient les Jeans d’une même nation.
Inquisition et persécutions
Tout ce passé qui imprègne encore notre société actuelle n’est hélas pas enseigné à l’école de la République. D’où des questions sans réponse. Cependant, il est temps d’aborder le grand traumatisme subi par les enfants de Maître Jacques. Suite aux conquêtes romaines, les voyants/savants deviennent des « prêtres » et adoptent la religion catholique. Les guerriers/aristocrates deviennent eux des « Chevaliers du Temple ». Toutefois, ils restent imprégnés de la culture des Jacques. En 1229, c’est la création de l’inquisition pour lutter contre l’hérésie Cathare. Car, chez les Cathares la vouivre se confond avec le « Saint-Esprit » qui devient « esprit » chez un être humain. Cet esprit peut être transmis par transmigration dans un nouveau-né après la mort (réincarnation). Le baptême se pratique via l’imposition des mains et non par immersion dans l’eau.
Cette résurgence de la vouivre est bien sûr intolérable. Aussi, le 13 octobre 1307, les chevaliers du Temps sont arrêtés pour hérésie. Puis surviendra le mardi noir du 19 mars 1314, où le Gand Maître de l’ordre du Temple est brûlé vivant sur un bûcher. Dans le monde chrétien de l’époque, le traumatisme est énorme. En signe de protestation, les artisans bâtisseurs lancent la grève des cathédrales. Toutes les constructions en cours sont arrêtées. Pour échapper à la persécution, les Maîtres et les compagnons se dispersent en Europe. Une poignée d’entre eux se réfugient en Ar-Men (Cilicie ou petite Arménie), en face de l’île de Chypre. C’est dans cette région, entre 1314 et 1375, qu’un petit groupe ésotérique se met en place autour d’un imagier franc de Cilicie, Maître Hayl.
Apparition du tiers d’état
Maître Hayl immortalisa ainsi, sous la forme d’un jeu de cartes symbolique, la culture des Jacques. Lorsqu’en 1375, il émigre en Italie en 1375, entre Rome et Florence, le Tarot est dans sa poche. Le jeu met l’accent sur le découpage en quarts pour avoir une société durable. En ce sens, il s’oppose au découpage, plus récent, de la société en tiers : noblesse, clergé et tiers d’état. C’est bien sûr la fusion du corps des paysans/artisans avec celui des commerçants/financiers dans ce tiers d’état qui est à l’origine de tous nos problèmes actuels. Sur le bûcher de l’inquisition de 1314, les corps faits de chair brûlent. Mais, simultanément, c’est aussi la notion de quartier qui s’évapore. Car, l’inquisition jure uniquement par le ternaire céleste (père, fils et saint esprit) gouvernant un ternaire terrestre (père, mère, enfant).
On ne doit plus parler de la vouivre. Pour cela, un système se met en place, afin d’asservir le tiers d’état sur un plan spirituel (prêtres) et temporel (noblesse). Le Tarot nous rappelle que cette tripartition de la société n’a pas toujours existé. Il nous parle du mode de fonctionnement de l’agir pour dure dans le temps. Il explique comment l’être humain se construit intérieurement. Pour cela, il parle directement à notre inconscient via des images appelées “arcanes” et des couleurs. Six d’entre elles sont définies un chant des Compagnons du Devoir :
« Blanches, les larmes de maître Jacques. Noire, la terre qui l’a porté. Rouge, le sang qu’il a versé. Bleus, les coups qu’il a reçus. Jaune, la persévérance. Verte, l’espérance ». En rajoutant le bleu-gris et la couleur chair, on obtient un total de 8 couleurs
Le Bateleur et le monde féminin
L’être humain est marqué par le chiffre 5, comme le démontre l’homme de Vitruve. Le Tarot possède donc cinq groupes d’arcanes majeurs pour décrire 5 phases successives de transformation. Les quatre premières phases se composent d’un arcane de transition et de 4 arcanes d’éducation. La cinquième phase ne possède qu’un seul arcane, car il s’agit d’un état d’achèvement et de complétude.
L’incarnation se faisait via l’arcane I du Bateleur, marquant le temps de l’enfance. Puis, venait la Papesse symbolisant la grand-mère. Ancrée dans l’élément Terre, elle est la Maîtresse de la Faim et régente la suite des bâtons. L’emblème de la nation des Paysans/Artisans correspond à cette combinaison Terre/Bâtons. La Papesse est mise à l’honneur vers le 8 février pour fêter l’arrivée des premiers perce-neige. Les famines étaient vues comme la conséquence d’une non-circulation des fruits de la Terre. Lorsque cette nation prend le pouvoir sur les autres nations, on bascule dans une société de type communiste.
Après la Papesse (arcane II) vient le temps de l’Impératrice (arcane III) symbolisant la mère. Ancrée dans l’élément Eau, elle est la Maîtresse de la Misère régnant sur la suite des deniers. Car, ne parle-t-on pas d’argent liquide, qui à l’instar de l’eau est appelé à couler. D’où des périodes de sécheresses dès que de l’eau ou de l’argent n’arrive plus à circuler. La nation des Commerçants/Financiers se retrouve ainsi en directe correspondance avec la combinaison Eau/Deniers. L’Impératrice est mise à l’honneur vers le 8 mai pour fêter l’arrivée des premières fraises. Et, si d’aventure, cette nation domine les autres nations, on bascule alors dans une société de type capitaliste.
Le Bateleur et le monde masculin
À la suite de son éducation aux valeurs féminines, notre Bateleur découvre les valeurs du père symbolisé par l’arcane IV de l’Empereur. Ancré dans l’élément Feu, ce dernier est le Maître de la Mort et règne sur la suite des Épées. D’où la nation des Guerriers/Aristocrates ayant pour emblème cette combinaison Feu/Épées. Ici, ce sont les incendies qui résultent d’une domination de cette nation à vocation guerrière. L’Empereur est mis à l’honneur vers le 8 août pour fêter l’arrivée des premiers champignons. Lorsque cette nation prend l’ascendant sur les autres nations, on bascule dans une société de type fasciste.
Le dernier stade d’éducation de l’enfant est fourni par le grand-père, symbolisé par l’arcane V du Pape. Ancré dans l’élément Air, le Pape est le Maître de la Peur ayant en charge de gouverner la dernière suite des Coupes, symbolisant le savoir et la connaissance. C’est ici la nation des Voyants/Savants qui correspond à cette combinaison Air/Coupes. Le Pape est mis à l’honneur vers le 8 novembre avec l’apparition des premières gelées de l’hiver. De fait, les périodes de froid intense étaient perçues comme la conséquence d’une domination de cette nation maîtrisant le savoir. Dès que cette nation prend le pouvoir sur les autres nations, on bascule dans une société ou règne le fanatisme ou l’intégrisme. On peut citer à titre d’illustration l’inquisition catholique, le radicalisme islamique ou l’obsession vaccinale.
Apprentissage, compagnonnage, maîtrise et sagesse
Le stade de l’enfance se retrouve aussi dans les 10 arcanes mineurs de chaque suite. C’est ici la piétaille, formée des arcanes mineurs numérotés de 1 à 10. Le rôle de cette piétaille est d’obéir comme le font les dix doigts de la main du Bateleur (Arcane I). L’Amoureux (arcane VI) était, après l’incarnation, la seconde porte de passage transformant l’enfant en apprenti. Cette phase d’apprentissage nécessite de subir pour avoir. Elle est également symbolisée par les Valets des 4 suites. L’apprenti est ainsi amené à vivre les 4 étapes de cette phase symbolisées par les arcanes VII (Le Chariot), VIII (la Justice), IX (l’Ermite) et X (la Roue de Fortune).
Cette initiation le conduit à une troisième porte de passage symbolisée par l’arcane XI de la Force (arcane XI) afin de devenir compagnon. La phase de compagnonnage nécessite d’avoir pour agir et se trouve en résonance avec les Chevaliers des 4 suites élémentaires. Puis viendra le temps de la Maîtrise avec sa quatrième porte de passage correspondant à la Maison-Dieu (Arcane XVI). Ce statut de Maître où l’on doit agir pour être se trouve en résonance avec les Reines des 4 suites élémentaires. Le dernier stade de l’évolution n’est plus une porte de passage, mais une consécration symbolisée par l’Arcane XXI symbolisant Le Monde. On acquiert, ici, le statut de Sage avec la volonté d’être pour servir. C’est aussi la dernière résonance avec les Rois des 4 suites élémentaires.
Libération, réincarnation et gestion
Cependant, ceci n’est pas la fin. Parce qu’un Sage ou un Roi n’est pas fait pour servir indéfiniment. Tôt ou tard survient une crise qui fait basculer dans un état indéfini, dénuée de numéro. Cet état est symbolisé par l’Arcane du Mat ou du Fou. Ici, le numéro peut très bien être le 22 signant une fuite vers l’éther ou le vide. Seul un fou peut, en effet, supporter la masse d’information concernant toutes ses incarnations antérieures et mémorisées dans l’éther. Mais, ce numéro peut aussi être le zéro, signe que l’être est prêt pour se réincarner en Bateleur (Arcane I). Un nouveau cycle Enfance → Apprentissage → Compagnonnage → Maîtrise → Sagesse → Folie s’enclenche alors et ainsi de suite. Les chiffres 5 (être humain) et 4 (choses terrestres) sont donc à la base de la structure même du Tarot.
Mais, le chiffre 4 est aussi l’expression d’une double dualité. Une première dualité se manifestait dans un mariage alchimique statique entre la Papesse (Terre/Bâtons) et le Pape (Air/Coupes). Concrètement, cela signifiait que « la nation des Producteurs gère avec la nation des Savants l’argent statique de la construction ». Le second mariage alchimique était, lui, immatériel. Il concernait l’union entre l’Impératrice (Eau/Deniers) et l’Empereur (Feu/Épées). Sa signification profonde était que « la nation des Commerçants et des Financiers gère avec la nation des Guerriers, l’argent dynamique de l’échange ». Enfin, comme toute stabilité requiert un ternaire, il y avait aussi la possibilité de ne pas chercher à se marier du tout. La signification profonde de cette troisième possibilité était que : « l’argent indifférencié du don va aux Artistes et aux Guérisseurs ».
Comprendre l’actualité
Le Tarot nous révèle donc comment avoir une société ayant la même durabilité qu’un mégalithe. Rappelons, en effet, que l’enseignement de Maître Jacques est toujours là, immortalisé dans la pierre mégalithique statique aussi bien que dans le dynamisme que procure le jeu du Tarot. De plus, il est impossible de préciser l’âge de Maître Jacques. Cela peut être 4 000 ans aussi bien que 10 000 ans, voire plus. Cette caractéristique s’applique à toute société basée sur une transmission orale du savoir. Dès que l’on bascule dans la transmission par l’écrit, on peut dater. Alors, il est frappant de constater la brièveté temporelle des sociétés basées sur une transmission écrite du savoir.
Aujourd’hui, avec l’avènement d’internet, on revient vers une transmission orale du savoir via les vidéos et les podcasts. Comme tout cela n’est pas écrit, on assiste donc à un retour en force d’une mentalité préhistorique. Le quaternaire cherche à reprendre le dessus après 700 ans de règne du ternaire. En effet, 1314 + 700 = 2014. Or c’est précisément en 2014 que François Hollande décide de réduire le nombre de régions de 22 (nombre d’arcanes majeurs du Tarot) à 13. Cette même année apparaît le terrible virus Ebola. C’est aussi le début de la guerre en Ukraine. Ce qui se passe depuis 2014 n’a donc rien de surprenant. A condition, bien sûr, d’avoir pris la peine d’étudier l’origine du Tarot.
Un nouveau regard sur la politique
Le Tarot est un excellent antidote à tous ceux qui sont dégoutés de la politique. Car, nous sommes aujourd’hui plongés dans une dictature des Marchands. Donc, placés sous le joug de l’Impératrice, maîtresse de la Misère. La sécheresse, signe d’une mauvaise circulation de l’eau comme de l’argent, fait rage. Toute sécheresse n’entraîne-t-elle pas logiquement des guerres pour l’accès à l’eau. Selon le Tarot, nous avons donc besoin d’un Empereur, seul capable de rétablir le précieux équilibre alchimique entre l’eau et le feu, ou encore entre l’argent et l’épée. Au-delà des émotions et des manipulations, ce qui se passe en Ukraine est bel et bien une tentative de ré-équilibrage par l’épée d’une domination trop forte des Deniers.
Demain, c’est le premier tour des élections législatives. Faut-il s’abstenir comme je l’ai recommandé aux présidentielles ? Sûrement pas, car ici, nous ne sommes plus en face d’un choix binaire imposé par les adeptes du tiers d’état. Mais, alors, pour qui voter ? Le Tarot nous apporte ici une aide précieuse. Commencez par déterminer votre nation d’appartenance. C’est facile, parce qu’il n’y a que quatre possibilités. Puis, faites de même pour chaque candidat de votre circonscription cherchant à être élu député. Votez ainsi simplement pour le candidat qui est de la même nation que vous. Car, il ne s’agit que du premier tour. Il y en aura peut-être un second, où la situation aura décanté.
Un président financier appelle un premier ministre guerrier
Si aucun candidat ne correspond à votre nation, optez pour un mariage alchimique. Vous savez, en effet, que le président actuel fait partie de la nation des Commerçants/Financiers. Or, « la nation des commerçants et des financiers gère avec la nation des guerriers, l’argent dynamique de l’échange ». Il nous faut donc un premier ministre guerrier ou aristocrate. Cela ne peut donc pas être un partisan de Marine Le Pen qui a été avocate ou de Jean-Luc Mélenchon qui a été professeur. Car, ces deux personnalités appartiennent à la nation des Voyants/Savants régentés par le Pape et les Coupes. Pour le poste de premier Ministre, le Tarot nous suggère de faire élire un ancien militaire, pompier, gendarme ou policier, bons représentants de la nation des Guerriers.
Certains trouveront peut-être tout cela complètement ridicule. Peu importe. Au moins cela permet de voter en pleine conscience. Et, de faire confiance à une tradition qui existe depuis des dizaines de milliers d’années. Dans la prochaine chronique, je continuerai à parler de ce jeu fascinant et de ses relations non moins passionnantes avec la numérologie et l’astrologie.
Par Marc HENRY
Être est plus indispensable qu’avoir. Le rêve, c’est d’avoir de quoi être.
Frédéric Dard
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