62•Un passé chimique bien inquiétant

62•Un passé chimique bien inquiétant

Épisode 62 Covid-19, février 2022. La pureté n’est valable qu’en chimie. Pas dans les agissements de l’âme.

Elie Wiesel

Vérité ou mensonge ?

La vérité finit toujours par triompher. Car, mentir une fois, incite à mentir la fois suivante. Et, ainsi de suite, jusqu’à ce que la vérité finisse par éclater. Les menteurs sont alors piteux et repartent la queue entre les jambes. D’où l’intérêt de ne jamais mentir. C’est totalement contre-productif et aboutit constamment à une catastrophe. Ainsi, avec cette folie des injections dans la plupart des pays occidentaux, des personnes sont mortes. Il y a aussi déjà des personnes handicapées à vie et sans aucun espoir de recours. Quelques jours auparavant, j’écoutais le journal télévisé de France 3, seule chaîne que j’arrive à capter sans problèmes depuis mon domicile, perdu dans la nature. On y parlait d’une quatrième dose. Et, du fait qu’il restait à injecter environ 4,5 millions de refuzniks. Je me suis alors demandé sur quelle planète je vivais. 

Car, dans ces journaux télévisés, le mot « science » ou  « scientifique » est rabâché comme un mantra. Bref, une sorte d’exorcisme contre un mal que personne n’identifie clairement. Dans mes précédentes chroniques, je vous ai donné des indices pour identifier ce mal. C’est le mal qui s’est instillé dans la société depuis le développement fulgurant de la chimie à la fin du dix-neuvième siècle. Pour votre gouverne, sachez que je suis chimiste depuis l’âge de 7 ans. Et, que j’étudie cette discipline passionnante depuis cet âge jusqu’aujourd’hui (63 ans). J’ai énormément lu sur cette science. Les rangées de livres sur mes étagères en témoigne. Surtout, je n’ai pas négligé le côté historique. Je sais ainsi que la chimie moderne s’est construite en dénigrant et en massacrant sa mère, l’alchimie.

Première Guerre mondiale

Si l’on résume l’histoire à son essentiel, la Première Guerre mondiale a vu le triomphe de la chimie. On a ainsi pu développer des explosifs toujours plus puissants. Et, des gaz de combats encore plus mortels. Il y a eu aussi, grâce au fluor, le développement de la métallurgie de l’aluminium par la société Alcoa, abréviation de « Aluminum Company of America ». Cette chimie est, en effet, née aux USA. Parce qu’il s’agissait du seul pays capable de produire l’énorme quantité de courant électrique nécessaire à l’électrolyse de la cryolite Na3AlF6.

Les Américains utilisèrent pour cela les célèbres chutes du Niagara. Et, il s’ensuivit une pollution massive de l’environnement par le fluor. Mais, ils purent ainsi triompher des Allemands, en développant les avions de combats. Les Allemands avaient pour leur part investi massivement dans les forces terrestres. Le fait d’avoir oublié le ciel leur a coûté la victoire.

Deuxième Guerre mondiale

La Deuxième Guerre mondiale a culminé avec le triomphe de la physique. En cassant l’atome au lieu de casser des molécules, on a amené l’horreur mortifère à un point culminant. Mais, peu de personnes savent que sans la chimie, il n’y aurait jamais eu d’armes atomiques. Pour ma part, je le sais, car il nous reste une trace indélébile sous nos yeux : le fluor. Toujours lui. Quand les flux de fluor en provenance de l’industrie nucléaire s’ajoutèrent à ceux de la métallurgie, la pollution devint incontrôlable. On eut alors l’idée débile d’ajouter du fluor au dentifrice ainsi qu’à l’eau de boisson des Américains. Comme le fluor est un poison violent, cela était tout simplement incompréhensible.

Mais, on eut alors l’idée de copier la recette éprouvée des marchands de cigarettes. Mentir et falsifier les données scientifiques grâce à une puissance financière démesurée. Cela permettait de gagner du temps pour continuer à produire toujours et encore. Bref, de la science bidon justifiant la fluoration de l’eau et du dentifrice. Soi-disant pour protéger des caries dentaires. 

Docteur Folamour

Stanley Kubrick y fait une allusion dans son film « Docteur Folamour ». Mais, seuls les experts du sujet peuvent décoder le discours énigmatique du général Jack D. Ripper. Voici un lien pour réécouter ce discours crucial. Notons la phrase clé qui le conclue :

« Je suis résolu à ne pas tolérer l’infiltration communiste, la propagande communiste, la subversion communiste, l’intoxication et le complot communiste qui sapent et qui putréfient tous nos plus précieux fluides corporels ».

Ici, le général fait référence à la fluoration de l’eau du robinet par le gouvernement. De nos jours, ce fait absurde a été accepté. Votre dentiste vous dit de prendre du dentifrice fluorée pour prévenir les caries. Et, beaucoup de personnes obéissent. Simplement parce qu’il porte une blouse blanche. Le film de Kubrick se termine sur la magnifique chanson de Vera Lynn, intitulée « Nous nous reverrons à nouveau ». Car, le monde va disparaître dans un cataclysme nucléaire. Tout cela à cause d’un seul général devenu fou. Aujourd’hui, les gouvernements ont procédé à l’injection de plus de 10 milliards de doses de matériel génétique dans la population mondiale. Et, la majorité des personnes approuvent ce geste. Alors que c’est aussi débile que de mettre du fluor dans l’eau du robinet.

Héritage de la guerre froide

En fait, le projet Manhattan et la guerre froide, vécue par ma génération, nous a laissé un très lourd héritage. Et, c’est précisément cet héritage qui se déchaîne actuellement sous nos yeux, avec ces « vaccins » qui n’en sont pas. De la mauvaise science, des médecins complaisants et inhumains, des secrets industriels inviolables, de l’argent à ne plus quoi savoir en faire. La recette a été développée durant la période 1940-1960. Quand, en 2004, j’ai lu le livre de Christopher Bryson intitulé « The Fluoride deception », j’ai tout de suite eu l’idée d’en faire un cours de 2 h. Cours était destiné aux étudiants de l’université de Strasbourg ayant choisi, l’option transdisciplinaire « Chimie et Société ». Car, le saviez-vous, la société n’est rien sans la chimie ?

Puis, ce fut ma rencontre avec Corinne Gouget en 2007. Quand on s’intéresse de près au fluor, on débouche très vite sur le glutamate et l’aspartame. Car, c’est le même jeu sinistre qui fait que certains d’entre vous se gavent de ces excitotoxines. Là encore, ce sont de terribles poisons pour vos neurones. Et, les gouvernements ne font rien pour interdire leur emploi dans l’alimentation. Cette histoire a mal fini pour Corinne. Elle s’est suicidée le 22 juin 2015 à 22 h, en se jetant sous un TGV à la gare de Frontignan. Corinne faisait partie de ces êtres courageux qui sont allés jusqu’au bout de leur combat. Mais, le système a fini par la briser. Toutefois, son passage sur cette planète a laissé un souvenir inoubliable dans nos cœurs.

Un premier cadeau

Durant huit ans (2007-2015), je me suis donc battu aux côtés de Corine pour dénoncer les méfaits de l’aspartame, du glutamate et du fluor. Durant cette période, j’ai rédigé deux textes qui n’ont jamais été publiés. Le premier parle des excitotoxines comme le glutamate et l’aspartame. Rappelons qu’une excitotoxine est une molécule de bas poids moléculaire qui provoque la mort neuronale. Or, on sait que la Covid-19 altère le fonctionnement des neurones responsables du goût et de l’odorat. Même si l’on ne sait pas encore parfaitement pourquoi, le fait est dorénavant solidement établi. Il devient en conséquence urgent, depuis fin 2019, de supprimer toute excitotoxine de son alimentation. Mon premier cadeau pour cette chronique, sera ainsi ce texte écrit le 30 juillet 2015.

Soit un mois après le décès brutal de Corinne Gouget. Texte que je n’ai jamais publié. L’actualité me force à le faire aujourd’hui. Il explique le mécanisme de l’excitotoxicité et les personnes vulnérables à celui-ci. Pour ceux qui préfèrent regarder des vidéos, je vous rappelle que j’ai été l’invité de Tepa, en compagnie de Corinne Gouget, dans son émission « La libre antenne ». L’émission, du 21 octobre 2013, dure environ 4 heures et peut être visionnée sur Meta-TV en suivant ce lien. Rappelons que Tepa était un rappeur, mort d’un cancer du côlon le 14 novembre 2019. Il fut le créateur, le 18 mai 2013, de Meta-TV, la Web-TV dont le slogan était : « Si vous écoutez ce message, c’est que vous êtes la résistance ».

Un deuxième cadeau

Tepa, tout comme Corinne, a été vilipendé et harcelé. Tout simplement parce qu’il donnait la parole à des personnes réputées « sulfureuses ». Son spectre était le plus large qu’il soit : depuis l’extrême gauche jusqu’à l’extrême droite. Tout le monde avait le droit de parler durant ces longues émissions, qui se déroulaient chez lui, sur un canapé. Même ceux qu’une presse « bien pensante » voulait exclure de l’espace public. Sa passion était la musique et la liberté totale de parole. On lui a fait payer très cher cette deuxième passion.

Mon deuxième cadeau est un document écrit en octobre 2009 que vous pouvez télécharger en suivant ce lien. C’est un résumé illustré du livre du journaliste Christopher Bryson, publié en 2004, intitulé « The Fluoride Deception ». J’avais complètement oublié ce texte écrit pour Corinne. Puis, en réfléchissant sur le pourquoi et le comment de la crise actuelle, je me suis dit : « J’ai déjà vu ce scénario ubuesque ailleurs… ». J’ai donc remanié le texte et rajouté une conclusion pour que tout le monde puisse faire le lien avec la crise actuelle de la Covid-19. Par ailleurs, vous y découvrirez comment des médecins tout à fait sinistres et des industriels sans scrupules s’y sont pris pour imposer au monde entier une des substances les plus toxiques au monde. Et, aussi le contexte très particulier qui a permis cela.  

Lire est bon pour la santé

En lisant ce deuxième texte, il vous suffira de penser « vaccin » chaque fois que vous lirez le mot « fluor ». Et, donc, si le contexte est totalement différent, vous verrez que les techniques de propagande sont restées les mêmes. Après ces deux cadeaux, quelques précisions. Certaines personnes m’apprécient et d’autres me détestent. Rien de plus normal. Quelqu’un détesté ou aimé par tous, doit toujours inciter à la méfiance. Quelque chose cloche. De la même façon, certaines personnes font des conférences ou enregistrent des vidéos. Mais, elles n’écrivent jamais rien. Puis, il y a des pisseurs d’encre, qui ne font jamais de conférences, ni de vidéos. Ceux-là aussi sont louches. Ce qui assure la crédibilité d’un orateur ou d’un écrivain, c’est sa capacité à manier, de manière équilibrée, les caractères, les sons et les images.

Or, notre époque se caractérise par un engouement sans précédent pour les médias sonores ou visuels. Et, par ricochet, une incapacité à lire un texte qui dépasse 10 lignes. Si le texte sur les excitotoxines ne fait que quatre pages, celui sur la saga du fluor, fait 76 pages. Voilà donc deux cadeaux empoisonnés pour ceux qui n’ont pas l’habitude de lire. Eh bien, si ceux-là tiennent vraiment à survivre à cette crise, il va leur falloir réapprendre à trouver le temps de lire. Pire, revenir à cette pratique fondamentale, qui est la lecture avec prise de notes manuscrites. C’est un conseil que je vous donne. Que vous l’appliquiez ou non m’indiffère totalement. Mais, quand on offre des textes à lire, il faut rappeler le mode d’emploi. 

Un excellent traducteur en ligne

Autre précision, le texte sur la saga du fluor est sans références. Car, il ne s’agit que d’une traduction des passages les plus significatifs du livre de Christopher Bryson. Son livre, lui, contient 117 pages de notes et de références, disponibles en suivant ce lien. Autant alors vous dire que c’est du lourd et du sérieux. Ce n’est pas le genre d’information que l’on envoie en l’air dans un tweet ou un post sur Facebook. Enfin, évidemment le livre est anglais. Mais, comme la version PDF est disponible, vous pouvez copier les parties de texte qui vous intéressent dans le presse-papiers de votre ordinateur. Et, ensuite, coller le contenu du presse-papiers dans la version gratuite de l’excellent traducteur en ligne DeepL. Vous pouvez même traduire des fichiers Word ou PDF entiers dans la langue de votre choix.

Chimie pour la vie et pour la mort

Bref, la chimie, c’est un peu comme les pompiers pyromanes. Elle nous pose des tas de problèmes. Et, elle seule peut y apporter des solutions. S’il n’y avait pas la chimie, il n’y aurait pas de vaccins, ni de tests PCR. La vie serait moins angoissante. Mais, dans le même temps, rien de ce qui existe autour de nous n’existerait. Comme toujours, la chimie n’est pas une mauvaise chose en soi. Elle peut être bonne, à condition de ne pas en abuser. Or, non seulement on en abuse, mais de plus, certains esprits malades l’utilisent pour tuer. D’ailleurs, savez-vous ce qui s’est passé le vendredi 13 mai 2016 ? Eh bien, la société Pfizer, fondée à Brooklyn en 1849, a publié un communiqué de presse. Pour annoncer une autre molécule encore plus forte que le Viagra ? Que nenni.

Pfizer a tout simplement annoncé le refus de l’utilisation de ses produits pour les exécutions pénales. Parce que pendant 167 ans, Pfizer n’a vu aucun problème à ce que l’on utilise ses produits pour tuer volontairement des personnes. Les affaires sont les affaires. La leçon à retenir, est que les industriels peuvent être vraiment sans scrupules. Bien sûr, quand on les accule, ils sont capables de se remettre en question. Mais, si on les laisse faire, les mauvais réflexes reprennent vite le dessus. Aussi, réfléchissez-y deux fois, avant de leur confier votre corps et votre santé.

Par Marc HENRY : Crois-nous. Nous ne sommes pas malades, nous sommes sains. C’est le monde qui est malade de chimie et d’efficacité.

Ira Levin
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