Épisode 73, juillet 2022. Mieux vaut une amère vérité qu’un doux mensonge.
Edouard Herriot
Élections, encore et toujours
Après les élections législatives, c’est la pause estivale. Cela se voit, car mes dernières chroniques n’ont suscité que très peu de commentaires. Il faut dire qu’associer l’ésotérisme et la politique tout en faisant de la science, ce n’est pas banal. Pour ma part, j’ai plutôt été satisfait du choix des Français. Parce que, finalement, je me suis abstenu. Et, c’est un plaisir de voir que ce faisant, j’ai fait comme une large majorité de Français. En effet, savoir qui a voté pour qui n’est pas le plus important. Et, l’excellente nouvelle, c’est que la marionnette au pouvoir ne dispose pas de majorité absolue. Il va donc devoir magouiller avec d’autres partis pour arriver à ses fins.
Toutefois, savoir qui n’a pas voté, qui a voté blanc et qui a voté nul est crucial. Selon les chiffres officiels du ministère de l’Intérieur, on avait 48 589 606 inscrits. Le nombre d’abstentions a été de 26 125 307. Et, parmi ceux qui ont voté, 1 239 928 électeurs ont voté blanc et 477 288 ont choisi de mettre un bulletin nul. Le grand total de « refuzniks » de ce système politique débile est donc égal 27 842 523, soit 57,3% du nombre d’inscrits. Si j’étais Emmanuel Macron, Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon, je ferais donc profil bas. Car, dans ce pays, plus de 57% des Français ne se retrouvent pas dans leurs programmes respectifs. Mais, non, ces leaders politiques se pavanent dans les médias en pensant être représentatifs du peuple. Le plus odieux du lot est évidemment Emmanuel Macron.
Covid-19, toujours et encore
Parce que, il doit prendre des décisions. Or, avec 8 002 407 d’électeurs ayant voté pour lui, il représente uniquement 16,5% des Français. Si l’on additionne le nombre d’électeurs des deux principales forces d’opposition, on arrive, en effet, à 10 145 253, soit 20,9% des Français en âge de voter. Quelle claque ! Et, surtout, comment faire pour gouverner dans de telles conditions ? À vrai dire, aussitôt les législatives passées, ce bon vieux cher Covid-19 est réapparu. Il semblerait qu’il reprenne du poil de la bête. Et, ce, même en été. Pire, même chez ceux qui ont été injectés et qui se croyaient à l’abri. Songez qu’avant 2019, on se faisait vacciner pour ne pas être malade. Aujourd’hui, on se fait une injecter une substance expérimentale censée nous protéger. Et, on tombe quand même malade. Bref, si vous ne comprenez pas que l’on vous prend pour des imbéciles, tant pis pour vous.
Notamment si vous avez voté pour Emmanuel Macron, le chantre de la lutte contre le coronavirus. En effet, si vous êtes âgés, vous allez devoir passer à la piquouse plusieurs fois par an. Et, si d’aventure vous êtes jeune, vos cellules sont, elles, devenues celles d’un vieillard ou d’une petite vieille. Sachez que l’on vous a volé plusieurs dizaines d’années de bonne santé. Alors ne venez pas pleurer en disant que vous ne saviez pas. En réalité, vous n’avez tout simplement pas voulu savoir. Pire, vous avez sacrifié votre jeunesse pour pouvoir aller prendre une bière au comptoir. Ou bien sortir entre copains. Sachez, jeunes amis, qu’une telle inconscience se paye toujours au prix fort. Votre corps est un sanctuaire où la seule personne ayant une quelconque autorité, c’est vous-mêmes. Si vous déléguez cette responsabilité à une autre personne que vous-même, les ennuis de santé seront au rendez-vous.
Réchauffement climatique
En vérité, peu importe votre sort de piquousé. Ce qui m’intéresse, ce sont ceux qui ont eu l’intelligence de résister et qui ont encore un corps vierge de toute injection. C’est à eux que l’avenir appartient. Parce qu’ils devront reconstruire le pays massacré par des êtres dénués de tout scrupule et de tout sens éthique. Et, s’ils pourront le faire, c’est parce que leur âge physique correspondra à leur âge cellulaire. Ils n’auront pas tous les handicaps et la fragilité des personnes injectées. Je sais pertinemment qu’en disant cela, je suis très dur. Mais, vu le chaos politique et économique qui se profile, le temps n’est plus aux amabilités. Le maître mot des prochaines années sera « survivre ». En tant qu’individu, bien sûr. Cependant, aussi, en qualité d’espèce.
Parce que le mensonge éhonté est partout autour de nous. Par exemple, on rend ce pauvre dioxyde de carbone responsable du changement climatique actuel. Alors, qu’une analyse froide et correcte de la situation, montre que le vrai problème, c’est la déforestation massive. Et, pas besoin de modèle informatique et d’ordinateurs pour comprendre cela. Il suffit juste d’écrire honnêtement la véritable équation de la photosynthèse. Et, alors, le danger saute aux yeux. Moins d’arbres, c’est moins d’eau pure dans l’environnement et plus de dioxyde de carbone dans l’air. Le petit graphique présenté plus haut peut vous aider à y voir plus clair. On y voit une courbe rouge (dioxyde de carbone atmosphérique), une courbe bleue (oxygène atmosphérique) et une courbe verte (température moyenne). On se limite ici à la période allant du Cambrien au Cénozoïque, où les données sont les plus fiables.
Extinctions massives de la vie terrestre
On dispose, en effet, pour cette période, de la mémoire de la glace, de celle des arbres et de celle des fossiles. On indique aussi, pour ceux qui ne le savent pas encore, les époques où ont eu lieu 5 extinctions massives de la vie sur Terre. La première extinction coïncide ainsi avec une chute brutale de la température moyenne. La seconde à une chute tout aussi brutale du dioxyde de carbone atmosphérique. Un réchauffement massif et une chute brutale de l’oxygène atmosphérique sont associés à la troisième extinction. La quatrième semble liée au passage par un minimum d’oxygène dans l’air. Enfin, la cinquième se produit juste avant un réchauffement brutal, allant au-delà de 25°C de température moyenne. Remarquons que ce réchauffement se produit alors que le taux de dioxyde de carbone atmosphérique est en décroissance constante depuis le jurassique.
Ceux qui sont attentifs pourront constater qu’au Silurien ou au Dévonien, la température moyenne du globe a augmenté de plus de 10°C. Ceci, alors que le taux de dioxyde de carbone était en forte chute. Comment ainsi prétendre, qu’une augmentation de ce taux de dioxyde carbone provoque nécessairement un réchauffement du climat ? Si vous le faites, c’est que vous avez une bien courte mémoire. Car, effectivement, au Cénozoïque, on a bien une corrélation entre la chute du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère et la chute de la température moyenne du globe. Mais, cela n’est pas vrai à d’autres époques. Cela est évident d’un simple regard sur ces données scientifiques disponibles. Ou bien alors, cela pourrait signifier que vous avez une petite idée derrière la tête.
La photosynthèse
Ici, vous mentez, parce que le dioxyde de carbone est un coupable idéal pour rendre l’être humain responsable du changement climatique. En effet, la déforestation est indispensable au développement d’une agriculture intensive carnivore. De plus, cela permet d’obtenir du bois, qui est un matériau de construction irremplaçable pour certains bâtiments. Il ne faut donc surtout pas parler de déforestation qui transforme tout sol fertile en désert caillouteux et aride. Car, la déforestation est aussi de la responsabilité de l’être humain. Cachons donc les vraies causes et focalisons l’attention de la population sur une conséquence et non sur une cause. À savoir, le taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère qui ne cesse de croître.
Je vais donc vous écrire la véritable équation de la photosynthèse. Celle que vous ne verrez jamais écrite ailleurs. Et, pour cela, je vais d’abord vous écrire comment se faisait la photosynthèse avant l’apparition des plantes. Remarquez tout d’abord, qu’avant le Cambrien, aucune plante n’existait sur Terre. Et, pourtant, le taux d’oxygène atmosphérique était largement supérieur à 10%. Cet oxygène ne pouvait donc pas provenir des plantes. En réalité, ce sont des bactéries qui étaient responsables de cette concentration. Et, que font très exactement ces bactéries ? Pour commencer, je parlerai des bactéries pourpres anaérobies. Je dois aussi auparavant vous informer qu’un sucre, comme le glucose, par exemple, est un polymère du formaldéhyde de formule CH2O ou plus précisément H2C=O. Bref, le glucose, c’est six molécules de formaldéhyde concaténées entre elles.
Bactéries pourpres et photosynthèse
Dès 1931, le biologiste Cornelis B. Van Niel suggère qu’une bactérie photosynthétique, utilise du dioxyde de carbone CO2, de la lumière et un agent réducteur H2A pour fabriquer du formaldéhyde, de l’eau et une espèce oxydée A2. Par exemple, A peut être un atome de soufre, auquel cas la réaction devient :
CO2 + 2 H2S + Lumière = CH2O + H2O + S2
Ceci démontre que la photosynthèse produit ici de l’eau comme sous-produit de la transformation du dioxyde de carbone en formaldéhyde. Remarquez que cette eau n’existe pas à gauche. Il s’agit donc d’une eau pure dite « juvénile » car créée au moment de fabrication du formaldéhyde. En vérité, on peut très bien faire disparaître le dioxyde de carbone et écrire uniquement :
2 H2S + Lumière = 2 H2 + S2
Autrement dit, la photosynthèse bactérienne est avant tout une photo électrolyse de la molécule H2S. Le soufre produit cristallise, tandis que l’hydrogène réagit dans un second temps avec le dioxyde de carbone pour donner du formaldéhyde et de l’eau :
CO2 + 2 H2 = CH2O + H2O
On remarquera que, contrairement à la première réaction, cette dernière n’a pas besoin de lumière pour se produire.
Bactéries vertes et photosynthèse
Venons-en maintenant aux plantes. Ici aussi, on retrouve une bactérie non plus pourpre, mais verte. Et, cette dernière vit en symbiose avec la plante. Son rôle est d’utiliser un autre donneur d’électrons beaucoup plus abondant que l’hydrogène sulfuré : la molécule d’eau H2O. Évidemment, le début est ici différent :
2 H2O + Lumière = 2 H2 + O2
On a juste remplacé le soufre par l’oxygène. Et, la réaction produit un gaz qui va s’accumuler dans l’air et non un produit solide. Par contre, la suite reste identique :
CO2 + 2 H2 = CH2O + H2O
D’où le bilan final :
CO2 + 2 H2O + Lumière = CH2O + H2O + O2
C’est à ce point précis que la grande « arnaque » se profile. La molécule d’eau apparaît désormais simultanément comme réactif et comme produit. Et, comme l’eau, c’est de l’eau, les (très) mauvais chimistes simplifient de la manière suivante :
CO2 + H2O + Lumière = CH2O + O2
On obtient ainsi une photosynthèse « anhydre » qui consomme de l’eau et n’en produit pas en retour. En réalité, lorsqu’on fait du marquage isotopique, il devient clair que l’on n’a pas le droit de simplifier.
CO2 + 2 D2O* + Lumière = CD2O + D2O + *O2
Ici, on a utilisé une autre forme d’eau où l’hydrogène a été remplacé par le deutérium. L’étoile, elle, désigne un autre isotope de l’oxygène 18O au lieu de 16O, l’isotope majoritaire. Comme le montre le bilan, impossible ici de simplifier. Parce que l’on a D2O* à gauche et D2O à droite. Ce sont ici deux molécules différentes.
Un cycle de l’eau incomplet
Pour le reste, mon ami, Ernst Zürcher, a fait un calcul très instructif. Se basant sur le véritable équation, celle que l’on vous cache soigneusement, il considère la production d’une tonne de bois. Pour cela, je dois retirer de l’atmosphère 1 851 kg de dioxyde de carbone. En compensation de ce retrait, l’arbre envoie 1 392 kg d’oxygène dans l’atmosphère. Mais, surtout, il envoie aussi 541 kg d’eau juvénile dans l’environnement. Eau, qui n’a jamais existé sur Terre auparavant. Eau, qui n’a donc jamais été bue par un dinosaure… La grande question est maintenant de savoir où va cette eau. Bien sûr, elle entre dans le grand cycle évapotranspiration → condensation/précipitation → ruissellement/percolation → accumulation (nappes phréatiques) → résurgences.
Bref, si les nappes phréatiques se remplissent, c’est en partie grâce aux arbres. Retirez-les et cette contribution cruciale disparaît. Résultat : des nappes plus basses et plus polluées, car moins diluées par de l’eau juvénile ultra pure. Pour les remplir à nouveau, il faut donc plus de pluie, d’où des températures plus chaudes pour avoir plus d’évapotranspiration. La conséquence est aussi que lorsque l’arbre disparaît, il y a plus de dioxyde de carbone dans l’air. D’où l’idée (erronée) que plus le taux de dioxyde de carbone augmente, plus le globe se réchauffe. Ajoutez les bonnes équations judicieusement choisies et faites tourner des ordinateurs à plein régime. Vous obtenez ainsi l’écœurante théorie du réchauffement climatique liée à ce pauvre dioxyde de carbone.
Les simulations ne prédisent rien du tout
J’espère que vous voyez comment on vous ment et comment on vous terrorise avec des simulations informatiques qui n’incluent jamais ce fait que toute plante produit de l’eau juvénile. N’oublions jamais qu’une simulation reste une simulation et ne correspondra jamais à quelque chose de réel. Ceci, parce que dans toute simulation on ne retrouve en sortie que ce qui a été mis en entrée… Rien de neuf n’est créé dans une simulation. Et, comme tout modèle est biaisé et approximatif par essence, on ne peut rien conclure. Toutefois, il est tout à fait possible d’affoler des ignorants. Voilà, on vous ment sur les « vaccins », on vous ment sur le climat et l’on vous ment aussi sur le cancer. On se garde bien de vous dire que la malaria et le SIDA peuvent être soignés grâce à de l’eau informée.
Bref, mensonges et commissions à tous les étages. Rien de surprenant à ce qu’un monde aussi artificiel et déconnecté de toute réalité éclate en mille morceaux un jour ou l’autre. Nous y sommes, car la somme de mensonges accumulés depuis une centaine d’années devient vraiment colossale. De grands changements se préparent. Et, pour survivre, vous devrez uniquement compter sur vous-mêmes. Ceux qui sont paresseux, ignorants ou complices par omission sont condamnés à disparaître. Comme les dinosaures et d’autres espèces avant eux. Vous êtes prévenus et il est temps de réagir. Bottons le cul à cette triste marionnette qui représente seulement 16% des Français. Pour cela, il faut des députés courageux et sincères. Mais, ceci est une autre histoire.
Par Marc HENRY
Un mensonge qui fait ses preuves assez longtemps devient réalité.
Claude Lelouch
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