Épisode 61 Covid-19, janvier 2022. Rien n’est la proie de la mort, tout est la proie de la vie.
Antoine Béchamp
Un Conseil anticonstitutionnel
Voilà, c’est fait. Le Conseil constitutionnel s’est couché platement devant une loi proposée par un couple présidentiel devenu hors de contrôle. Il a, en effet, validé, vendredi 21 janvier, la plupart des dispositions du projet de loi controversé instaurant le pass vaccinal. Au nom de la constitution, il autorise les vérifications d’identité par les cafetiers ou les restaurateurs. Ceci, au nom de l’objectif de « protection de la santé » face à l’épidémie de Covid-19. L’institution émet toutefois « une réserve d’interprétation ». La vérification d’identité par photo ne pourra se fonder que « sur des critères excluant toute discrimination de quelque nature que ce soit entre les personnes ». Dans leur grande mansuétude, Les soi-disant « Sages », ont toutefois censuré la possibilité pour les organisateurs de réunions politiques de demander un pass sanitaire aux participants.
Bref, on pense rêver, car le délit de « sale gueule » est jugé constitutionnel. En effet, j’ai du mal à penser que les cafetiers et restaurateurs soient aptes à vérifier l’identité des personnes sans faire de discrimination. Un être humain est un être humain. Parce que, le fait d’acquérir un pouvoir, quelque il soit, sur d’autres êtres humains, excite généralement les plus bas instincts de la nature humaine. L’expérience de Stanley Milgram qui date de 1963 est là pour le confirmer. Ceux qui ne la connaissent pas encore peuvent lire l’article ici. En résumé, l’expérience évalue le degré d’obéissance devant une autorité jugée légitime. Elle permet d’analyser le processus de soumission à l’autorité. Notamment quand elle induit des actions posant des problèmes de conscience au sujet. Le duo présidentiel joue ainsi avec le feu.
Un “vaccin” inefficace
Et, que l’on ne nous bassine pas avec l’argument de « protection de la santé ». C’est totalement ridicule, puisque les réunions politiques échappent à la loi. Donc, faites de la politique et le redoutable virus vous épargnera. Drôle de message, où le simple fait d’appartenir à un parti politique vous protège mieux de l’infection que la soi-disant « vaccination ». De plus, entre le 10 et le 23 janvier, la France a enregistré environ 4 500 000 cas de Covid-19 (source Wikipédia). Un nombre, à peu près égal à celui des personnes n’ayant eu aucune injection. Ainsi, officiellement, tous les irresponsables non injectés ont contracté la maladie. Mais, durant la période 1-9 janvier, il y a eu plus de 2 millions de nouveaux cas. Donc, il y a bel et bien dans ce pays des personnes « vaccinées » qui tombent malade.
Définitions du mot vaccin
Pas besoin donc d’avoir la bosse des maths pour comprendre que le « vaccin » est tout simplement inefficace. Bref, le Conseil constitutionnel nous prend ouvertement pour des demeurés. La faillite complète de cet organe de contrôle est patente. Je vais maintenant vous proposer un petit jeu assez révélateur. J’ai cherché la définition du mot « vaccin » dans le dictionnaire Larousse en ligne. Voici ce que j’ai trouvé :
« 1. Substance d’origine microbienne (microorganismes vivants atténués ou tués, substances solubles, ARN messager) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microorganismes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections.
2. Ce qui immunise contre un mal, un danger. »
J’ai été totalement sidéré par la présence du mot « ARN messager ». Car, pour Le Robert en ligne, on trouve ceci : « Substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l’immunité contre une maladie ». Enfin, je suis allé consulter la définition du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNTRL). Voici ce que l’on peut lire :
« Substance préparée en laboratoire à partir de microorganismes (tués, inactifs ou atténués) et qui, inoculée à un être vivant, l’immunise ou l’aide à lutter contre une maladie infectieuse (déterminée par le même microorganisme) grâce à la formation d’anticorps spécifiques.
Par métaphore ou dans un contexte métaphorique : Ce qui immunise, préserve (de quelque chose) ».
Des “vaccins” qui n’empêchent pas de tomber malade…
Que déduire de cette expérience, pour une fois, littéraire ? Simplement que jusqu’en 2020, un vaccin permettait d’éviter de tomber malade. C’est le gros bon sens du quidam moyen. Je n’ai pas envie d’être malade. Que faire ? Depuis Louis Pasteur, on nous a appris qu’il existe des vaccins qui peuvent protéger de certaines maladies. Donc, pour me protéger, j’ai le choix de me faire vacciner. Sauf, que depuis 2021, on vous injecte une chose et vous tombez quand même malade. Cherchez l’erreur. Le plus incroyable, c’est que personne, parmi les « vaccinés » ne râle. Ceci, alors qu’il y a manifestement tromperie sur la marchandise. Difficile de nier une telle évidence.
Mais, continuons le jeu. Le CNTRL nous apprend que le quidam moyen interprète le mot vaccin dans son sens métaphorique. Car, la définition technique, elle ajoute que le but du vaccin est de former des anticorps spécifiques. La définition du Robert prête, elle, à confusion. En effet, on y trouve le mot « pathogène » qui signifie rendre malade. Puis la ligne d’après, on remarque l’expression « immunité contre une maladie ». Certains pourraient se supposer être chez Hahnemann, où on lutte contre le mal par le mal lui-même. Sauf qu’il y a une différence énorme entre vaccination et homéopathie. À savoir que le remède homéopathique s’adresse à une personne physiquement malade, alors que le vaccin s’applique à une personne en bonne santé. Rien à voir, donc, même si cette confusion est parfois entretenue par des personnes ignorantes.
Bidouillage des définitions
Maintenant, revenons sur la définition du Larousse. Comme j’ai l’esprit très mal placé, je suis allé chercher la définition du Grand Larousse de la Langue française en 7 volumes, publié en 1989 : « Substance d’origine microbienne ou toxine à virulence atténuée qui, injectée à un individu, ou même administrée par voie buccale dans quelques cas, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient ». On notera ici l’absence des mots « ARN Messager » ou « virus ». D’ailleurs, même dans la définition du dictionnaire en ligne de 2022, le mot « virus » n’apparaît pas comme tel. Le dictionnaire parle de « microorganismes vivants atténués ou tués ». Comme un virus n’est pas vivant, on peut donc légitiment penser, techniquement parlant, que la vaccination ne concerne en rien les virus.
Sauf, que l’on trouve à la fin de la phrase : « et parfois à l’égard d’autres infections ». Ici, clairement, on peut invoquer les virus. Toutefois, on notera qu’ils sont notés à part. Et, surtout il y a le mot très révélateur « parfois ». Toutes ces arguties subtiles sont évidemment absentes de la définition de 1989. On constate ainsi, que l’expression « toxine à virulence atténuée » est devenue, en 2022, « substances solubles, ARN messager ». De plus, on ne parle en 1989 que de « microbes ». Et, voici la définition 2022 du Larousse de ce mot : « Organisme microscopique ou ultramicroscopique unicellulaire, et plus spécialement l’un des organismes qui causent les fermentations et les maladies ». Le mot clé est ici « unicellulaire », ce qui exclue totalement les virus.
Atteinte à l’intégrité corporelle
Tout ceci pour dire que, depuis 1989, la définition du mot vaccin a été savamment remaniée. Une première fois, pour y inclure, les virus. Mais, de manière implicite et surtout avec un sérieux bémol. Une deuxième fois, pour y inclure la notion d’ARN messager, qui n’est en rien une toxine, mais une information génétique. Donc, quand on vous dit « vaccin », vous pensez automatiquement Pasteur et microbe. Sauf, qu’en 2022, tout ceci est obsolète. Ici, on peut vous injecter aussi n’importe quelle « substance soluble ». Et, pire, même une information génétique couverte par des brevets. Il ne fait absolument aucun doute, que cette sape progressive de la définition du vaccin est l’œuvre de Big Pharma. Car, comme expliqué dans ma précédente chronique, une poignée de milliardaires contrôlent l’information écrite, sonore ou télévisuelle.
Ces oligarques ont visiblement réussi à infiltrer le Larousse, pour y distiller leur odieuse propagande. Car, rappelons-le, un vaccin n’est pas un médicament. Un médicament est fait pour soigner une maladie déclarée. Alors, qu’un vaccin ne soigne rien du tout. Puisqu’on l’injecte à quelqu’un qui n’est pas malade. Un vaccin est censé vous protéger contre une maladie future et non déclarée. Et, aujourd’hui, même vacciné, vous pouvez être quand même malade. Comprenez-vous l’arnaque ? Si oui, réveillez-vous. On abîme, peut-être, de manière irréversible, ce que vous avez de plus cher au monde. Votre intégrité corporelle. Et, pour quelle raison ? Pour aller voir un film ou manger au restaurant avec un éventuel contrôle d’identité à la clé ?
Comment savoir si l’on vous a injecté une saloperie ?
Si par contre, vous ne comprenez pas l’arnaque, alors tant pis pour vous. Au vingt et unième siècle, vous servez en fait de « chair à laboratoire ». Tout comme on se servait de « chair à canon » au vingtième. Cela s’appelle le progrès. Mais, ne venez pas pleurnicher, une fois que la maladie sera installée. Car, la chair, vous allez devoir la trimballer jusqu’à votre mort physique. Bien sûr, certains ne seront jamais malades. Tout simplement parce qu’ils ont reçu un placebo. D’autres, par contre, vont en prendre plein la figure. Et, peut-être, transmettre cette saloperie aux générations suivantes. On nage dans le flou total et la folie intégrale.
Enfin, pas du tout à fait. Un ami qui vous veut du bien m’a transmis ce lien. Vous pouvez y lire l’histoire de Robert W. Malone MD, MS, inventeur des vaccins à ARNm et à ADN, de l’ARN en qualité de médicament. Cet homme est autant scientifique, médecin, écrivain, podcasteur, commentateur que défenseur de la liberté fondamentale de parole. Il a ainsi constaté que certains lots de « vaccins » sont associés à un nombre excessif de décès, de handicaps et d’effets indésirables. Cette variation peut être due à une variation de la quantité, c’est-à-dire du nombre de doses distribuées pour un lot particulier, ou à une variation de la toxicité des doses. Les deux facteurs peuvent jouer un rôle. Évitez donc de vous faire injecter, tant que l’on n’y verra pas plus clair.
Les virus sont-ils pathogènes ?
L’intérêt du lien donné précédemment, c’est qu’il vous permet de connaître le nombre de décès, d’invalidités et de maladies associés à votre code de lot particulier. Le nombre de décès et d’invalidités est préoccupant. Il dépasse de loin les événements indésirables associés à des lots de vaccins contre la grippe de taille égale. Bien sûr, il n’y a ici aucune certitude. Simplement, si vous avez eu la chance de tomber sur un « bon » lot, vous dormirez mieux la nuit. En ces temps troublés, c’est toujours bon à prendre. Si, par contre, vous êtes tombés sur un « mauvais » lot, vous regretterez très probablement d’avoir joué à la roulette russe. Sauf, que dans ce dernier jeu, on meurt. Alors qu’ici, vous restez en vie, mais avec une qualité de vie nettement dégradée. Et, ce pour une durée indéterminée.
On vient donc de voir que jusqu’en 1989, on savait que les vaccins ne concernaient que les microbes et pas les virus. D’ici à penser que les virus n’existent pas, il n’y a qu’un pas. Et, certains scientifiques, non des moindres, n’ont pas hésité à faire ce pas comme le montre cette vidéo. Accrochez-vous bien, car cela décoiffe. Cette vidéo n’est pas pour les personnes naïves. Pour l’accepter, il faut, en effet, savoir remettre en cause ce que l’on apprit à l’école, au lycée ou à l’université. Parce que, sinon, c’est le vertige assuré. Certains se protégeront en récitant cent fois le mot « complotisme ». D’autres ouvriront les yeux sur une possible gigantesque manipulation. A chacun de voir jusqu’où il est prêt à aller pour avoir de l’information.
Béchamp versus Pasteur
Le premier scientifique « déviant », fut Antoine Béchamp (1816-1908). Il pensait qu’il ne pouvait y avoir d’organisation spontanée de la matière inerte. Toute organisation morphologiquement définie se trouvait nécessairement en étroite corrélation avec la vie. Pour Béchamp, Les organismes vivants sont formés de microzymas qui tiennent le rôle d’« atomes vitaux ». Lors de la mort d’un organisme, il y a retour aux microzymas qui édifieront par la suite de nouvelles structures vivantes. Les microzymas peuvent sous certaines conditions (maladies) changer de fonction et, de sains, devenir morbides. Ces microzymas morbides se manifestent alors sous la forme de bactéries ou de virus. Ces derniers ne sont donc pas la cause des maladies, mais la révélation d’un terrain intérieur morbide.
Selon cette vision des choses, aucun microbe ou de virus pathogène n’existe, comme le prétendait son adversaire Louis Pasteur (1822-1895). Tout vient de nous et de notre manière de vivre. Nous sommes donc les seuls responsables de ce qui nous arrive. Comme on le constate aujourd’hui, la théorie de Béchamp sombra dans l’oubli et celle de son opposant triomphe. Car, entre-temps, Big Pharma et sa puissance financière démesurée sont passés par là. Finalement, qui a raison ? Mon intuition me dit que c’est Béchamp. Parce que, on sait aujourd’hui que Pasteur a plagié Béchamp et non l’inverse. De plus, Pasteur n’a jamais été médecin, mais chimiste à l’université de Strasbourg. Alors que Béchamp a été d’abord pharmacien puis professeur en faculté de médecine (Montpellier, puis Lille).
Une crise qui dure depuis 150 ans ?
Bien évidemment, si Béchamp a raison, alors la crise que nous vivons aujourd’hui est la conséquence d’une erreur d’aiguillage qui s’est produite vers la fin du dix-neuvième siècle. Car, tôt ou tard, on doit toujours payer pour les erreurs commises. C’est la dure loi de la nature. Dans ce cas, seule une réhabilitation des idées de Béchamp permettra une sortie définitive de cette crise. Si l’on ne le fait pas, il va falloir se préparer à la piquouse à vie et à un pass vaccinal sans limite dans le temps. Vous pensiez peut-être que le mensonge datait de 2019 ? Et, s’il datait en fait de 150 ans ? Big Pharma fait-elle tout pour que l’on ignore les idées de Béchamp et que l’on combatte celles de Hahnemann ? La question mérite d’être sérieusement posée.
Parce qu’en 2019, il y avait un déchaînement incompréhensible de haine contre l’homéopathie. La même haine qui animait déjà Pasteur contre les idées défendues par Antoine Béchamp. Pasteur a ainsi menti de manière éhontée en inversant les rôles entre la victime et le bourreau. La même tactique est utilisée aujourd’hui par tous les gouvernements des pays riches. Coïncidence ou utilisation des bonnes vieilles recettes qui marchent ? Le dormeur doit se réveiller… J’ai déjà lu cela ailleurs. Mais, c’était de la science-fiction sur une planète ensablée parcourue de vers géants monstrueux. L’épice serait-elle finalement de l’ARN messager ? Frank Herbert sort de ce corps…
Par Marc HENRY : Le microbe n’a pas le temps d’examiner le biologiste.
Henri Michaux
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