86•Primosophie : Tout sauf Macron, élections législatives, 7/07/2024.

86•Primosophie : Tout sauf Macron, élections législatives, 7/07/2024.

Dimanche prochain, le 7 juillet 2024, le peuple de France va être confronté à un choix diabolique pour les élections législatives anticipées. Pour les personnes qui souhaitent voter, il faudra choisir entre trois types de candidat(e)s :

1. Celles et ceux qui se réclament de l’ex-Majorité Présidentielle (eMP) et veulent soutenir Emmanuel Macron.
2. Celles et ceux qui se réclament du Nouveau Front Populaire (NFP) classés à “gauche” et pilotés par Jean-Luc Mélenchon.
3. Celle et ceux qui se réclament de la coalition entre Les Républicains et le Rassemblement National (LR/RN), classés à “droite” pilotée par le “couple” Éric Ciotti et Jordan Bardella.

Je ne souhaite pas ici entre dans le débat de savoir si le NFP est “d’extrême gauche” ou si la coalition (LR/RN) est “d’extrême droite”. La raison est que je pense que ces étiquettes sont là pour inciter les indécis à choisir le camp eMP. Puisque entre deux extrêmes, il y a nécessairement un barycentre qui prétend être “raisonnable”. C’est le fameux “Ni-ni” qui peut arriver à séduire un électorat complètement déboussolé. Notons que la quatrième combinaison possible, de nature quantique (Droite ET gauche) s’exclut d’office. Car, le jeu politique est de nature purement déterministe, le glissement aléatoire entre idées de droite et idées de gauche étant synonyme de chaos.

Cependant, on notera que le chaos est déjà bien présent et installé dans notre beau pays. Cela tendrait à prouver que le camp eMP ne représente en rien un barycentre entre gauche et droite. Mais, bel et bien, le parti du chaos. D’où l’angoisse et la confusion chez les électrices et les électeurs. Que faire ? Qui est sincère et qui ment effrontément ? On a là, un terrain fertile pour les abstentionnistes de tout poil avec la devise : “Tous pourris…”. Pour ce qui me concerne, j’avoue, qu’après avoir voté au premier tour pour un candidat défendant la cause animale, je m’abstiendrais. Pas parce que je suis indécis ou désorienté… Mais, simplement, parce qu’il n’y aura plus de candidats défendant explicitement cette cause animale.

La crise de la COVID-19 en direct

Depuis le début de la crise de la COVID-19, j’ai toujours été à vos côtés avec ces chroniques dictées par l’actualité. Bien avant tout le monde, je vous ai mis en garde, en direct, au jour le jour, afin d’y voir plus clair. J’ai ainsi démarré le 14 avril 2020 avec ma première chronique qui expliquait ce qu’était un virus. Dans les 14 chroniques suivantes, j’ai détaillé tous les aspects techniques de cette terrible maladie. Puis, à partir de la chronique #15, je suis passé aux enjeux sociétaux de la crise. Ainsi, le 29 mai 2020, j’ai relayé le travail du Pr. Luc Montagnier démontrant l’origine artificielle du virus. Puis, le 2 juin 2020, j’ai pris la défense du Pr. Didier Raoult qui se faisait violemment attaquer. Le 12 juin 2020, j’expliquais comment se positionner face aux tests.

https://marchenry.org/2020/11/14/40pervers-paranoiaques-et-autres-tyrans/Puis, le 19 juin 2020, j’ai dénoncé l’inutilité des gels, masques et autres systèmes de “protection” contre le virus SARS-CoV-2. Et, dès le 3 septembre 2020, j’alertais sur la mise en place d’une dictature à l’échelle mondiale. Le 30 octobre 2020, je vous informais de l’arrivée d’une seconde vague. C’était l’époque où notre président actuel essayait de vous persuader que nous étions en guerre… Le 9 novembre 2020, c’était la sortie du documentaire “Hold-Up”, de Pierre Barnérias et Christophe Cossé, où je présentais l’excellent travail de la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Puis, le 14 novembre 2020, c’était l’occasion de mettre en valeur le travail de la psychiatre Ariane Bilheran. Le 20 mai 2021, j’alertais sur les dangers des “pseudo-vaccins” à ARN modifié, qui commençaient à circuler.

Le 23 juillet 2021, je dénonçais l’extension du pass sanitaire, une loi totalement scélérate… Durant tout l’automne 2021, j’ai réalisé plusieurs chroniques soulignant le comportement démentiel du président actuel. Puis, le 15 décembre 2021, j’expliquais les dangers associés au graphène, ou bien à sa forme oxydée. Le 14 février 2022, je rendais un vibrant hommage à mon collègue et ami, le Pr. Luc Montagnier. Puis le 12 avril 2022, ce fut la calamiteuse élection présidentielle. Emmanuel Macron, toujours lui, et ses éternelles magouilles. Cette élection marquait la fin des chroniques consacrées à la crise de la COVID-19.

Mais, je n’en avais pas fini pour autant avec mes conseils. Parce que dès le 8 septembre 2022, c’est la crise climatique qui prenait le pas sur la crise sanitaire. Peu importe, j’étais toujours là pour informer avec tous les outils développés par la science ou la tradition (numérologie, astrologie, tarot…). Ainsi, ma dernière chronique N° 85 était consacrée à l’émergence de “l’intelligence” artificielle. Par conséquent, toujours là, fidèle au poste et prêt à vous informer lors de cette semaine cruciale pour l’avenir de la France.

La primosophie

En effet, avant d’aller votre pour l’eMP, prenez bien soin de relire toutes les chroniques précédentes. Car, l’esprit humain oublie très vite. Et, avant de voter, rien ne vaut un rafraîchissement de la mémoire. D’ailleurs, à l’occasion des élections, présidentielles et législatives de 2022, je me suis permis de vous présenter le concept de primosophie. Je renvoie donc à cette chronique n° 65 pour celles et ceux qui ignorent encore de quoi l’on parle. L’avantage de la primosophie, c’est qu’il est impossible de tricher. Les nombres premiers sont d’essence mathématique et se moquent de la politique…

D’où, si vous êtes indécis, la proposition de jouer avec cet outil. Le principe est simple. Vous choisissez le nom d’une personne et vous calculez son total numérologique. Ensuite, à l’aide d’un dictionnaire, vous recherchez des mots ou une suite mots ayant le même total. Évidemment, il y aura beaucoup de combinaisons possibles. D’où la nécessité de faire un choix. Par exemple, parmi les nombreux mots qui peuvent être associés à mon nom “Marc Henry” qui totalise 313, j’ai retenu le mot “véridique”. Car, c’est une réalité que j’ai horreur du mensonge…

Vous êtes prêts. Alors voici les totaux obtenus pour les quatre chefs de parti en lice pour ces législatives 2024. Et, associés à ces totaux, quatre mots-clés sélectionnés, parmi une trentaine :

Emmanuel Macron : Total = 416 -> Perversion, Turbulent, Pouvoirs, Louvoyer
Jean-Luc Mélenchon : Total = 404 -> Répression, Obstination, Aventurier, Mystique
Jordan Bardella : Total = 309 -> Xénophobie, Religieux, Mensonger, Désespoir
Éric Ciotti : Total = 306 -> Timidement, Repentir, Pitoyable, Ambassadeur

Notez bien que pour un total donné, il y a des mots peu élogieux, d’autres neutres ou, au contraire, valorisants. Les mots valorisants décrivent les tendances où aucun effort particulier n’est requis de la part de la personne concernée. À l’inverse, les mots désobligeants soulignent les aspects qu’il convient de travailler dans son incarnation actuelle. Libre à l’individu de tout faire pour s’améliorer. Ou bien, au contraire, de ne rien faire et de sombrer dans une déchéance de plus en plus profonde au fur et à mesure que le temps s’écoule.

Déchéance de la France sous la présidence d’Emmanuel Macron

Ici, j’ai fait un choix d’après mon ressenti personnel. Et, vu le bilan du président actuel, j’ai, bien évidemment, sélectionné les termes les plus désobligeants. Car, sachez que je suis né en 1958 et que, par conséquent, j’ai connu tous les présidents de cette cinquième république. Du général Charles de Gaulle au banquier Emmanuel Macron. Et, je puis vous garantir que de tous ces présidents légitimement élus, Emmanuel Macron est, de très loin, celui qui présente le bilan le plus désastreux.

Pour mémoire, je rappelle qu’Emmanuel Macron est banquier de profession. Et, je me souviens, avec nostalgie, de ma jeunesse, où l’on avait de beaux billets de banque à l’effigie des grandes figures scientifiques ou artistiques ayant contribué au rayonnement de la France de par le monde. À titre d’illustration, j’ai mis dans l’image de présentation de cette chronique, tous les billets que j’ai eus l’occasion de manipuler depuis ma naissance en 1958. Que diraient tous ces illustres personnages, s’ils pouvaient contempler l’état de la France en juillet 2024 ?

Il est donc aisé de comprendre que je déteste au plus haut point l’actuel président, responsable d’un chaos qui est allé en grandissant tout au long de ses deux mandats. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, j’ai bien pris soin de vous remettre en mémoire toutes les chroniques passées. Car, si vous choisissez de voter pour les candidats de l’ex-majorité présidentielle, vous ne pourrez pas dire, en cas de catastrophe future : “J’ignorais !” ou bien “J’avais oublié !”. Ma position peut donc se résumer en seulement trois mots : “Tout sauf Macron…”. Et, comme dans ma commune, l’écart est énorme entre le candidat LR/RN et le candidat NFP, je m’abstiendrais. Tout bêtement.

La primosophie et Emmanuel Macron

Comme indiqué plus haut, le danger principal avec l’actuel président est sa perversité. Car, la perversion est bel et bien associée à son nom de naissance. Cela signifie très probablement qu’il n’a pas su résoudre ce problème dans ses vies antérieures. Une chance supplémentaire lui a été donc été accordée à sa naissance pour clarifier son karma. Et, visiblement, il a choisi de se vautrer une nouvelle fois dans cette tendance maladive à accomplir des actes immoraux et agressifs. Pour bien enfoncer le clou, je vais donc déployer tout l’arsenal de la primosophie pour montrer à quel point le total 416 peut être associé à des choses peu reluisantes.

Je vous donne ainsi l’occasion de voir comment il est possible de procéder pour trouver des associations pertinentes dans le cadre de la primosophie. Pour cela, j’ai pensé très fort à ce sinistre individu et aussitôt une association m’est venue à l’esprit. Appelez cela de l’intuition si vous voulez. En vérité, je me suis connecté au vide quantique qui mémorise tout ce qui a existé depuis que l’univers existe. Et, dans cette base de données gigantesque, il y a un petit nuage correspondant à notre personnage, sur lequel je me suis consciemment branché.

La phrase qui m’est ainsi venue à l’esprit était “président particulièrement craignos”. Or, le mot “craignos”, totalise 240 en primosophie. Et, 416 – 240 = 176. D’où une recherche d’autres mots totalisant 176 qui peuvent être associés au mot “craignos”. Voilà les combinaisons obtenues : Prince craignos, Kaiser craignos, Killer craignos, Chieur craignos et Escroc craignos. On voit que c’est du lourd… Mais est-ce significatif ? Oui, car les mots “Prince” et “Kaiser” sont des mots de pouvoir qui évoquent le côté jupitérien du bonhomme. Et, la presse, n’a pas manqué, à maintes reprises, de souligner ce trait très caractéristique du personnage.

Le mot “Killer” tendrait à prouver que cet homme est fasciné par la mort. Son envie d’envoyer la jeunesse française mourir en Ukraine se trouve ici en bonne résonance. Le mot “Chieur”, quant à lui, évoque une personne qui embête ou ennuie à “mourir”… Sa déclaration du 5 janvier 2022 où il avait notamment clamé son intention d’« emmerder » les non-vaccinés est hautement révélatrice de ce côté “Chieur”. Quant au mot “Escroc”, il entre en très forte résonance avec son passé avéré de banquier.

En effet, à l’âge de 32 ans, Emmanuel Macron devient associé-gérant chez Rothschild. Il bat ainsi le record (33 ans) détenu par Grégoire Chertok, un banquier star de la rue de Messine. Il passera quatre années dans cette banque d’affaires et y gagnera son titre de “Mozart de la finance”. Et, la banque Rothschild n’est pas spécialement réputée pour son honnêteté à toute épreuve… D’où, peut-être, la très forte résonance avec le mot “Escroc” que suggère la primosophie. Vous comprenez aussi, certainement mieux, mon idée d’illustrer cette chronique avec des billets de banque…

Le “Mozart” de la finance

Il est temps, maintenant, de revenir sur le mot “Chieur”. Et, au lieu de faire référence à la facette psychologique de ce mot, de le prendre à la lettre. À savoir qu’une personne qui chie évacue sa “merde”. Et, là, hasard ou fait extrêmement signifiant, il y a une résonance avec le musicien Mozart. Sachez que le 9 novembre 2011, Flammarion a publié la correspondance complète de Johannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart (1756-1791). L’ouvrage, qui couvre pratiquement toute la vie du compositeur, recense près de 800 lettres échangées par Mozart avec ses proches et notamment avec son père Léopold et avec sa cousine, Maria Anna Thekla Mozart (1758-1841).

Tout d’abord, pour la petite histoire, il était courant au dix-huitième siècle de traduire les noms dès que les personnes voyageaient. Ainsi, le quatrième prénom de Mozart, “Theophilus”, signifie, en grec, “aimé de Dieu”. En Allemagne, cela devient “Gottlieb”, tandis qu’en Italie, cela devient “Amadeus”. Ensuite, ces correspondances entre Mozart et sa cousine sont remplies de références scatologiques. Ainsi, dans une de ses lettres, Mozart écrit :

Excusez ma vilaine écriture, la plume est déjà vieille, mais il y a bientôt 22 ans que je chie par le même trou et il n’est même pas encore déchiré, tous les jours, je chie dedans et mords la crotte à belles dents“. Et, sa charmante cousine lui répond, du tac au tac : “Porte-toi bien mon amour et pousse-toi le cul dans la bouche. Je te souhaite une bonne nuit mon mari, mais d’abord chie au lit et que ça pète…”. Ceci démontre que, chez Mozart, la défécation et l’expression musicale sont intimement associées.

Par conséquent, lorsque le milieu financier compare Macron et Mozart, les banquiers ne pensent pas forcément à la musique divine de ce compositeur. Mais, plutôt, avec ce qui était indissociable de son génie musical : la crotte ou de manière plus prosaïque la “merde”. Allez savoir… Toujours est-il qu’il y a cet emploi spontané du verbe “emmerder” quand Macron parle des non-vaccinés et cette association avec le mot “Chieur” suggéré par la primosophie. D’où la suite de cette chronique, où j’ai essayé de voir les associations possibles avec les mots en relation avec la merde.

On n’est pas dans la merde…

Et, là, ce fut un vrai festival. Jugez vous-mêmes : la merde terminale, la meilleure merde, tandem merdique, éponge merdique, soliste de merde, présent de merde, menteur de merde, intendant de merde, culotte de merde, costume de merde, nazi merdique et slip merdique… De la merde partout et à tous les étages pour un total, à chaque fois, de 416. À ce niveau, ce n’est plus de la résonance, mais bel et bien une association intime et forte. L’association des mots “tandem” et “merdique” nous interpelle directement sur le rôle très trouble joué par Brigitte Macron. Ceci est confirmé par le fait que la phrase : “Brigitte, le chaos“, totalise aussi 416.

D’où une nouvelle recherche autour de la notion de chaos qui donne : chaos incomparable, le chaos projeté, le chaos mordant, le chaos invariable et le chaos inspiré… L’on comprend mieux ainsi sa phrase : “Moi ou le chaos”, typique d’un pervers qui dit exactement l’inverse de ce qu’il pense. Macron, c’est donc une association très forte entre la merde et le chaos avec, en prime, une virtuosité musicale digne d’un Mozart. Le chaos étant généralement synonyme de désordre, on trouve une résonance avec ce dernier terme : “le pire désordre“. Et, si l’on s’attend au pire, un total de 416, c’est aussi : “le pire effronté“.

Vous avez dit “Nazisme” ?

L’association “nazi merdique” suggère de nouvelles associations qui peuvent hautement être pertinentes. Juste un exemple. Le 29 février 2024, Macron est traité de “salaud de nazi” par une chaîne russe après ses propos sur l’envoi de troupes en Ukraine. Si l’on cherche des résonances avec le mot “salaud”, l’on obtient : salaud motivé et salaud crotté. Bref, toujours la merde, omniprésente. Et, puis, il y a également les résonances avec le mot “nazi” : nazi vindicatif, pauvre nazi, nazi installé, nazi inhérent et le sale nazi obèse. Toujours et encore un total primosophique de 416, avec le mot “sale” qui résonne avec le slip douteux ou la merde terminale.

Pour sa part, l’expression “pauvre nazi” résonne avec la finance. Et, si je cherche une résonance 416 avec le mot “pauvre”, je trouve : “pauvre mec aigri“. Il y a donc aussi de l’aigreur chez ce monsieur. Ce n’est aussi un secret pour personne qu’Emmanuel Macron a des liens étroits avec la communauté LGBT. Et, au sein de cette communauté, le terme “kiki” désignait un homme gay qui se sentait à l’aise en étant passif ou actif pendant les rapports sexuels. Eh bien, devinez la résonance que l’on obtient avec le mot “kiki” : Kiki calamiteux. Et, de fil en aiguille, retour à la case départ, puisqu’on trouve une résonance entre le mot “calamiteux” et le pouvoir jupitérien : Shah calamiteux.

Conclusion

Nous allons arrêter ici cette chronique consacrée à l’analyse primosophique associée au nom “Emmanuel Macron”. Juste pour terminer, le 27 avril 2023, une dame invective le président en ces termes : « Elles sont longues vos réformes, hein ! » La réponse spontanée du Président a été : « Oh putain, je voudrais que ça aille plus vite aussi, moi ! ». Si l’on décode bien la phrase, cet individu traite cette dame de “putain”. Et, si l’on cherche une résonance 416 avec ce mot très désobligeant, on trouve : la putain minable. Toujours cette perversité à l’œuvre, avec l’inversion très caractéristique des rôles.

Et, puis, j’ai gardé la meilleure pour la fin. Emmanuel Macron, durant sa carrière fulgurante, a été affublé de nombreux surnoms. On a déjà parlé du “Mozart de la finance”. Mais, il en existe un autre, suggéré par Laurent Fabius qui est : “”Le petit marquis poudré”. Inutile d’expliquer ici de quelle poudre on parle, car des enfants peuvent lire cette chronique. Toujours est-il que j’ai cherché une résonance 416 avec l’adjectif “poudré”. Et, voici ce que j’ai trouvé : le baron poudré… Cela ne s’invente pas. Baron ou marquis, on reste dans les sphères du pouvoir et de la domination sur le peuple.

Ainsi, voilà. Cette chronique peut se résumer à trois mots : tout sauf Macron (TSM). Pas besoin de se casser la tête. Et, si, d’aventure, vous êtes dans une commune où il y a un duel LR/RN contre NFP, c’est parfait. Allez jardiner, car l’issue du vote ne peut être que conforme à TSM. Pas besoin de se casser la tête. Laissons une chance à LR/RN ou NFP d’exercer le pouvoir. Parce que, si chaos il y a, ce sera entièrement la faute d’Emmanuel Macron et la faute de ceux qui le soutiennent dans sa démarche perverse et destructrice. Cool Raoul, rien ne peut être pire que ce que nous avons vécu jusqu’à aujourd’hui.


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